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Les forums: ou la fin des études de marché? » Article » OWNI, Digital Journalism - 0 views

  • Les forums ont été, avec l’e-mail, les premiers services à être proposés sur Internet. Cela s’appelait la hiérarchie Usenet, elle fut inventée en 1981
  • Deux éléments ont changé la donne : l’augmentation du nombre d’abonnés Internet, et l’arrivée du web.
  • Sont donc arrivés dans ces forums des personnes plus inclines à s’exposer, généralement au travers de messages provocants, que d’aider la communauté. Elles portent un nom délicieux : les trolls
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  • Moore le disait explicitement, dans son livre Crossing the chasm : « il vaut mieux trois clients qui se parlent que dix clients qui ne se parlent pas.»
  • La connaissance que l’on peut avoir est largement supérieure à tout sondage.
  • Les spécialistes de l’informatique théorique ont l’habitude de structurer la connaissance en trois niveaux : la connaissance individuelle (quelqu’un sait), la connaissance collective (tout le monde sait), et la connaissance globale (tout le monde sait que les autres savent)
  • Le fameux quatrième pouvoir des médias consiste à savoir faire passer du niveau un au niveau deux ; tout le monde (ou presque) ayant lu les journaux, écouté la radio, vu la télévision. La grande puissance d’Internet est de faire passer du niveau deux au niveau trois.
  • Seul le forum de discussion permet de mettre en valeur une telle démarche intelligente, qui passera inaperçue à toute étude de marché. Il est plus difficile de poser la bonne question que de trouver la bonne réponse. Le forum permet souvent de trouver  les bonnes questions.
  • Allons même plus loin : beaucoup de passionnés mettent comme signature automatique leur configuration, que ce soit leur voiture, leur chaîne hifi, ou bien les softs sur leur téléphone portable. Combien d’entreprises dépensent de l’argent pour savoir de quoi sont équipés leurs clients, alors qu’ils le disent spontanément dans les forums
  • La simplicité du bouton «j’aime» de Facebook ne pousse pas à écrire des commentaires réfléchis.
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    Et si les forums étaient le meilleur endroit pour faire des enquêtes qualitatives et quantitatives ?
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Wikimindmap, le mindmapping automatique dans Wikipedia - 0 views

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    Il est possible de faire un mindmapping avec Wikipedia - très pratique (et très simple) pour connaitre les champs d'un domaine - Pour les contributeurs ou futur contributeur de Wikipedia, l'outil permet de réajuster la carte en développement les champs de connaissances qui manquent (liens sur nouvelle page...) - Sur "utilisation pratique web 2.0" : quelques petites explications techniques : permet d'obtenir une carte au format Freemind....
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Les vraies ruptures d'Internet, par Serge Soudoplatoff - Fabrique de sens - 0 views

