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tangi bertin bertin

Veille et recherche d'informations : quelles différences ? - CaddE-Réputation - 0 views

  • La veille, qui consiste globalement à mettre en surveillance des sources afin d’obtenir des informations nécessaires à la prise de décision, est un processus dont l’appellation est devenue générique, englobant un ensemble d’autres processus parfois distincts. Même si complémentaire, la recherche d’informations ne nécessite pas les mêmes approches (méthodologies, outils, processus) que la veille. Nous allons ici voir les différences entre ces deux concepts/processus.
  • Il est de plus en plus courant de lire et d’entendre parler de méthodologies de veille, qui souvent font allusions au fameux cycle du renseignement, à savoir la définition des besoins, la collecte, l’analyse et la diffusion de l’information
  • Stockage/mémorisation VS Flux
  • ...22 more annotations...
  • l’un des objectifs d’une veille est la collecte (automatisée) d’informations
  • stocker de manière efficace les résultats afin de pouvoir ensuite s’y reporter en analyse, et/ou répondre à une question précise quelques temps après
  • Sources statiques VS Sources mouvantes
  • : dans une veille concurrentielle (par exemple) il est utile de repérer les sources intéressantes (sites des concurrents) pour les mettre en surveillance
  • le blog qui aura le lundi traité d’un sujet en rapport avec votre organisation ne sera peut-être pas le même que celui qui en parlera le mercredi
  • Chercher un signal dans les résultats VS Chercher des résultats à partir d'un signal
  • la veille permet donc de collecter et de stocker un certain volume d’informations. Sans revenir sur la définition même de la veille, l’objectif de cette collecte est de pouvoir ensuite rechercher des signaux pouvant bousculer la stratégie de l’organisation
  • A l’inverse, la recherche d’informations part souvent d’un signal précis (qui peut d’ailleurs être issu de la veille) et qui nécessite un approfondissement
  • Provoquer le questionnement VS Répondre à une question
  • lorsque l’on met en place un système de veille automatisée il est courant (et conseillé) de mettre en place un ensemble de filtres (sur les mots-clés, les sources, etc.)
  • Réduire avant d'analyser VS Analyser pour réduire
  • En recherche d’informations, au contraire, il faut tout d’abord analyser le résultat que l’on a trouvé (même rapidement) avant de le sélectionner pour une analyse plus poussée ou pour répondre à la question posée
  • Long terme VS  Court terme
  • Technologie de collecte et d'indexation VS Technologie de crawl/recherche
  • Pour la veille, il sera utile d’avoir un outil d’agrégation de flux RSS, qui permet d’affiner sa collecte (filtres), et qui surtout permet une indexation rapide et ergonomique (tags, filtres de recherches internes, etc.) des résultats
  • Pour la recherche d’informations, ce sera la capacité de recherche (de « crawl ») de l’outil, le volume et la diversité des sources qu’il peut scanner qui seront le plus important
  • Google, Twitter Search, etc.), tandis qu’il faut souvent aller chercher dans des plateformes payantes pour obtenir une technologie de collecte, de tri et d’indexation efficac
  • Méthodes documentaires VS Méthodes d'investigation
  • la veille nécessite plus de méthodes issues des sciences de la documentation que la recherche d’informations.
  • En e-réputation, la veille est nécessaire pour surveiller des mots-clés précis, ou des sources (sites, communautés, comptes, etc.) actives sur les thématiques liées à l’organisation. De même, la veille permet de repérer des signaux qui seront les déclencheurs d’actions de communication (ou autre).
  • La recherche d’informations est quant à elle nécessaire dans un processus de veille : avant la mise en surveillance pour repérer les sources sur lesquelles veiller (sourcing), ensuite lors de l’analyse pour approfondir certains résultats, intégrer de nouvelles sources, etc.
  •  des veilleurs qui cherchent on en trouve, mais des veilleurs qui trouvent on en cherche
tangi bertin bertin

