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started by longchamppas on 12 Aug 14
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    Debré, meilleur ouvrier de l'uni­on ? Son interview au Journal du Dimanche, où il s'en prenait une nouvelle fois à Nicolas Sarkozy tout en adressant au passage d'ambigus « voeux chaleureux » à Ségolène Royal, a en tout cas valu au président de l'Assemblée nationale la réprobation unanime de l'UMP. Dominique de Villepin lui-même est revenu sur l'épisode devant les députés : « Je me garderai de donner des leçons. En revanche, nous pouvons en tirer. Marquer nos différences avec des petites phrases est inutile. Il faut avoir tous le souci de nous rassembler pour gagner, nous rassembler autour du candidat ou de la candidate le mieux placé. » Pour une fois, le groupe n'a pas mégoté ses applaudissements au premier ministre.Avant lui, Nicolas Sarkozy avait mis les choses au point en soulignant les « deux bêtises » de Jean-Louis Debré, qui ne s'est pas montré de la matinée, ni au petit-déjeuner de la majorité à Matignon, ni aux réunions du groupe. complet lacoste pas cher
    Sarkozy : « L'UMP n'est pas un RPR bis »« L'UMP n'est pas un RPR bis, a affirmé son chef. Si on peut être candidat en dehors de l'UMP, alors il ne fallait pas faire l'UMP. » La deuxième « bêtise », c'était « d'envoyer des voeux à la candidate ­socialiste ». « Elle n'en a pas besoin ! », s'est-il exclamé.« Soit on dramatise, soit on apaise. Je suis pour l'indifférence, a poursuivi Nicolas Sarkozy. Je veux que l'on gagne, contrairement à une toute petite minorité. ceinture lacoste pas cher »Le président de l'UMP considère qu'il a rempli sa part du devoir d'unité, notamment en s'abstenant d'utiliser l'investiture du parti comme un « moyen de pression politique » vis-à-vis des chiraco-villepinistes. Lesquels lui en ont donné acte. Le député d'Indre-et-Loire Philippe Briand, chiraquien de stricte obédience, s'est même désolidarisé du président de l'Assemblée en lançant au bureau du groupe : « Quand Debré s'exprime, ce ne sont pas les chiraquiens qui s'expriment ! Personne ne peut s'exprimer au nom du président de la République. » Dominique Dord, proche de Jean-Pierre Raffarin, a ajouté en aparté : « Debré est à un âge où il devrait maîtriser ses pulsions suicidaires. On n'a pas fait l'UMP pour reconstruire la machine à diviser ! »Dans un style moins brutal, les deux benjamins du groupe, Édouard Courtial et Laurent Wauquiez, ont déploré dans une lettre ouverte à Jean-Louis Debré « le jeu des commentaires assassins » au sein de la majorité. Mais c'est le sarkozyste Louis Giscard d'Estaing qui est allé le plus loin en interpellant ses collègues : « Debré a été élu par nous. Est-il fondé à tenir ce genre de propos ? Qu'il pose la question de confiance à ceux qui l'ont élu ! »Pas mécontent de cette belle unanimité, le président du groupe Bernard Accoyer n'avait plus qu'à appeler chacun à « garder son sang-froid ». chemise lacoste homme pas cher
    « Notre pire ennemi, c'est nous-mêmes », a-t-il conclu. Personne ne l'a démenti. STUDIEUX, sérieux, un peu longuet et pas télévisuel pour deux sous. Le premier des trois débats télévisés entre les trois prétendants socialistes à l'investiture présidentielle a été conforme, hier, à ce que l'on pouvait attendre. Alignés en rang d'oignons derrière leurs pupitres, Ségolène Royal en veste blanche sur robe marine et blanc, Dominique Strauss-Kahn, costume sombre, chemise blanche et cravate rayée et Laurent Fabius, même casaque avec cravate à motif discret, n'avaient pas envie de se regarder. Et sont restés, de bout en bout, dans le cadre des règles de la courtoisie. Personne, assurément, n'avait envie de paraître agressif.

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