  • Quand on partage un bien matériel il se divise, je prends une pizza je la divise en quatre chacun a un quart de pizza. Quand on partage un bien immatériel, il se multiplie.
  • Pour moi la plus belle analogie à Internet, c’est l’invention de l’alphabet
  • Mettez-vous à -2000, -1500 quelqu’un arrive et vient vous expliquer qu’il faut arrêter de dessiner un arbre et qu’il faut passer par une horrible abstraction, qui est un ensemble de symboles : A R B R E ou l’équivalent de l’époque. Est-ce que vous vous imaginez la résistance au changement ?
  • ...32 more annotations...
  • Socrate qui en rajoute une couche : « L’écrit ne véhicule pas la connaissance mais l’illusion de la connaissance »
  • Internet, pour comprendre sa naissance, c’est plutôt ce que l’on appelle l’innovation par percolation
  • C’est-à-dire que des gens font des papiers, inventent des choses, puis dans un autre coin d’autres personnes sont quelque part un peu sur les mêmes idées, inventent aussi d’autres choses et puis un jour ces gens se rencontrent et disent : tiens, c’est amusant, on est sur les mêmes idées
  • 1961, un papier extrêmement théorique d’un étudiant du MIT, Kleinrock, qui dit : si je veux que deux ordinateurs communiquent entre eux, quel protocole dois-je utiliser ?
  • Vous voyez, déjà, on abandonne l’idée d’une certaine forme de centralisation et déjà on passe tout de suite par une descente de l’intelligence dans le conducteur du camion
  • 1962, un autre article du MIT, celui-ci très sociologique, d’une espèce de galaxie interconnectée où les gens s’échangeraient des documents, des informations etc
  • 1964, un autre étudiant qui fait sa thèse sur justement la construction d’un réseau, qui serait maillé, qui ne serait pas du tout centralisé et qui montre qu’un réseau maillé est beaucoup plus résistant à une attaque qu’une autre forme de réseau
  • « Nous rejetons les rois, les présidents et le vote, nous croyons au consensus grossier et aux bouts de codes qui marchent »
  • le troisième niveau : tout le monde sait que les autres savent
  • Il ne faut pas s’étonner si aujourd’hui il y a des gens qui écrivent dans Wikipédia entre 10h du soir et 2h du matin, ce sont des passionnés en réseau.
  • premièrement Al Gore, vice-président des États-Unis fait son « Livre blanc », dans lequel il dit : nous allons interconnecter les écoles, les hôpitaux, les administrations
  • Tim Berners-Lee à Genève invente le web. Et le web prend tellement d’importance qu’aujourd’hui tout le monde confond Internet le web
  • Le web n’est qu’une partie d’Internet. Quand on fait du Skype, on ne fait pas du web. Mais pourtant aujourd’hui, c’est tellement important que tout le monde confond Internet et le web
  • Donc, on peut se poser la question, finalement un mode de gouvernance en réseau, sans chef, avec des passionnés qui s’échangent entre eux, a réussi à interconnecter un quart de la population en moins de 20 ans, je pense que le résultat mérite que l’on s’y arrête quelque peu.
  • Moi, ce que je dis c’est qu’Internet n’a rien inventé. En revanche, Internet a permis à des formes sociales qui préexistaient de se développer.
  • Premier thème, la valeur est dans le réseau aujourd’hui
  • Il y a trois niveaux de connaissance, quand on fait de l’informatique théorique. Premier niveau, la connaissance individuelle, je sais. Quelqu’un sait, un ingénieur savait qu’il y avait un problème.
  • Le deuxième niveau, c’est la connaissance collective, tout le monde sait, et ça, c’est la grande force des médias, la presse, la radio, la télévision, de monter du niveau 1 au niveau 2
  • Internet, il n’y a pas de chef. Internet, il faut comprendre que c’est des conglomérats de passionnés en réseau qui finalement font ça, je ne vais pas dire pour la beauté du geste, mais par passion
  • dans le domaine économique
  • Deuxième domaine
  • « Le mendiant et le restaurateur ». Le mendiant arrive prêt d’un restaurant, ça sent bon mais il n’a pas d’argent, il ne peut pas rentrer. Le restaurateur est furieux, commence à vouloir jeter le mendiant et lui demande de payer. L’affaire va devant le juge. Le mendiant dit : monsieur le juge, je n’ai pas mangé, donc je n’ai pas à payer. Le restaurateur dit : il n’a pas mangé mais il a humé, or l’odeur comme la saveur est le résultat de mon expertise, donc il doit payer.
  • . La chute, vous la connaissez peut-être, elle est magnifique : le juge écoute les parties, se tourne vers le mendiant et lui dit : as-tu pièce de monnaie ? Le mendiant dit : j’ai perdu, j’en ai une. Donne-là moi, dit le juge. Il prend la pièce de monnaie, se tourne vers le restaurateur, fait tinter la pièce, ding-ding-ding, tu as entendu, tu es payé. Il rend la pièce de monnaie au mendiant. Quelque part, je me dis qu’il a fait l’équivalent d’un fichier MP3, il a mis de la valeur dans un son.
  • Je vous annonce qu’il existe une entreprise américaine qui donne son cœur de métier et qui ne se rémunère qu’à la marge, sur des produits annexes. Si je vous dis que cette entreprise fait 21 milliards de dollars de chiffre d’affaires et 6 milliards de dollars de marges, vous aurez compris qu’il s’agit de Google. Si demain Google fait payer son cœur de métier, Google disparaît. Donc, vous voyez, on est dans des modèles économiques qui sont très innovants.
  • Aujourd’hui, Internet c’est la valeur d’usage qui fait le prix.
  • Et troisième forme, qui est très intéressante, c’est ce que j’appelle le co-design, le client, le citoyen, le consommateur ne veut plus consommer bêtement les produits et les services et veut de plus en plus faire partie de la conception de ces produits et de ces services
  • Finalement, un modèle où les clients sont en réseau, les frontières de l’entreprise sont poreuses et où l’entreprise reste sous une forme verticale, ce n’est pas un modèle soutenable. Et ce qui se passe dans le monde de l’entreprise et vrai aussi dans le monde de la politique, est vrai dans tout un tas d’autres modèles.
  • Donc, finalement, qu’est-ce que c’est qu’Internet ? D’abord, ce n’est pas la télévision, c’est un réseau, c’est une communauté
  • Avec Internet, nous retrouvons la place du marché du villag
  • Avec Internet, nous retrouvons les phénomènes tribaux, la tribu devient quelque chose d’important, la marque devient quelque chose d’important sauf que jusqu’à présent nous n’avions pas la technologie qui nous permettait finalement d’échanger et d’avoir cette espèce de gigantesque réseau qui unit un peu tous les individus
  • Donc, finalement le RER ne sert pas du tout à raccourcir le temps de trajet, le RER sert à agrandir la ville
  • En revanche, ce qui a énormément changé depuis le Moyen-âge, c’est que la quantité d’interactions, pendant cette 1h30, a explosé. Nous avons des textos, nous regardons nos E-Mails, nous avons des télévisons, nous voyons plein de choses.
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Comment la course à l'attention renforce la société de l'ego » Médiaculture - 0 views