L'intelligence collective à petite échelle « InternetActu.net - 0 views

  • Ils ont effectivement découvert que la réflexion collective pouvait, dans certains cas, se montrer supérieure à celle des individus. Mais cela n’est pas automatique ; les performances des groupes peuvent connaître jusqu’à 30 à 40% de variations.
  • Première surprise, la “bonne ambiance” importe peu. La motivation des participants n’est pas non plus fondamentale, ni le niveau intellectuel des individus impliqué
  • Autre paramètre important : dans les groupes les plus efficaces, les participants tendaient à se partager plus ou moins équitablement le temps de paroles. On n’y trouvait pas une monopolisation de la parole par une minorité des membres.
  • ...5 more annotations...
  • la “sensibilité sociale” des participants, sensibilité sociale qui a été calculée en soumettant chaque sujet au test de “lecture de l’esprit dans les yeux”. Autrement dit, la facilité qu’à un sujet à déduire l’état émotionnel d’autrui en observant son regard
  • Les trois facteurs qui auraient effectivement joué sont
  • Enfin, troisième facteur, et non le moindre : le succès d’un groupe était corrélé au nombre de femmes y participant.
  • C’est donc bel et bien l’intelligence émotionnelle de ses membres qui apparait comme l’ingrédient fondamental au succès d’un groupe. Cette recherche nous montre à quel point la nature de la collaboration est avant tout physique, incarnée dans le corps.
  • L’intelligence collective, de même, devrait beaucoup au corps. Elle ne saurait se réduire à une pure communion platonicienne des esprits…
  •  
    Qu'entend-on généralement par "intelligence collective" ? Pour le monde du web, la messe est dite : c'est le produit émergent de l'interaction entre plusieurs milliers, voire millions d'individus, certains ne partageant avec les autres qu'une quantité minimale de leur réflexion (c'est la théorie du surplus cognitif chère à Clay Shirky, comme il l'a développe dans on livre éponyme ou chez TED). Et bien entendu, c'est le web lui-même qui est le média de choix de cette intelligence collective.
tangi bertin bertin

Sociologie des réseaux sociaux - pierremerckle.fr - 0 views

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    Aujourd'hui paraît la troisième édition du livre que j'avais consacré à la Sociologie des réseaux sociaux, et dont la première édition était parue en 2004 aux Editions de la Découverte, dans la collection « Repères ». Le livre avait alors été écrit dans un contexte particulier, celui de la montée, en France comme ailleurs, de l'analyse des réseaux à la fois comme nouveau corpus de méthodes pour les sciences sociales, et aussi comme nouveau paradigme, ambitionnant d'ouvrir une troisième voie « méso-sociologique » entre le holisme et l'individualisme méthodologique, et qui a pu aussi consister à opposer les réseaux sociaux aux classes sociales.
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Les vraies ruptures d'Internet, par Serge Soudoplatoff - Fabrique de sens - 0 views

