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peir ric

L'art et la manière d'ignorer la question des médias - Acrimed | Action Criti... - 1 views

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    quels sont les arguments avancés par les scientifiques pour ne pas conduire une critique des médias. Et quelles sont les raisons profondes qui peuvent les pousser réellement à ne pas le faire.
Nicolas Casel

Education aux médias et à l'Internet - 1 views

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    Ce dossier montre l'intérêt éducatif de l'éducation aux médias et par les médias et propose une sélection commentée de sites spécialisés. Après en avoir précisé le sens, le dossier montre la place de l'éducation aux médias dans les programmes scolaires et indique les compétences informatique et Internet attendues chez les élèves. Il rappelle le rôle du CLEMI et les recommandations de l'Inspection générale et d'autres instances, en France et à l'international. Le dossier présente ensuite des sites spécialisés, avec des pistes pédagogiques et des ressources en ligne, pour apprendre aux élèves à décrypter les médias (presse écrite et audiovisuelle, Internet), à développer leur sens critique et à devenir des citoyens responsables dans la société numérique. Il signale également des sites où consulter la presse en ligne, actualités et archives, et des annuaires de presse. Le sujet est envisagé sous divers angles, pédagogique, culturel et juridique. Une bibliographie permet de l'approfondir.
sylviere doc

Portfolio numérique en enseignement secondaire - 0 views

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    "(...) La méthodologie liée au portfolio développe la métacognition et l'autoévaluation chez la personne apprenante, qui pose un regard critique sur elle-même. Il offre également un moyen de conserver, de manière structurée, ses productions et d'exposer ses progrès..."
sylviere doc

Le cours magistral pourrait disparaître - Le Figaro Étudiant - 0 views

  • «Le cours magistral, qui ne ferait que transmettre un savoir académique, est-il encore pertinent?»
  • Avec Internet, les connaissances sont disponibles et les longs monologues du professeur imposant un rythme unique d’apprentissage à des jeunes tous différents sont désormais jugés dépassés.
  • Les cours magistraux maintiendraient les élèves dans un état de passivité,
  • ...5 more annotations...
  • «transformer la salle de classe en un espace de discussion, où le professeur dirige les débats concernant les problèmes mentionnés dans le cas»
  • Ce qui permet aux jeunes d’exercer leur esprit critique plutôt que d’écouter benoîtement leur enseignant.
  • «Le rapport au savoir est en train de changer, et le professeur en a perdu le monopole»
  • «Les outils numériques ouvrent des possibilités de pédagogie à distance» et donnent «à chacun l’accès à une quantité énorme de connaissances, partout et à chaque instant». Pour être encore utile, l’enseignant doit donc se réinventer.
  • Il faut se préparer à une mutation de l’Enseignement supérieur ,où le rapport direct entre l’enseignant et l’étudiant sera privilégié dans le cadre de petits groupes de projets ou d’expériences»
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    "À l'occasion des Assises de l'Enseignement supérieur , les professeurs ont évoqué la fin du cours traditionnel en amphi. Une première. Avec les connaissances à disposition sur le Net, les enseignants doivent changer de rôle et animer la réflexion. "
gallypette

Comment l'internet transforme-t-il la façon dont on pense ? (1/5) : un réseau... - 0 views

  • L’internet a mis l’ingéniosité et la pensée critique à l’avant-garde et a relégué la mémorisation des faits à l’exercice mental ou au divertissement
Yann Leroux

Kids Create -- and Critique on -- Social Networks | Edutopia - 0 views

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peir ric

Le web, plus qu'un bavardage, un vrai lieu «d'interaction politique» » OWNI, ... - 0 views

