Skip to main content

Home/ Apprendre 2.0/ Group items tagged lectures

Rss Feed Group items tagged

peir ric

La lecture numérique au regard des technologies de l'attention et des science... - 5 views

  • Notre attention procède d’ une forme d’économie (i.e. administration des ressources): en agissant comme un filtre intercesseur vers les éléments mémoriels à mobiliser, elle vise à nous protéger de la surcharge cognitive.
  • Il s’agit donc de prendre en compte les mécanismes de la mémoire pour comprendre les mécanismes de mobilisation de l’attention.
  • La mémoire a trois types d’activités: l’encodage, le stockage, le rappel des éléments mémorisés. Ces rappels peuvent se faire au niveau sémantique, syntaxique ou phonotique.
  • ...15 more annotations...
  • Elle est le résultat d’une perception (attention) et d’une construction circonstancielle (contexte). L’information perçue dans un temps donné d’attention prend sens – devient connaissance- dans un contexte, une association qui est mémorisée.
  • Il y a plusieurs modèles de la mémoire: épisodique, à court terme, sémantique, perceptive et procédurale (liée à l’action, au geste).
  • Au stade du rappel (ou du raisonnement, comme c’est analysé pour les situations de mécanismes décisionnels), deux stratégies humaines peuvent être mobilisées: on peut raisonner avec des heuristiques de représentativité (classification) ou des heuristiques de disponibilité (instanciation).
  • Les utilisateurs faisant face à trois problèmes majeurs (quantité d’information, localisation des informations, orientation), il faut leur donner des éléments de repérage (identifier les éléments porteurs de sens), d’agrégation (pouvoir nommer un ensemble afin de libérer de l’attention pour le reste), de cadrage (par rapport à un acquis préalable), et d’appropriation (à vérifier dans le temps par des études d’usage).
  • Enfin, les technologies ne doivent pas entrer en concurrence avec le cerveau humain mais en être complémentaires afin de libérer de la mémoire, de l’attention.
  • 1.    La lecture, expérience-clé, se transforme 2.    Le temps de lecture s’accélère 3.    Les capacités d’attention se modifient 4.    Un nouveau rapport au savoir s’invente 5.    De nouveaux défis pour les médiateurs
  • Du rouleau au codex, passage de la lecture collective à haute voix à la lecture individuelle silencieuse: apparition des points et espaces pour faciliter la lecture silencieuse.
  • XVe et XVIe siècles, l’imprimerie s’inscrit au coeur de l’Humanisme, qui voit le passage d’une lecture-médiation à une lecture-réflexion: production de nouveaux repères de lecture (titre, paragraphe, chapitre..). Aux XVIIIe et XIXe siècles, passage de la lecture d’autorité vers la lecture-distraction.
  • Le troisième âge distingué est celui de la lecture au temps de l’informatique numérique, qui marque le passage d’une lecture-continue à une lecture-dispersion (C. Vandendorpe, 2009).
  • Il faut aujourd’hui prendre en compte:
  • La diversification des finalités de lecture: lecture utilitaire et pragmatique, lecture dynamique et focalisée, lecture professionnelle et privée. Cela s’accompagne d’un nouveau rapport au savoir: rapport utilitaire et non plus humaniste au savoir, dans un processus de reconstruction permanente de l’information en fonction de son propre projet.
  • Le déroulement multitâche de la lecture induit par les supports numériques: vitesse, sauts, balayage; courtes séquences de concentration; activation de liens, retours en arrière; recours à des outils (visualisation, moteur de recherche).
  • Les types, capacités et supports de l’attention, qui se modifient: attention focalisée/sélective, spontanée/volontaire, hyper/poly attention; supports technologiques, nouveaux rythmes/repères, supports de l’interaction et interactivité; expérience corporelle émergente: l’acteur participant, multi-tâches, multi-polaire, multiculturel.
  • Lire est donc une pratique à réinventer. Elle exige de nouvelles compétences
  • t la construction de nouveaux repères sensoriels.
Patrick Flouriot

Aide personnalisée : des logiciels pour améliorer les compétences en Lecture ... - 4 views

  •  
    De nombreux logiciels gratuits ou à des prix très abordables en version multipostes permettent de mener des activités de différenciation en Lecture du cycle 1 au cycle 3.
Vahid Masrour

Eric Mazur on new interactive teaching techniques | Harvard Magazine Mar-Apr 2012 - 2 views

  • shift from “teaching” to “helping students learn.”
  • ctive learning overthrows the “transfer of information” model of instruction, which casts the student as a dry sponge who passively absorbs facts and ideas from a teacher
  • rethink the nature of the college course
  • ...2 more annotations...
  • Websites and laptops have been around for years now, but we haven’t fully thought through how to integrate them with teaching so as to conceive of courses differently
  • ask my students to read my lecture notes before class, and then tell me what questions they have [ordinarily, using the course’s website], and when we meet, we discuss those questions.
Duc de Lyre