  • Quand on partage un bien matériel il se divise, je prends une pizza je la divise en quatre chacun a un quart de pizza. Quand on partage un bien immatériel, il se multiplie.
  • Pour moi la plus belle analogie à Internet, c’est l’invention de l’alphabet
  • Mettez-vous à -2000, -1500 quelqu’un arrive et vient vous expliquer qu’il faut arrêter de dessiner un arbre et qu’il faut passer par une horrible abstraction, qui est un ensemble de symboles : A R B R E ou l’équivalent de l’époque. Est-ce que vous vous imaginez la résistance au changement ?
  • ...32 more annotations...
  • Socrate qui en rajoute une couche : « L’écrit ne véhicule pas la connaissance mais l’illusion de la connaissance »
  • Internet, pour comprendre sa naissance, c’est plutôt ce que l’on appelle l’innovation par percolation
  • C’est-à-dire que des gens font des papiers, inventent des choses, puis dans un autre coin d’autres personnes sont quelque part un peu sur les mêmes idées, inventent aussi d’autres choses et puis un jour ces gens se rencontrent et disent : tiens, c’est amusant, on est sur les mêmes idées
  • 1961, un papier extrêmement théorique d’un étudiant du MIT, Kleinrock, qui dit : si je veux que deux ordinateurs communiquent entre eux, quel protocole dois-je utiliser ?
  • Vous voyez, déjà, on abandonne l’idée d’une certaine forme de centralisation et déjà on passe tout de suite par une descente de l’intelligence dans le conducteur du camion
  • 1962, un autre article du MIT, celui-ci très sociologique, d’une espèce de galaxie interconnectée où les gens s’échangeraient des documents, des informations etc
  • 1964, un autre étudiant qui fait sa thèse sur justement la construction d’un réseau, qui serait maillé, qui ne serait pas du tout centralisé et qui montre qu’un réseau maillé est beaucoup plus résistant à une attaque qu’une autre forme de réseau
  • « Nous rejetons les rois, les présidents et le vote, nous croyons au consensus grossier et aux bouts de codes qui marchent »
  • le troisième niveau : tout le monde sait que les autres savent
  • Il ne faut pas s’étonner si aujourd’hui il y a des gens qui écrivent dans Wikipédia entre 10h du soir et 2h du matin, ce sont des passionnés en réseau.
  • premièrement Al Gore, vice-président des États-Unis fait son « Livre blanc », dans lequel il dit : nous allons interconnecter les écoles, les hôpitaux, les administrations
  • Tim Berners-Lee à Genève invente le web. Et le web prend tellement d’importance qu’aujourd’hui tout le monde confond Internet le web
  • Le web n’est qu’une partie d’Internet. Quand on fait du Skype, on ne fait pas du web. Mais pourtant aujourd’hui, c’est tellement important que tout le monde confond Internet et le web
  • Donc, on peut se poser la question, finalement un mode de gouvernance en réseau, sans chef, avec des passionnés qui s’échangent entre eux, a réussi à interconnecter un quart de la population en moins de 20 ans, je pense que le résultat mérite que l’on s’y arrête quelque peu.
  • Moi, ce que je dis c’est qu’Internet n’a rien inventé. En revanche, Internet a permis à des formes sociales qui préexistaient de se développer.
  • Premier thème, la valeur est dans le réseau aujourd’hui
  • Il y a trois niveaux de connaissance, quand on fait de l’informatique théorique. Premier niveau, la connaissance individuelle, je sais. Quelqu’un sait, un ingénieur savait qu’il y avait un problème.
  • Le deuxième niveau, c’est la connaissance collective, tout le monde sait, et ça, c’est la grande force des médias, la presse, la radio, la télévision, de monter du niveau 1 au niveau 2
  • Internet, il n’y a pas de chef. Internet, il faut comprendre que c’est des conglomérats de passionnés en réseau qui finalement font ça, je ne vais pas dire pour la beauté du geste, mais par passion
  • dans le domaine économique
  • Deuxième domaine
  • « Le mendiant et le restaurateur ». Le mendiant arrive prêt d’un restaurant, ça sent bon mais il n’a pas d’argent, il ne peut pas rentrer. Le restaurateur est furieux, commence à vouloir jeter le mendiant et lui demande de payer. L’affaire va devant le juge. Le mendiant dit : monsieur le juge, je n’ai pas mangé, donc je n’ai pas à payer. Le restaurateur dit : il n’a pas mangé mais il a humé, or l’odeur comme la saveur est le résultat de mon expertise, donc il doit payer.
  • . La chute, vous la connaissez peut-être, elle est magnifique : le juge écoute les parties, se tourne vers le mendiant et lui dit : as-tu pièce de monnaie ? Le mendiant dit : j’ai perdu, j’en ai une. Donne-là moi, dit le juge. Il prend la pièce de monnaie, se tourne vers le restaurateur, fait tinter la pièce, ding-ding-ding, tu as entendu, tu es payé. Il rend la pièce de monnaie au mendiant. Quelque part, je me dis qu’il a fait l’équivalent d’un fichier MP3, il a mis de la valeur dans un son.
  • Je vous annonce qu’il existe une entreprise américaine qui donne son cœur de métier et qui ne se rémunère qu’à la marge, sur des produits annexes. Si je vous dis que cette entreprise fait 21 milliards de dollars de chiffre d’affaires et 6 milliards de dollars de marges, vous aurez compris qu’il s’agit de Google. Si demain Google fait payer son cœur de métier, Google disparaît. Donc, vous voyez, on est dans des modèles économiques qui sont très innovants.
  • Aujourd’hui, Internet c’est la valeur d’usage qui fait le prix.
  • Et troisième forme, qui est très intéressante, c’est ce que j’appelle le co-design, le client, le citoyen, le consommateur ne veut plus consommer bêtement les produits et les services et veut de plus en plus faire partie de la conception de ces produits et de ces services
  • Finalement, un modèle où les clients sont en réseau, les frontières de l’entreprise sont poreuses et où l’entreprise reste sous une forme verticale, ce n’est pas un modèle soutenable. Et ce qui se passe dans le monde de l’entreprise et vrai aussi dans le monde de la politique, est vrai dans tout un tas d’autres modèles.
  • Donc, finalement, qu’est-ce que c’est qu’Internet ? D’abord, ce n’est pas la télévision, c’est un réseau, c’est une communauté
  • Avec Internet, nous retrouvons la place du marché du villag
  • Avec Internet, nous retrouvons les phénomènes tribaux, la tribu devient quelque chose d’important, la marque devient quelque chose d’important sauf que jusqu’à présent nous n’avions pas la technologie qui nous permettait finalement d’échanger et d’avoir cette espèce de gigantesque réseau qui unit un peu tous les individus
  • Donc, finalement le RER ne sert pas du tout à raccourcir le temps de trajet, le RER sert à agrandir la ville
  • En revanche, ce qui a énormément changé depuis le Moyen-âge, c’est que la quantité d’interactions, pendant cette 1h30, a explosé. Nous avons des textos, nous regardons nos E-Mails, nous avons des télévisons, nous voyons plein de choses.
tangi bertin bertin