  • les internautes apportent une information soit locale, soit experte, qui n’est pas relayée par les médias traditionnels parce qu’elle est jugée sans importance ou trop compliquée ; en cela, ils enrichissent l’espace public.
  • L’innovation créative y est d’abord comprise comme un effet émergeant de la mise en commun d’idées qui se reprennent, se mêlent, se déforment et se recombinent les unes les autres.
  • En multipliant les points de vue, on contribue à socialiser et à politiser la conversation publique. Ce n’est pas grand-chose, mais cela modifie les perceptions que l’on peut avoir de l’actualité.
  • ...21 more annotations...
  • Internet produit surtout un enchevêtrement d’interprétations.
  • Soit le Web est un support de mobilisation des électeurs et des prescripteurs d’opinion, comme dans le cas de BarackObama.com.
  • C’est cette incorporation des points de vue des autres dans l’appréhension de l’information qui contribue à transformer la relation descendante et silencieuse de l’information des professionnels vers le public.
  • Comme l’a récemment très bien mis en valeur Yves Citton, une interprétation – à la différence d’une connaissance – ne peut se déployer que si elle rencontre l’assentiment d’une communauté d’interprètes – et la production de cet assentiment/dissentiment est la raison pour laquelle nous conversons tant.
  • travail pour accrocher le débat intellectuel au débat public.
  • Soit on demande aux militants et aux électeurs de coproduire le programme du candidat en mettant la société en conversation, comme dans l’expérience de Désirs d’avenir de Ségolène Royal.
  • la seconde voie, la plus exigeante et la plus conforme à la culture d’expressivité individuelle de l’Internet, est très compliquée à mettre en œuvre.
  • Il est frappant de voir que les études sur la viralité sur Internet ont remis au goût du jour, The People’s Choice, le livre de 1955 de Katz et Lazarsfeld sur les deux étages de la communication qui insistait sur les médiations sociales de proximité dans la diffusion des messages venus de l’espace public.
  • D’une certaine manière, l’Internet des réseaux sociaux ne fait que rendre visible ce qui a toujours constitué le quotidien des individus. On expose un babil qui a toujours existé ; mais désormais celui-ci accède a plus de visibilité, rencontre des interlocuteurs nouveaux en périphérie du réseau social de chacun et peut, rarement, mais cela arrive, accéder à une large publicité virale.
  • Les tweets ne font bien souvent que relayer un lien vers un site en ajoutant quelques mots de préface qui donnent un point de vue possible sur le lien en question. Or quand vous allez lire l’article, vous le ferez avec en tête le point de vue de celui qui vous l’a recommandé, en vous demandant s’il a raison ou tort d’avoir perçu les choses ainsi.
  • Internet a contribué à rendre beaucoup plus visible et accessible le travail d’expertise mené par des chercheurs, des passionnés, des militants et des petits collectifs qui étaient souvent extrêmement marginalisés dans le débat public.
  • Mais la question est de savoir si cela peut désenclaver l’agenda médiatique en favorisant une meilleure articulation du débat public avec les savoirs en marge ou en périphérie de l’espace médiatique traditionnel.
  • Le mode de prise de décision de l’Internet est le consensus entre les plus agissants. Il y a une différence majeure entre les techniques électorales de la démocratie représentative où l’on cherche à faire voter l’ensemble d’une population définie et connue à l’avance en donnant le même poids à chaque voix et le processus de prise de décision dans les mondes en réseaux où l’on cherche à obtenir le consensus de ceux qui sont les plus mobilisés et donc les plus enclins à débattre, argumenter et accepter la décision collective.
  • c’est la forme du “consensus apparent”, comme l’appelle Philippe Urfalino , qui domine. On est d’accord jusqu’à ce que quelqu’un de la communauté exprime publiquement un désaccord.
  • Dans ce système, ce sont les plus convaincus et les plus actifs qui créent la tendance dominante ; par une sorte de division du travail interne aux communautés de l’Internet, ceux qui s’intéressent moins à la question ou sont moins convaincus délèguent leur voix aux plus actifs en se taisant, jusqu’au point de rupture.
  • La manière dont Internet agit sur l’espace public est beaucoup plus proche des techniques de mobilisation collective, comme la manifestation ou la pétition, que du choix électoral.
  • Plutôt que de limiter ces interprétations à un cercle d’herméneutes spécialisés qui proposeront une lecture particulière des données en les agrégeant selon certaines catégories statistiques, les tenants des données ouvertes pensent qu’une ouverture plus large des données publiques permettra à de nouvelles communautés interprétatives de révéler des significations non-anticipées ou non vues.
  • D’une part, on assiste à un renforcement des techniques de captation de l’attention de l’électeur qui fonctionnent sur l’hyperpersonnalisation du candidat, la peoplisation du milieu, le storytelling et les “éléments de langage”. Ce formatage communicationnel et narratif du discours politique se représente un électeur qui réfléchit peu et attend de belles histoires.
  • Ce qui change alors, dans l’esprit des professionnels de la communication politique, c’est que l’électeur n’est plus un spectateur inerte mais un internaute mimétique et qu’il faut lui servir des narrations virales pour faire l’opinion.
  • Mais d’autre part, et cette ambivalence caractérise très bien notre situation actuelle, on observe sur Internet des attentes à l’égard de l’espace public qui sont toutes différentes : une forme de distanciation critique, une reprise d’autonomie à l’égard des messages médiatiques, une volonté de participation à la définition des enjeux publics,
  • Le développement d’une “société d’interprètes” augmente la diversité des points de saisie de l’événement, tout en accroissant les contraintes de vérification et de certification des faits qui le sous-tendent. Dans une époque où le décalage entre les discours et les actes est devenu si important, l’invocation d’un accès plus large, et non déformé, à l’information est devenue essentielle, non seulement pour les citoyens, mais aussi pour les journalistes qui honorent le mieux la déontologie de leur profession, comme l’a montré le travail commun de grandes rédactions de journaux et de Wikileaks.
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