Twitter outil pédagogique - 0 views

  •  
    Interview vidéo de Jean Roch Masson, professeur des écoles qui a décidé d'utiliser Twitter dans sa classe de CP pour que ses élèves améliorent leur lecture et leur écriture.
Darren Kuropatwa

Infobourg.com - TIC, actualité, grands dossiers et ressources en éducation - 1 views

  •  
    L'Infobourg est un site Web d'information consacré à l'éducation et tout particulièrement à l'intégration des technologies dans les salles de classe : tableau blanc interactif, lecture à l'écran, outils d'aide technologique et expériences technos en classe sont à l'honneur. Son ambition : aider les enseignants à tirer profit de la technologie pour favoriser la réussite de leurs élèves.
Don Doehla

Les contes d'Alphonse Daudet : 6 contes pour enfants, histoires pour s'endormir - 0 views

  •  
    Quelques contes de Daudet gratuits
Olivier KAPPES

RSA - Home - 0 views

  •  
    Royal Society (for the encouragement) of Arts & techniques - ONG Britannique remontant au XVIIIe siècle - conférences sur l'innovation - voir aussi RSAnimates
peir ric

Le web, plus qu'un bavardage, un vrai lieu «d'interaction politique» » OWNI, ... - 0 views

  • les internautes apportent une information soit locale, soit experte, qui n’est pas relayée par les médias traditionnels parce qu’elle est jugée sans importance ou trop compliquée ; en cela, ils enrichissent l’espace public.
  • L’innovation créative y est d’abord comprise comme un effet émergeant de la mise en commun d’idées qui se reprennent, se mêlent, se déforment et se recombinent les unes les autres.
  • En multipliant les points de vue, on contribue à socialiser et à politiser la conversation publique. Ce n’est pas grand-chose, mais cela modifie les perceptions que l’on peut avoir de l’actualité.
  • ...21 more annotations...
  • Internet produit surtout un enchevêtrement d’interprétations.
  • Soit le Web est un support de mobilisation des électeurs et des prescripteurs d’opinion, comme dans le cas de BarackObama.com.
  • C’est cette incorporation des points de vue des autres dans l’appréhension de l’information qui contribue à transformer la relation descendante et silencieuse de l’information des professionnels vers le public.
  • Comme l’a récemment très bien mis en valeur Yves Citton, une interprétation – à la différence d’une connaissance – ne peut se déployer que si elle rencontre l’assentiment d’une communauté d’interprètes – et la production de cet assentiment/dissentiment est la raison pour laquelle nous conversons tant.
  • travail pour accrocher le débat intellectuel au débat public.
  • Soit on demande aux militants et aux électeurs de coproduire le programme du candidat en mettant la société en conversation, comme dans l’expérience de Désirs d’avenir de Ségolène Royal.
  • la seconde voie, la plus exigeante et la plus conforme à la culture d’expressivité individuelle de l’Internet, est très compliquée à mettre en œuvre.
  • Il est frappant de voir que les études sur la viralité sur Internet ont remis au goût du jour, The People’s Choice, le livre de 1955 de Katz et Lazarsfeld sur les deux étages de la communication qui insistait sur les médiations sociales de proximité dans la diffusion des messages venus de l’espace public.
  • D’une certaine manière, l’Internet des réseaux sociaux ne fait que rendre visible ce qui a toujours constitué le quotidien des individus. On expose un babil qui a toujours existé ; mais désormais celui-ci accède a plus de visibilité, rencontre des interlocuteurs nouveaux en périphérie du réseau social de chacun et peut, rarement, mais cela arrive, accéder à une large publicité virale.
  • Les tweets ne font bien souvent que relayer un lien vers un site en ajoutant quelques mots de préface qui donnent un point de vue possible sur le lien en question. Or quand vous allez lire l’article, vous le ferez avec en tête le point de vue de celui qui vous l’a recommandé, en vous demandant s’il a raison ou tort d’avoir perçu les choses ainsi.
  • Internet a contribué à rendre beaucoup plus visible et accessible le travail d’expertise mené par des chercheurs, des passionnés, des militants et des petits collectifs qui étaient souvent extrêmement marginalisés dans le débat public.
  • Mais la question est de savoir si cela peut désenclaver l’agenda médiatique en favorisant une meilleure articulation du débat public avec les savoirs en marge ou en périphérie de l’espace médiatique traditionnel.
  • Le mode de prise de décision de l’Internet est le consensus entre les plus agissants. Il y a une différence majeure entre les techniques électorales de la démocratie représentative où l’on cherche à faire voter l’ensemble d’une population définie et connue à l’avance en donnant le même poids à chaque voix et le processus de prise de décision dans les mondes en réseaux où l’on cherche à obtenir le consensus de ceux qui sont les plus mobilisés et donc les plus enclins à débattre, argumenter et accepter la décision collective.
  • c’est la forme du “consensus apparent”, comme l’appelle Philippe Urfalino , qui domine. On est d’accord jusqu’à ce que quelqu’un de la communauté exprime publiquement un désaccord.
  • Dans ce système, ce sont les plus convaincus et les plus actifs qui créent la tendance dominante ; par une sorte de division du travail interne aux communautés de l’Internet, ceux qui s’intéressent moins à la question ou sont moins convaincus délèguent leur voix aux plus actifs en se taisant, jusqu’au point de rupture.
  • La manière dont Internet agit sur l’espace public est beaucoup plus proche des techniques de mobilisation collective, comme la manifestation ou la pétition, que du choix électoral.
  • Plutôt que de limiter ces interprétations à un cercle d’herméneutes spécialisés qui proposeront une lecture particulière des données en les agrégeant selon certaines catégories statistiques, les tenants des données ouvertes pensent qu’une ouverture plus large des données publiques permettra à de nouvelles communautés interprétatives de révéler des significations non-anticipées ou non vues.
  • D’une part, on assiste à un renforcement des techniques de captation de l’attention de l’électeur qui fonctionnent sur l’hyperpersonnalisation du candidat, la peoplisation du milieu, le storytelling et les “éléments de langage”. Ce formatage communicationnel et narratif du discours politique se représente un électeur qui réfléchit peu et attend de belles histoires.
  • Ce qui change alors, dans l’esprit des professionnels de la communication politique, c’est que l’électeur n’est plus un spectateur inerte mais un internaute mimétique et qu’il faut lui servir des narrations virales pour faire l’opinion.
  • Mais d’autre part, et cette ambivalence caractérise très bien notre situation actuelle, on observe sur Internet des attentes à l’égard de l’espace public qui sont toutes différentes : une forme de distanciation critique, une reprise d’autonomie à l’égard des messages médiatiques, une volonté de participation à la définition des enjeux publics,
  • Le développement d’une “société d’interprètes” augmente la diversité des points de saisie de l’événement, tout en accroissant les contraintes de vérification et de certification des faits qui le sous-tendent. Dans une époque où le décalage entre les discours et les actes est devenu si important, l’invocation d’un accès plus large, et non déformé, à l’information est devenue essentielle, non seulement pour les citoyens, mais aussi pour les journalistes qui honorent le mieux la déontologie de leur profession, comme l’a montré le travail commun de grandes rédactions de journaux et de Wikileaks.
peir ric