  • A l’époque préhistorique, la survie du groupe se joue sur des critères de force et de résistance physique individuell
  • Autre critère déterminant en termes de survie : la cohésion, la solidarité du groupe qui permet de lutter contre les animaux sauvage
  • Dernier facteur sélectif primordial pour la survie du groupe et qui, selon la théorie darwinienne, entraîne l’évolution de l’espèce humaine : l’intelligence. Celle-ci permettant l’élaboration d’armes pour se protéger,
  • ...19 more annotations...
  • De nos jours les risques liés à la survie immédiate ont disparu mais d’autres enjeux sont apparus, notamment la nécessité d’émerger au sein de la multitude.
  • D’où ce besoin de différenciation plus fort qui passe par la maîtrise de l’intelligence communicationnelle.
  • Nos modes de vie de plus en plus urbanisés, la centralisation des activités humaines liée à l’industrialisation a rapproché géographiquement les individus
  • Par ailleurs la société moderne accentue la standardisation des modes de vie qui se calque d’une part sur l’homogénéité des activités professionnelle
  • Société de consommation standardisée qui s’auto-alimente par les mécanismes de différenciation sociale comme l’ont bien montré Jean Baudrillard (“La société de consommation”) ou Pierre Bourdieu (“La distinction”).
  • Les bons mots échangés sur Facebook, les articles de blog comme celui-ci sont autant de moyens de faire connaître sa différence, sa singularité, sa valeur en tant qu’objet de consommation social et culturel.
  • Avoir une conversation en société, être “intéressant”, drôle, original est devenu un impératif social pour exister. Alors pour se faire, il faut alimenter la machine : on se tient de plus en plus au courant pour avoir des choses à raconter, on visite des expos, on va au ciné, on fait du bricolage, de la déco pour témoigner de sa créativité… En réalité la  motivation et la finalité sont très souvent sociales : il faut capter l’attention des autres, denrée de plus en plus rare.
  • Il faut toujours faire quelque chose : travailler, lire, regarder la TV, manger, dormir. La non-action, la contemplation est disqualifiée
  • Il faut rationaliser ses investissements affectifs, son temps de socialisation, ses marques d’attention à nos proches, nos amis, nos collègues. On entre ainsi dans un cercle vicieux : plus l’on s’active en vue d’une socialisation ultérieure, plus on raréfie l’attention globale disponible et donc moins l’on a de chance de se socialiser réellement.
  • Finalement les collègues sont les mieux lotis car ils bénéficient d’une attention “forcée”
  • Autant de nouvelles activités consommatrices de temps qui réduisent l’attention disponible aux autres. “Tu vas pas lâcher un peu ta console ?”, “Oh non ne m’appelle pas jeudi, c’est le jour de mon émission préférée”…
  • Les blogs, les réseaux sociaux, les plate-formes communautaires diverses (Flick’r, Youtube, WAT), les sites participatifs (Rue89, 20 minutes, Le Post)… Sans parler de l’ouverture des commentaires sur la plupart des sites d’information. Le robinet d’expression et d’égo est désormais ouvert
  • En entreprise le nouveau credo n’est plus tant le  “savoir faire” que le “faire savoir”. Les valeurs chrétiennes d’humilité ne sont plus opérantes de notre société en termes d’efficacité sociale.
  • D’ailleurs Internet s’il a échoué comme les autres technologies de l’information à démocratiser véritablement la culture et le savoir, est néanmoins un formidable propulseur de talents.
  • Enfin, cette course à la sociabilité, à l’attention génère une façade de sentiments et d’émotions fausses destinées à répondre à la demande supposée de la communauté.
  • - C’est la bonne humeur permanente, “la pêche” - C’est l’exagération des sentiments positifs “j’ai passé un suuuperrr week-end” - C’est la gentillesse mielleuse “vous êtes des amours, vous êtes vraiment formidables” - C’est l’humour, la dérision systématique, le LOL tellement plus tendance et jeune que le propos sérieux et rébarbatif.
  • Ceux qui n’ont pas été voir des films intelligents, des musées d’art modernes… qui héritent d’une conversation pauvre, sans valeur aux yeux de la classe moyenne/supérieure.
  • Ce sont les jeunes de banlieue qui se rassemblent au pied des immeubles, parlent leur langage, suivent un rituel d’appartenance bien précis. Qui les rassure et les enferme aussi
  • J’émerge donc je suis…
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Enquête sur les utilisateurs des Wikipédia. - MARSOUIN.ORG - 0 views

