L'entreprise : identité, mémoire, culture d'entreprise, voici quelques uns des ingrédients qui composent les histoires des entreprises.
Les salariés : l'entreprise, ou toute autre forme d'organisation, est avant tout un ensemble d'êtres humains dont l'intention doit converger vers le même but : se développer de façon pérenne et épanouissant e
La relation communicationnelle entre les salariés et l'entreprise constitue un des axes les plus importants. Les relations interpersonnelles sont également des possibilités de se raconter, de partager des expériences, des doutes ou des souhaits
Les récits permettent bien sûr le partage des connaissances. La narration constitue un acte fondamental dans l'échange d'expériences et la construction de sens
Des chercheurs comme Eddie Soulier ont mis en évidence le fait que la cognition humaine ne relève pas du traitement de l’information mais de la narration.
La liste des récits en entreprise se décline à l'infini. Même la prière est invoquée aux États-Unis pour sauver l'industrie automobile !
Si nombre d’entreprises échouent, souligne Eddie Soulier, c'est notamment à cause de leurs lacunes dans le domaine de l’apprentissage collectif. Une réalité collaborative où adviendrait la nécessaire émergence de sens ?
"La culture numérique diverge largement du modèle des années 70 quand il était de la culture des médias (Télévision, images). Nous passons d'un modèle de mass-média passif à des médias participatifs et actifs. C'est-à-dire d'être en capacité d'être acteur du « web social » en faisant partie intégrante du médium.
En quinze ans seulement, 5 milliards d'individus se sont dotés d'un téléphone portable, et 3 milliards d'un accès à Internet. On constate que l'adoption du web mobile concerne, en premier lieu, les foyers défavorisés. La formation continue doit-elle s'y intéresser activement. Comment et pourquoi ?
Les TIC sont incontournables et participent activement aux moyens d'apprentissage, mais aussi d'insertion professionnelle, d'insertion sociale et citoyenne, pour peu qu'on dépasse une vision outils. Entre les techno-septiques et les techno-utopistes, soyons réaliste. La technologie n'est pas une baguette magique, mais pour le découvrir il faut savoir la manier. Difficulté supplémentaire, c'est que nous sommes toujours en retard d'une (r)évolution."