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Chargé par France Stratégie d'une enquête concernant la connaissance et les opinions des Français sur la transmission du patrimoine et sur sa taxation, le Crédoc livre ses conclusions dans une publication d'octobre 2018. Deux Français sur trois espèrent transmettre un patrimoine D'après l'enquête du Crédoc, 33% des Français ont bénéficié d'une transmission de patrimoine (28% d'un héritage et 16% d'une donation du vivant). Parmi les bénéficiaires, les propriétaires d'un logement ont plus souvent déjà reçu une transmission. Par ailleurs, les personnes ayant des revenus élevés possèdent plus souvent des biens de valeur, logements ou autres, leur assurant une sécurité supplémentaire par rapport à l'avenir. Les inégalités de patrimoine viennent donc amplifier, voire expliquer les inégalités de revenu. Deux Français sur trois s'imaginent futurs donataires ou héritiers. Ils sont par ailleurs très attachés à l'idée de pouvoir transmettre un patrimoine (le plus souvent leur logement) en particulier à leurs enfants pour les aider à démarrer dans un monde incertain. Les non-diplômés (59%), les titulaires de bas revenus (54%), les ouvriers (49%) et les personnes au foyer (49%) ou encore les locataires (49%) sont plus nombreux parmi les personnes qui ne pensent pas hériter ou bénéficier d'un don. Une taxation à moduler en fonction des liens entre donateurs et donataires Les personnes interrogées souhaitent que la taxation de l'immobilier (le patrimoine le plus répandu) soit moindre que celle du patrimoine professionnel. Ce sont les biens de valeur et le patrimoine financier qui doivent être plus lourdement taxés, alors qu'actuellement une partie des biens de valeur et du patrimoine financier peut être exonérée d'impôt (transmission d'entreprise sous certaines conditions, assurances-vie, oeuvres d'art, etc.). Le barème appliqué à la fiscalité des transmissions se révèle méconnu e

"Grâce au caté, vos enfants grandissent avec Dieu. Vous aussi, faites grandir l'Eglise ! Au catéchisme, votre enfant va beaucoup recevoir. Donnez un peu pour l'Eglise qui l'accompagne et qui accueille votre famille."

"Je voudrais aussi au milieu de ce mois d'août attirer votre attention sur les moyens de la mission. Je vous le partage souvent, mon rôle d'évêque est de vous rappeler notre nécessaire participation aux ressources au service de la mission. Nos églises sont loin d'être vides, des jeunes se marient, font baptiser leurs enfants, des enfants et des adolescents sont catéchisés, … et pourtant le nombre de donateurs au denier de l'Eglise ne cesse de baisser. L'objectif est simple : augmenter le nombre de personnes qui contribuent matériellement à soutenir la mission. Nous devons donc nous mobiliser et trouver des nouvelles façons d'exprimer ce besoin vital. J'ai la forte conviction que notre action pastorale est dynamique, missionnaire et profonde, soyez-en remerciés chacun. J'ai aussi la forte conviction que nous ne devons pas toujours inventer des nouvelles propositions pastorales (même si les nouveautés sont les bienvenues), mais plutôt mettre en valeur toutes ces initiatives qui font la richesse de nos pôles. C'est pourquoi, cette année, durant l'Avent, je vous propose de vivre le week-end diocésain Prier, Aimer Donner  : Prier avec la communauté, aimer son prochain, et donner pour soutenir la mission. Il s'agit d'un week-end de mobilisation diocésain qui a pour objet de mettre en avant les propositions pastorales du pôle sous un angle nouveau. Chaque pôle décidera la date la mieux appropriée."

"Afin de sensibiliser les enfants qui vont au catéchisme, et leurs parents, à l'importance de leur participation au Denier de l'Eglise, le diocèse de Lyon édité une nouvelle brochure intitulée : Le Denier, c'est quoi ?"

"Le prêtre accompagne, célèbre et suit les différents sacrements, comme votre mariage, le baptême de votre enfant, la communion de votre nièce. Sa mission est financée par vos dons : le Denier de l'Eglise."

"La Commission interdiocésaine pour la protection des enfants et des jeunes a rendu son rapport annuel, révélant l'ouverture de 95 nouveaux dossiers depuis deux ans"

"La campagne 2019 démarre dans le diocèse cette fin de semaine (samedi 9 pour les messes anticipées et dimanche 10 février). Le thème et le visuel proposés cette année mettent en avant la Diaconie de toute l'Eglise, à travers le ministère de tous les prêtres et la collaboration particulière des laïcs salariés qui assurent une fonction administrative ou une mission ecclésiale, mais aussi à travers l'engagement des si nombreux bénévoles vécu en communauté dans des équipes de liturgie - de préparation au baptême, au mariage - auprès des familles en deuil, des enfants du catéchisme, des malades et des plus fragiles - ou encore parce que membres d'une « EAP » (équipe d'animation pastorale), d'un « CP » (conseil pastoral), d'un « CPAE » (conseil paroissial pour les affaires économiques), d'une équipe denier !"