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    Quel est le profil des utilisateurs / contributeurs de wikipedia ?
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QR Code Periodic Table Of The Elements - 0 views

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    tableau en couleur, les qr-codes renvoient sur les pages Wikipedia des éléments cette fois
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Veille et recherche d'informations : quelles différences ? - CaddE-Réputation - 0 views

  • La veille, qui consiste globalement à mettre en surveillance des sources afin d’obtenir des informations nécessaires à la prise de décision, est un processus dont l’appellation est devenue générique, englobant un ensemble d’autres processus parfois distincts. Même si complémentaire, la recherche d’informations ne nécessite pas les mêmes approches (méthodologies, outils, processus) que la veille. Nous allons ici voir les différences entre ces deux concepts/processus.
  • Il est de plus en plus courant de lire et d’entendre parler de méthodologies de veille, qui souvent font allusions au fameux cycle du renseignement, à savoir la définition des besoins, la collecte, l’analyse et la diffusion de l’information
  • Stockage/mémorisation VS Flux
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  • l’un des objectifs d’une veille est la collecte (automatisée) d’informations
  • stocker de manière efficace les résultats afin de pouvoir ensuite s’y reporter en analyse, et/ou répondre à une question précise quelques temps après
  • Sources statiques VS Sources mouvantes
  • : dans une veille concurrentielle (par exemple) il est utile de repérer les sources intéressantes (sites des concurrents) pour les mettre en surveillance
  • le blog qui aura le lundi traité d’un sujet en rapport avec votre organisation ne sera peut-être pas le même que celui qui en parlera le mercredi
  • Chercher un signal dans les résultats VS Chercher des résultats à partir d'un signal
  • la veille permet donc de collecter et de stocker un certain volume d’informations. Sans revenir sur la définition même de la veille, l’objectif de cette collecte est de pouvoir ensuite rechercher des signaux pouvant bousculer la stratégie de l’organisation
  • A l’inverse, la recherche d’informations part souvent d’un signal précis (qui peut d’ailleurs être issu de la veille) et qui nécessite un approfondissement
  • Provoquer le questionnement VS Répondre à une question
  • lorsque l’on met en place un système de veille automatisée il est courant (et conseillé) de mettre en place un ensemble de filtres (sur les mots-clés, les sources, etc.)
  • Réduire avant d'analyser VS Analyser pour réduire
  • En recherche d’informations, au contraire, il faut tout d’abord analyser le résultat que l’on a trouvé (même rapidement) avant de le sélectionner pour une analyse plus poussée ou pour répondre à la question posée
  • Long terme VS  Court terme
  • Technologie de collecte et d'indexation VS Technologie de crawl/recherche
  • Pour la veille, il sera utile d’avoir un outil d’agrégation de flux RSS, qui permet d’affiner sa collecte (filtres), et qui surtout permet une indexation rapide et ergonomique (tags, filtres de recherches internes, etc.) des résultats
  • Pour la recherche d’informations, ce sera la capacité de recherche (de « crawl ») de l’outil, le volume et la diversité des sources qu’il peut scanner qui seront le plus important
  • Google, Twitter Search, etc.), tandis qu’il faut souvent aller chercher dans des plateformes payantes pour obtenir une technologie de collecte, de tri et d’indexation efficac
  • Méthodes documentaires VS Méthodes d'investigation
  • la veille nécessite plus de méthodes issues des sciences de la documentation que la recherche d’informations.
  • En e-réputation, la veille est nécessaire pour surveiller des mots-clés précis, ou des sources (sites, communautés, comptes, etc.) actives sur les thématiques liées à l’organisation. De même, la veille permet de repérer des signaux qui seront les déclencheurs d’actions de communication (ou autre).
  • La recherche d’informations est quant à elle nécessaire dans un processus de veille : avant la mise en surveillance pour repérer les sources sur lesquelles veiller (sourcing), ensuite lors de l’analyse pour approfondir certains résultats, intégrer de nouvelles sources, etc.
  •  des veilleurs qui cherchent on en trouve, mais des veilleurs qui trouvent on en cherche
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Lawrence Lessig : De l'économie de la Culture | ReadWriteWeb France - 0 views