Le jardin des savoirs de Rennes Métropole | Association BUG - 1 views

  • Plusieurs définitions de l’e-portfolio sont possibles :
  • Un e-portfolio est une collection d’éléments de preuve authentique et diverse, tirés d’une plus grande archive représentant ce qu’une personne de l’organisation a appris au fil du temps sur lequel la personne ou l’organisation a réfléchi, et conçu pour présentation d’un ou plusieurs publics, un but particulier rhétorique (NLII 2003).
  • Un e-portfolio personnel est une représentation numérique multidimensionnelle (identité) d’une réflexion individuelle donnant accès à des services personnalisés, par exemple l’apprentissage et le développement, l’évaluation, l’emploi et la planification du développement personnel
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  • Un e-portfolio est donc une représentation des éléments de parcours, des savoirs et des compétences d’une personne qu’elle décrit elle-même. L’e-portfolio peut servir d’aide personnalisée comme l’aide à l’élaboration d’un CV, la recherche de formation, le stockage de documents, etc…
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    Un rendu visuel fort agréable
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    ils recherchent des beta testeurs , tu as testé ?
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    j'ai presque fini de faire mon compte :)
tangi bertin bertin

Entre réel et virtuel, les limites de la vie… à l'école » Article » OWNI, Dig... - 0 views

  • Le développement actuel des univers virtuels interactifs est le prolongement de travaux de recherche menés dès l’apparition de l’ordinateur autour d’un mythe célèbre : « l’ordinateur c’est l’homme ». Ce mythe apparu aussi bien avec Türing qu’avec la cybernétique ou encore les théories de l’apprentissage de Skinner (enseignement programmé). C’est donc dire qu’il est ancré dans l’esprit humain à l’égal des grands mythes qui traversent l’humanité et déclinés de manière proche au travers des cultures
  • Si l’ordinateur c’est l’homme, alors l’homme est-il une machine ?
  • En d’autres termes, en libérant le cerveau des tâches répétitives ou consommatrices d’énergie mentale, il suppose qu’il est alors possible de développer les capacités du cerveau qui vont vers le « plus de complexité »
  • ...11 more annotations...
  • Le cerveau humain, complexe en lui même aurait commencé à projeter cette complexité dans les techniques (et pas seulement les machines) qu’il développ
  • Regardons des usagers en activité au long d’une journée, d’une semaine voire davantage et nous pouvons nous apercevoir que l’objet lui même s’est installé dans le prolongement direct de l’activité mentale, qu’elle soit sociale, professionnelle ou affective…
  • L’homme en externalisant certaines de ses fonctions humaines serait obligé de se « machiniser », en d’autres termes d’utiliser de plus en plus de prothèses pour faire face à la complexité.
  • En développant les univers virtuels et en les fusionnant de plus en plus avec le réel (de la simulation à la réalité augmentée), nous allons nous retrouver avec un problème éducatif nouveau : situer la part de l’humain dans notre environnement !
  • L’espace classe est en train lentement d’éclater comme espace-temps d’apprentissage.
  • Certes le TBI (tableau blanc interactif, ndlr) donne encore du fil à retordre car il est bien centralisateur (de par sa forme même : un écran pour plusieurs). Mais le portable (ordinateur ou smartphone) dans la classe relié au reste du monde va inévitablement questionner la forme scolaire.
  • Comme de plus ces techniques permettent de plus en plus le lien individuel « homme machine » elles posent aussi au système scolaire la question de sa forme collective.
  • L’élève est-il une machine ? Va-t-il le devenir dans nos classes ? L’expérience des Landes (rappelons nous l’enquête de l’an passé après huit années de pratique) nous montre que les choses vont lentement, que la technicisation de l’enseignement est un phénomène lent.
  • Le système scolaire est fortement confronté à la demande de la société au service de laquelle il a été créé
  • Le pessimiste pourra opter pour la première hypothèse et tenter de freiner, l’optimiste pourra opter pour la deuxième en pensant qu’il peut créer du sens
  • Or mettre en route ce rôle de questionneur c’est inviter chacun à se mettre en réflexion sur ces évolutions, à accepter la confrontation, la discussion, la co-construction.
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    l'"homme" devient il un "homme machine" ? Laine, Breton,asimov et deusX inside
gruet isabelle

