L'économie de l'Europe repose pour l'essentiel sur des biens et services ne faisant pas l'objet d'échanges internationaux. Cependant, nous devons entraîner les autres à notre suite. La Chine deviendra le plus gros émetteur de CO2 dans les prochaines années et l'Inde, avec son milliard d'habitants, ne sera pas loin derrière. Nous sommes confrontés au défi pressant de rendre la croissance durable pour la planète. Cela implique d'adopter des versions plus propres des technologies actuelles, mais aussi des types de technologie énergétique qui rompent entièrement le lien entre l'utilisation d'énergie et l'émission de gaz à effet de serre. C'est là que le commerce peut contribuer à résoudre le problème. Les gouvernements accepteront des cibles d'émission, mais leur atteinte dépendra des technologies dont disposeront leurs industries. chemise burberry homme noir Les échanges de droits d'émission peuvent accroître le coût de l»émission des gaz à effet de serre, mais le commerce et le transfert de technologies écologiques parviendront finalement à réduire les émissions.L'une des manières de voir le protocole de Kyoto se fait sous l'angle des investissements et des accords commerciaux. Les investissements et le commerce des services peuvent diffuser l'expérience, les qualifications et les technologies respectueuses du climat dans l'économie mondiale. Les entreprises européennes exportent déjà des parcs éoliens et des panneaux solaires vers la Chine. L'expertise européenne découlant de ce commerce est appliquée par les professionnels locaux et l'industrie locale. Nous pouvons littéralement exporter les instruments et l'expertise nécessaires au traitement du changement climatique. Il découle du protocole de Kyoto l'obligation de créer un marché mondial ouvert des technologies environnementales, permettant aux technologies et investissements écologiques de circuler plus librement. chemise burberry homme pas chere Il convient dans la mesure du possible de supprimer ou de réduire les règles nationales restrictives en matière d'investissement ou de commerce de services, qui empêchent ce transfert d'expertise et de technologie.La principale manière d'y parvenir est par l'intermédiaire de l'OMC. Les négociations sur les biens environnementaux dans le cycle de Doha avaient échoué avant même que l'ensemble des discussions ait été suspendu l'été dernier. Ces négociations doivent reprendre. Les membres de l'OMC devraient conclure un accord d'ouverture au marché pour les produits spécifiquement liés au traitement du changement climatique. Ils devraient convenir d'éliminer les droits de douane pour des biens essentiels au traitement du changement climatique tels que les technologies écologiques européennes, les chauffe-eau indiens économes en énergie et les générateurs électriques éoliens chinois. L'Europe recherchera également dans sa prochaine génération d'accords commerciaux bilatéraux des clauses similaires ainsi que de nouveaux engagements et de nouvelles mesures incitatives en matière de développement environnemental durable. chemise burberry homme soldes Notre réponse au changement climatique peut être renforcée ou affaiblie en fonction de la politique commerciale qui sera appliquée. Il est parfois envisagé la possibilité d'appliquer des droits de douane spéciaux aux pays qui n'ont pas ratifié le protocole de Kyoto, mais cela serait difficile dans le cadre des règles de l'OMC et presqu'impossible à mettre en oeuvre pratiquement. Qui en serait la cible ? La Chine a ratifié le protocole de Kyoto mais n'a pas d'objectifs, en raison de son statut de pays en développement. Les États-Unis ne l'ont pas ratifié, mais des États comme la Californie ont des politiques ambitieuses en matière de changement climatique.Cela serait également une mauvaise politique. Une approche punitive pour parvenir à une coopération internationale en matière de changement climatique serait politiquement et stratégiquement maladroite et déclencherait une guerre du carbone. Le traitement du changement climatique est un défi international qui impose une coopération internationale.
Les échanges de droits d'émission peuvent accroître le coût de l»émission des gaz à effet de serre, mais le commerce et le transfert de technologies écologiques parviendront finalement à réduire les émissions.L'une des manières de voir le protocole de Kyoto se fait sous l'angle des investissements et des accords commerciaux. Les investissements et le commerce des services peuvent diffuser l'expérience, les qualifications et les technologies respectueuses du climat dans l'économie mondiale. Les entreprises européennes exportent déjà des parcs éoliens et des panneaux solaires vers la Chine. L'expertise européenne découlant de ce commerce est appliquée par les professionnels locaux et l'industrie locale. Nous pouvons littéralement exporter les instruments et l'expertise nécessaires au traitement du changement climatique. Il découle du protocole de Kyoto l'obligation de créer un marché mondial ouvert des technologies environnementales, permettant aux technologies et investissements écologiques de circuler plus librement. chemise burberry homme pas chere Il convient dans la mesure du possible de supprimer ou de réduire les règles nationales restrictives en matière d'investissement ou de commerce de services, qui empêchent ce transfert d'expertise et de technologie.La principale manière d'y parvenir est par l'intermédiaire de l'OMC. Les négociations sur les biens environnementaux dans le cycle de Doha avaient échoué avant même que l'ensemble des discussions ait été suspendu l'été dernier. Ces négociations doivent reprendre. Les membres de l'OMC devraient conclure un accord d'ouverture au marché pour les produits spécifiquement liés au traitement du changement climatique. Ils devraient convenir d'éliminer les droits de douane pour des biens essentiels au traitement du changement climatique tels que les technologies écologiques européennes, les chauffe-eau indiens économes en énergie et les générateurs électriques éoliens chinois. L'Europe recherchera également dans sa prochaine génération d'accords commerciaux bilatéraux des clauses similaires ainsi que de nouveaux engagements et de nouvelles mesures incitatives en matière de développement environnemental durable. chemise burberry homme soldes
Notre réponse au changement climatique peut être renforcée ou affaiblie en fonction de la politique commerciale qui sera appliquée. Il est parfois envisagé la possibilité d'appliquer des droits de douane spéciaux aux pays qui n'ont pas ratifié le protocole de Kyoto, mais cela serait difficile dans le cadre des règles de l'OMC et presqu'impossible à mettre en oeuvre pratiquement. Qui en serait la cible ? La Chine a ratifié le protocole de Kyoto mais n'a pas d'objectifs, en raison de son statut de pays en développement. Les États-Unis ne l'ont pas ratifié, mais des États comme la Californie ont des politiques ambitieuses en matière de changement climatique.Cela serait également une mauvaise politique. Une approche punitive pour parvenir à une coopération internationale en matière de changement climatique serait politiquement et stratégiquement maladroite et déclencherait une guerre du carbone. Le traitement du changement climatique est un défi international qui impose une coopération internationale.
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