"Marié et père de trois enfants, Édouard Montier, président du Réseau des entrepreneurs solidaires (1), a radicalement changé de vie pour se mettre au service des missionnaires partout dans le monde."

"Une animation pédagogique et humoristique pour présenter le Denier de l'Église - son utilité et son importance. A partager sans modération."

"Ils sont 90 laïcs dans notre diocèse, appelés par notre évêque : vous en connaissez peut-être un ou une sur le territoire de notre paroisse… Ils consacrent quelques années de leur vie au service de l'Eglise en acceptant de réduire leur rémunération. Leurs missions sont multiples : agir - aider - écouter - partager - encadrer - s'investir - au service des enfants, des jeunes, des adultes, des malades, des aînés… En lien avec les paroisses et le doyenné, ils collaborent avec nos prêtres et nos diacres qui les accompagnent : ils agissent en baptisés engagés, ils œuvrent pour nous tous. Nos prêtres et nous tous, nous avons besoin d'eux."

"Une animation pédagogique et humoristique pour présenter le Denier de l'Église - son utilité et son importance. A partager sans modération."

"Nous voilà maintenant limités dans nos déplacements depuis près d'une semaine. Confinés chez nous, nous sommes dans l'impossibilité de recevoir l'eucharistie, de célébrer les sacrements ou même de nous réunir pour prier.   Cette période que nous vivons est difficile pour tous : pour nos malades et leurs soignants, pour nos anciens, pour les plus démunis qui vivement un isolement encore plus grand, pour vous qui restez confinés chez vous, et qui tentez de vivre cette période « d'ascèse spirituelle », pour les enfants qui perdent leurs repères, pour nos prêtres qui doivent s'adapter pour exercer au mieux leur ministère de pasteur, pour notre Église, impactée comme tout le monde par cette crise sanitaire et qui devra faire face, comme toute structure, à ses conséquences économiques."

"A l'instar des dons aux associations en baisse générale (- 4,2%), l'Eglise n'est pas à la fête! Imagine-t-on de ne plus avoir de prêtres pour accompagner les grands évènements de la vie de chacun ? Imagine-t-on ne plus pouvoir baptiser enfants et adultes, catéchiser, former les futurs prêtres ? C'est pourtant ce qui pourrait arriver si l'Eglise n'avait plus les moyens de remplir sa mission."

De nombreux sujets ont été abordés par Mgr Lacombe dont : "L'actualité chargée pour les lois de bioéthique : le projet de loi de bioéthique est arrivé en seconde lecture au Sénat. La mesure emblématique est l'extension de l'accès à la procréation médicalement assistée aux couples formés d'un homme et d'une femme ou de deux femmes ou de toute femme non mariée. La Marche pour la vie du 17 janvier, qui a reçu le soutien de bon nombre d'évêques de France, et notamment du nonce apostolique et du président de la CEF. Des milliers de Français ont manifesté pour défendre la vie et rappeler que l'engrenage qui conduit à l'avortement n'est pas une fatalité. Ils ont ainsi exprimé leur opposition. Les quatre vendredis de jeûne à partir du 15 janvier : les évêques de France ont invité les catholiques et les hommes et femmes de bonne volonté à "se tourner vers Dieu en priant et en jeûnant pour Lui demander la grâce de nous ouvrir les yeux". La semaine de prière pour l'unité des chrétiens qui s'est déroulée du 18 au 24 janvier. Chaque année, le principal temps fort œcuménique demeure la « Semaine de prière pour l'unité chrétienne » qui, depuis 1908, rassemble des chrétiens de toutes confessions du 18 au 25 janvier. (...) Les conséquences de la crise du covid sur les finances du diocèse. Le diocèse a perdu environ 350.000 euros en 2020 en raison de la pandémie mais ses 35 salariés (ETP) ont pu bénéficier du dispositif de l'Etat pour le chômage partiel. L'arrivée d'une communauté de religieuses vietnamiennes appartenant à la Congrégation « Marie Reine de la Paix » à Gémozac, prévue début février 2021. Leur vocation est l'accueil des enfants des nombreuses familles de Gémozac et des environs aux revenus modestes, afin d'assurer le soutien scolaire, le catéchisme, l'œuvre de patronage, l'aumônerie, etc. Elles apporteront également leur soutien aux personnes vulnérab

