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started by escaping1 escaping1 on 04 Jun 14
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Il est détenu au secret depuis dix-sept mois pour avoir divulgué des «secrets d'État». Il encourt la peine de mort et pourrait payer pour un scoop. Le quotidien américain avait annoncé, en avance sur la vérité officielle, la mise à l'écart définitive de l'ancien «numéro un» chinois, Jiang Zemin. Ismaïl Haniyeh chargé aujourd'hui de former le gouvernement Autorité palestinienne. Le président de l'Autorité palestinienne Mahmoud Abbas doit charger officiellement aujourd'hui à Gaza le chef de file du mouvement radical Hamas, Ismaïl Haniyeh, de former le prochain gouvernement. Cette annonce a été faite hier soir par Ismaël Haniyeh et le chef du groupe parlementaire du Hamas, Mahmoud al-Zahar, après une rencontre à Gaza avec Mahmoud Abbas. Le nouveau premier ministre disposera de trois semaines pour former le gouvernement et pour le faire approuver par le Conseil législatif palestinien (CLP, Parlement). http://www.fams.fr/ S'il échoue, deux semaines supplémentaires pourraient lui être accordées. Considéré comme un pragmatique, Ismaël Haniyeh, 43 ans, sera le premier chef du gouvernement palestinien issu du Hamas, un groupe qui ne reconnaît pas le droit à l'existence d'Israël et est qualifié de «terroriste» par l'Etat juif, les Etats-Unis et l'Union européenne.Ce dernier a confirmé que son mouvement «poursuivrait les discussions avec les frères au Fatah et d'autres personnalités, courants et forces politiques à l'intérieur et à l'extérieur (des territoires palestiniens) en vue de présenter un cabinet qui obtiendra la confiance du Parlement et le respect du peuple». Le Front populaire de libération de la Palestine (FPLP) a donné son «accord de principe» pour participer au gouvernement, mais le mouvement radical Djihad islamique a refusé, tout en affirmant qu'il soutiendrait le Hamas. L'impasse demeure sur le nucléaire iranien NI LA RUSSIE ni l'Union européenne n'ont réussi à infléchir la position de Téhéran. Après deux journées d'intenses discussions irano-russes à Moscou, doublées d'une visite du ministre iranien des Affaires étrangères à Bruxelles, la conclusion de Téhéran reste la même : «L'Iran ne renoncera jamais à son droit à l'enrichissement d'uranium», a souligné Manouchehr Mottaki, le chef de la diplomatie iranienne. Autrement dit, le plan russe de sortie de crise qui suggère d'enrichir l'uranium iranien en Russie, de façon que son utilisation à des fins civiles soit vérifiée et garantie se heurte à un mur. Chemises lacoste
Cette position de fermeté réduit de plus en plus les chances d'éviter un renvoi définitif du dossier iranien au Conseil de sécurité de l'ONU, en vue d'éventuelles sanctions internationales, lorsque les gouverneurs de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) se réuniront le 6 mars à Vienne.Une fois de plus, cependant, la République islamique n'a pas fermé définitivement la porte aux négociations. «L'Iran est toujours prête à négocier avec les autres pays, y compris la Russie, mais l'accès à la technologie nucléaire civile représente, pour nous, un impératif absolu», confiait hier au Figaro, Akbar Alani, membre de la commission parlementaire chargée de la politique étrangère et des questions de sécurité nationale. Il faisait écho aux propos du chef de la délégation iranienne à Moscou, Ali Hosseini Tash, sur la télévision d'Etat, et selon lequel «il a été convenu de poursuivre des négociations». Ces dernières, dont on ne connaît pas les détails précis, auront lieu très bientôt à Téhéran. Le temps est comptéUne visite en Iran de Sergei Kiriyenko, le chef de l'agence russe à l'énergie atomique, est prévue pour demain. Quant au ministre russe des Affaires étrangères, Sergueï Lavrov, il a refusé d'être pessimiste en suggérant de faire «preuve de prudence, avant d'employer les termes de «rupture» ou «d'échec» tant que les discussions ne seront pas terminées».