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started by escaping1 escaping1 on 15 Dec 14
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    « C'est injuste », estime le député Mahmoud Othman, pour qui « la puissance occupante américaine est responsable du pays ». La mise en garde de Baker rappelle l'avertissement lancé la semaine dernière par George Bush au premier ministre Nouri al-Maliki, qui se serait vu offrir « une dernière chance » lors de sa rencontre en Jordanie avec le président américain. Pour calmer l'impatience de Washington, Maliki a annoncé la tenue d'une conférence de réconciliation en décembre à Bagdad. Les Kurdes, associés également au pouvoir en Irak, expriment des réticences sur l'appel en faveur de la préservation d'un État central fort, garant d'un partage équitable de la manne pétrolière, selon Baker, mais incompatible avec leurs aspirations sécessionnistes.Si la minorité sunnite, de son côté, approuve le bilan désastreux dressé par la commission américaine, elle critique, en revanche, l'absence de calendrier fixé pour un retrait des troupes étrangères, sa principale revendication avant d'envisager une plus grande implication dans le jeu politique local. Les sunnites comptent poursuivre la mobilisation des pays arabes en leur faveur. Face à ces manoeuvres, Kurdes et chiites vont tout faire pour convaincre Bush de prendre ses distances vis-à-vis d'un texte qui jette une lumière crue sur leur administration de l'Irak. ensemble lacoste pas chere
    D'où le voyage aux États-Unis du leader chiite Abdel Aziz al-Hakim, qui vient d'être reçu à la Maison-Blanche par George Bush. UNE VIVE querelle oppose les États membres de l'Union européenne sur la nécessité de renouer ou non avec la Serbie. Les Vingt-Cinq, qui se réunissent lundi à Bruxelles, pourraient décider de reprendre le rapprochement avec Belgrade, pourtant expressément lié, depuis mai dernier, à l'arrestation de Radovan Karadzic et Ratko Mladic, les anciens chefs des Serbes de Bosnie, inculpés de génocide depuis 1995 par le Tribunal pénal international pour l'ex-Yougoslavie (TPI).Exaspérée par le manque de coopération de Belgrade avec le TPI, la Commission européenne avait suspendu au printemps les négociations de rapprochement entamées avec Belgrade. C'était une victoire pour le procureur Carla Del Ponte, qui dénonçait le manque de volonté politique des Occidentaux et exigeait des sanctions contre la Serbie.Sept mois plus tard, l'UE se divise sur la nécessité de maintenir cette condition. L'Italie et la Hongrie, soutenues par les Etats-Unis, militent pour une reprise immédiate et sans conditions des discussions avec Belgrade. bonnet lacoste pas cher Cet assouplissement serait, selon eux, le meilleur moyen d'empêcher les ultranationalistes serbes, bien placés dans les sondages, de gagner les élections en janvier prochain. Ils estiment que les pressions exercées par la communauté internationale contre la Serbie n'ont donné aucun résultat. Et parient que si la Serbie signe l'accord d'association et de stabilisation avec l'UE, les démocrates, renforcés, se laisseront alors convaincre de coopérer avec la justice internationale.La levée des sanctions contre la Serbie est aussi considérée par certains comme le seul moyen d'obtenir l'assentiment de Belgrade à l'indépendance du Kosovo et d'éviter ainsi de nouvelles violences dans cette ancienne province de Serbie. Initialement prévues cette année, les propositions que doit faire à ce sujet l'envoyé spécial de l'ONU pour le Kosovo ont été reportées de plusieurs mois, pour ne pas interférer avec les législatives en Serbie. Quant aux États-Unis, ils ont aujourd'hui d'autres chats à fouetter - en Irak, en Iran, en Corée du Nord - et verraient par ailleurs d'un bon oeil la fermeture du TPI.Un verrou a sauté à l'OtanEn face, la France en tête, suivie des Pays-Bas, de l'Allemagne, de la présidence finlandaise et de la Grande-Bretagne, défendent une position de fermeté vis-à-vis de la Serbie. vestement lacoste homme pas cher
    Catherine Colonna, ministre délégué aux Affaires européennes, le soulignait hier : « Nous ne construirons pas l'Europe de demain en omettant de nous interroger sur son passé. La coopération réelle de Belgrade avec le TPI est une nécessité. Ce sont des principes et des valeurs auxquelles la France croit. Les élections en Serbie et la question du Kosovo ne sont pas des arguments utilisables pour la reprise des négociations avec Belgrade. »Il n'empêche qu'un verrou a déjà sauté fin novembre au sommet de l'Otan à Riga, lorsque les pays de l'Alliance ont invité la Serbie à rejoindre le Partenariat pour la paix. Réaffirmé par oral, le principe de conditionnalité n'a pas été retranscrit par écrit. Autant dire, donc, qu'il n'existe plus.

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