My List: A Collection on "ludique" | Diigo - 0 views

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    j'ai créé une liste d'applications ludiques en ligne, si ça vous tente pour le we
tangi bertin bertin

Les forums: ou la fin des études de marché? » Article » OWNI, Digital Journalism - 0 views

  • Les forums ont été, avec l’e-mail, les premiers services à être proposés sur Internet. Cela s’appelait la hiérarchie Usenet, elle fut inventée en 1981
  • Deux éléments ont changé la donne : l’augmentation du nombre d’abonnés Internet, et l’arrivée du web.
  • Sont donc arrivés dans ces forums des personnes plus inclines à s’exposer, généralement au travers de messages provocants, que d’aider la communauté. Elles portent un nom délicieux : les trolls
  • ...7 more annotations...
  • Moore le disait explicitement, dans son livre Crossing the chasm : « il vaut mieux trois clients qui se parlent que dix clients qui ne se parlent pas.»
  • La connaissance que l’on peut avoir est largement supérieure à tout sondage.
  • Les spécialistes de l’informatique théorique ont l’habitude de structurer la connaissance en trois niveaux : la connaissance individuelle (quelqu’un sait), la connaissance collective (tout le monde sait), et la connaissance globale (tout le monde sait que les autres savent)
  • Le fameux quatrième pouvoir des médias consiste à savoir faire passer du niveau un au niveau deux ; tout le monde (ou presque) ayant lu les journaux, écouté la radio, vu la télévision. La grande puissance d’Internet est de faire passer du niveau deux au niveau trois.
  • Seul le forum de discussion permet de mettre en valeur une telle démarche intelligente, qui passera inaperçue à toute étude de marché. Il est plus difficile de poser la bonne question que de trouver la bonne réponse. Le forum permet souvent de trouver  les bonnes questions.
  • Allons même plus loin : beaucoup de passionnés mettent comme signature automatique leur configuration, que ce soit leur voiture, leur chaîne hifi, ou bien les softs sur leur téléphone portable. Combien d’entreprises dépensent de l’argent pour savoir de quoi sont équipés leurs clients, alors qu’ils le disent spontanément dans les forums
  • La simplicité du bouton «j’aime» de Facebook ne pousse pas à écrire des commentaires réfléchis.
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    Et si les forums étaient le meilleur endroit pour faire des enquêtes qualitatives et quantitatives ?
tangi bertin bertin

Evaluation : Le CNDP et la DEPP présentent une collection quelques jours avan... - 0 views

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    "A quelques jours de la publication de l'enquête PISA, le CNDP et la DEPP (Direction de l'évaluation, de la prospective et de la performance du ministère de l'éducation nationale) réunissent leurs forces pour publier une série d'ouvrages présentant les évaluations nationales. Ils les présentaient, en présence des directeurs du CNDP et de la DEPP, le 26 novembre au Salon de l'éducation. Cet investissement soudain dans les évaluations prépare-t-il un contre-feu à PISA ou marque-t-il au contraire la montée d'une culture d'évaluation ?"
Emilie Bouvrand

Canal-U - Ecole Normale Supérieure de Lyon - 0 views

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    Les vidéos du colloque la pédagogie à l'ère du numérique
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