"Vous le savez, le Denier de l'Église sert à rémunérer les 'permanents' de la mission de l'Église diocésaine : principalement les prêtres (en activité et ceux retirés), mais aussi les animateurs pastoraux et les personnels de service ou de gestion. Ils ne vivent que grâce aux dons des fidèles. Ce soutien financier est indispensable pour que les paroisses continuent à annoncer la Bonne Nouvelle : reparler de Dieu dans ce temps éprouvant, revoir les malades et les plus fragiles, réunir les enfants et les jeunes pour la catéchèse."

"2020 touche à sa fin et qui sait ce que 2021 nous réserve. Mais aujourd'hui, on voulait vous dire merci. Merci aux prêtres, aux diacres, aux laïcs en mission, aux communautés religieuses d'avoir accompagné, soutenu, prié sans relâche. Merci aux équipes paroissiales qui par leurs initiatives et créativité ont gardé le lien. Merci aux bénévoles qui ont ouvert les portes des églises, organisé écoute, entraide et reprise des messes dans le respect des conditions sanitaires. Merci aux équipes de laïcs qui ont adapté leurs propositions pastorales et ont veillé à ce que personne ne soit oublié. Merci à ceux qui ont appris à faire des retransmissions en direct et à organiser des visios. Merci à ceux qui ont pris des nouvelles des personnes isolées et à ceux qui ont écouté. Merci à ceux qui ont soutenu les futurs mariés contraints de repousser les festivités. Merci à ceux qui ont accompagné les familles en deuil. Merci à ceux qui ont fait les courses pour leurs voisins. Merci aux parents pour avoir assuré la continuité des activités à la maison et aux enfants qui ont dessiné pour redonner le sourire aux personnes seules. Merci à ceux qui ont continué à apporter leur aide aux plus démunis. Merci à ceux qui ont prié pour les malades, les soignants, les aidants. Merci à ceux qui ont distribué les bonnes nouvelles du journal paroissial. Merci pour les mails, les appels, les vidéos, les retraites et parcours spirituels en ligne, les podcasts, les activités, les fiches, les prières, les tutoriels. Merci pour les sourires derrière des masques et les bras ouverts, à distance. Merci pour la fraternité, l'écoute, la présence, l'amour. Et merci à ceux qui nous permettent de poursuivre cette mission que le Christ a confié à l'Eglise par leur don au denier et la quête en ligne."

"Pour que l'Eglise continue de faire grandir nos enfants et nos jeunes dans la foi, je donne au Denier."

Nombre d'entre vous ont eu la chance de rencontrer Dieu lors de votre jeunesse. Cela a contribué à forger l'homme ou la femme que vous êtes, valeurs humaines, culture et surtout foi, espérance et charité. Et les jeunes, les enfants d'aujourd'hui auront-ils cette chance ? Sauront-ils que notre monde tre sa culture de nos racines chrétiennes ? Auront-ils accès à la source de l'eau vive, celle qui étanche notre soif dans les moments difficiles et inonde de sa joie les grands moments de la vie ? La réponse dépend de chacun de nous ! Je tiens à partager avec vous une préoccupation : mon souci d'annoncer l'Evangile aux nouvelles générations. C'est une grande responsabilité, la mienne, la vôtre, celle de toute notre Église d'Anjou

"En revanche, certains fidèles, abandonnés par le clergé durant 2 mois ont eu pour seul et unique courrier de leur diocèse un appel aux dons… Lequel courrier a vite rejoint la corbeille à papier. Il ne faut pas prendre les enfants du Bon Dieu pour des canards sauvages. Il y a des attitudes qui se paient… Les fonctionnaires du culte ont la monnaie de leur pièce. D'autant plus que bon nombre de fidèles ont été outrés par l'absence de l'épiscopat dans le référé-liberté exigeant la reprise du culte public (3 évêques avaient travaillé sur un recours, l'absence de soutien de la CEF les a découragés d'aller plus loin)."

"Comme le petit enfant fait avancer son mouton vers Noël, Nous aussi, nous avons le pouvoir de faire avancer l'Eglise ! Le Denier n'est pas un don comme un autre. Il témoigne d'un sentiment d'appartenance ou de fidélité envers l'Église, pour soutenir ceux qui sont plus spécialement en charge d'annoncer l'Evangile et de faire vivre l'Église. Votre diocèse compte sur vous."