  • ’internet nous a rap­pelé que nous ne vivons pas dans une seule écono­mie, mais dans deux, au moins
  • L’une est l’économie «com­mer­ciale» tra­di­tion­nelle, une écono­mie régu­lée par une règle simple : tout tra­vail mérite salaire. L’autre écono­mie revet bien des déno­mi­na­tions, l’économie des ama­teurs (a), l’économie du par­tage (b), l’économie de la col­la­bo­ra­tion ©, l’économie non com­mer­ciale (d) ou l’économie de pair à pair (e).
  • Comment conti­nuer à faire appel à la main d’œuvre créa­tive de la seconde écono­mie, tout en tirant par­tie de la créa­tion de valeur propre à l’économie com­mer­ciale
  • ...3 more annotations...
  • «Ces tra­vaux sont pro­té­gés par une licence Creative Commons Attribution-Non com­mer­ciale. L’attribution signi­fie que vous devez mettre un lien en dur sur ce billet, par­tout où cela est pos­sible. Une licence com­mer­ciale est égale­ment dis­po­nible auprès de l’auteur»
  • La seconde écono­mie pense cela dif­fé­rem­ment : cer­tains usages devraient être libres, d’autres sou­mis à autorisation.
  • Certaines pro­duc­tions cultu­relles peuvent se faire de façon col­la­bo­ra­tive dans un mode iden­tique à celui adopté par le logi­ciel libre – Wikipedia. Mais prou­ver que cela s’applique à tous les conte­nus est autre­ment plus dif­fi­cile. Reste a prou­ver qu’il existe véri­ta­ble­ment une dif­fé­rence, mais il est impor­tant d’avoir cette discussion.
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    Différence entre libre et non libre, entre open source et libre, ....
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Education: Facebook doit entrer à l'école - 0 views

  • Il y a 100 ans déjà, John Dewey avait prévenu que quand les enseignants supprimaient les sujets naturels d'intérêt des enfants dans la salle de classe, ils «remplaçaient l'enfant par l'adulte, et ainsi affaiblissaient la curiosité et la vivacité intellectuelles, supprimant l'initiative et tuant l'intérêt»
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Gilles Lipovetsky - Wikipédia - 0 views

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    "chacun tend à devenir objet à filmer et sujet qui filme"
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