Mémoires et apprentissages* | Formation et culture numérique - Thot Cursus - 0 views

  • 'il existe une hiérarchie de plusieurs mémoires spécifiques ou plusieurs niveaux de traitement de la mémoire.
  • Alain Lieury dresse une "géographie de la mémoire" dans laquelle on distingue les éléments suivants : Les mémoires sensorielles (iconique, auditive, tactile, kinesthésique) La mémoire lexicale La mémoire sémantique
  • importance de la subvocalisation (= prononcer metalement les mots lus lors d'une lecture silencieuse) qui permet de "réinjecter" les mots dans notre mémoire lexicale lorsque nous lisons ou entendons des informations.
  • ...3 more annotations...
  • Les capacités réduites de cette mémoire ( limitée à 7 éléments; on parle alors d'empan mnésique) semblent militer pour une revalorisation de la répétition et de l'apprentissage par coeur. 
  • l'apprentissage par coeur ne fait que renforcer la mémoire lexicale au détriment du sens.
  • la théorie d'Endel Tulving consacrée à la "mémoire épisodique". Il préconise de multiplier les épisodes qui peuvent prendre la forme d' exercices, de travaux pratiques, de recherche documentaire, par exemple, créant ainsi un "emboîtement d'épisodes" essentiel pour la construction de la mémoire sémantique. 
  •  
    " Alain Lieury dresse une "géographie de la mémoire" dans laquelle on distingue les éléments suivants : Les mémoires sensorielles (iconique, auditive, tactile, kinesthésique) ; La mémoire lexicale ; La mémoire sémantique... "Les capacités réduites de cette mémoire [de travail] ( limitée à 7 éléments; on parle alors d'empan mnésique) semblent militer pour une revalorisation de la répétition et de l'apprentissage par coeur... la théorie d'Endel Tulving consacrée à la "mémoire épisodique". Il préconise de multiplier les épisodes qui peuvent prendre la forme d' exercices, de travaux pratiques, de recherche documentaire, par exemple, créant ainsi un "emboîtement d'épisodes" essentiel pour la construction de la mémoire sémantique."
1 - 12 of 12
Showing 20 items per page