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"University of Milan-Bicocca, Milan, 14-16 October 2015 Around the world far too many young people are not in employment, education or training (NEET). Roughly one third of the world's youth are unemployed, looking for work or they are discouraged and therefore inactive. Unemployment rates among young people are particularly high in the Middle East and North Africa. In general, the youth is more vulnerable in economic crises and is disadvantaged on the labour market because they have less working experience and are less skilful in application processes than adults. Besides, one cause for high rates of youth unemployment is the mismatch between labour supply and labour demand. This goes along with a lack of labour market services focussed on the needs of young people. In this context the Deutsche Gesellschaft für Internationale Zusammenarbeit (GIZ), in collaboration with the Secretariat of the Union for the Mediterranean (UfM), has developed the new Global Initiative on Innovative Labour Market Services for Youth."

A l'occasion de la Foire de l'Innovation Paysanne en Afrique de l'Ouest (FIPAO), tenue les 15 et 16 mai 2015 à Ouagadougou au Burkina Faso, le réseau PROLINNOVA/PROFEIS a réalisé un travail de recueil des perspectives de paysans et paysannes innovateurs sur les éléments et les facteurs qui déterminent les capacités locales à innover. Nous vous proposons de découvrir le document de synthèse Cet article Perceptions des paysans innovateurs sur la capacité à innover est apparu en premier sur Foire de l'Innovation Paysanne en Afrique de l'Ouest.

"SK Group a ouvert un centre d'innovation sur les « fermes intelligentes » dans la ville de Sejong, située au centre-ouest du pays. Le "Sejong Innovation Center" jouera un rôle clé dans la création d'une plateforme nationale visant à promouvoir la production agricole issue des TIC et le renforcement des partenariats avec les différents acteurs du secteur."

Azerbaijan State Agricultural University has opened a call for papers for International Scientific Practical Conference on "Innovative development of agricultural science and education: world experience and current priorities".

"Ouverture de l'appel à candidatures 2015 pour le programme COOPOL Innovation de l'Ambassade de France en Chine. Ce programme est destiné aux entreprises innovantes des pôles de compétitivité et technopôles français et à leurs partenaires de recherche académique intéressés par les opportunités de collaboration avec la Chine dans le domaine de la R&D."

"(04 septembre 2014) - Huit organisations partenaires, dont l'AEIDL, viennent de se voir octroyer un financement ERASMUS+ de 446 285 euros pour mettre en œuvre le projet SIRCle. Le projet SIRCle (Sustainable Innovation for Resilient Communities / Innovation durable pour communautés résilientes) s'appuie sur l'éducation des adultes pour traiter l'un des enjeux les plus urgents de notre époque, à savoir comment répondre efficacement au changement climatique et social de façon à assurer un mode de vie durable dans un environnement économique difficile. Les participants aux formations organisées acquerront les compétences nécessaires pour créer et gérer une entreprise sociale ou commerciale qui puisse contribuer au développement durable de son territoire. Ces entreprises participeront ainsi à une économie nouvelle, fondée sur la création et la distribution des biens et services à même d'assurer un avenir durable et résilient."

HLPD' is short for EU-Africa High Level Policy Dialogue Platform on Science, Technology and Innovation (STI). Senior officials from African and EU countries use this platform to discuss research and innovation policies. They aim to formulate and implement long-term priorities to strengthen bi-regional STI cooperation, in the framework of the Joint Africa-EU Strategy (JAES).

The USAID-supported East Africa Trade and Investment Hub, Syngenta and the Inter Region Economic Network (IREN), have launched the second edition of the agribusiness competition dubbed "Young Innovators in Agribusiness Competition." This follows last year's successful Agribusiness competition that attracted over 800 participants from sub-Saharan Africa. Out of the 35 youth finalists, ten have gone on to win other prizes in the energy and agribusiness sectors; ten have expanded and retained their agro-related enterprises and 15 are employed or pursuing higher education. This year's competition is open to East African youth aged 18-35 years, who reside in the East African Community, Ethiopia, Seychelles, Mauritius or Madagascar, and have a start-up or small and medium sized enterprise (SME) involved in the agricultural value chain.

Le Sommet international de l'Innovation des jeunes sur l'Agrobusiness, l'Entrepreneuriat et le Leadership (YALESI) se déroule à Dakar au cours de cette semaine. L'événement, qui promeut le débat sur les stratégies les plus efficaces favorisant l'emploi des jeunes dans l'entreprenariat agricole, est également une vitrine pour les jeunes entrepreneurs ayant lancé des produits et services novateurs au bénéfice du secteur agricole. C'est dans cet esprit que le CTA a organisé un certain nombre d'ateliers, a lancé une nouvelle publication (« Innovate for Agriculture ») et vous propose aujourd'hui un article sur le parcours réalisé par Yacouba Alfari, un jeune ingénieur agronome nigérien ayant inventé un séchoir à charbon minéral pour faire de la poudre de tomate.

Innovation, Environnement et Développement en Afrique (IED Afrique) a le plaisir de vous informer qu'elle assure, depuis le 1er juillet 2017, la coordination du secrétariat d'AgriCultures Network, un réseau international qui regroupe plusieurs organisations basées en Europe, en Amérique Latine, en Asie et en Afrique. Depuis sa création, dans les années 1990, le secrétariat était coordonné par ILEIA, une organisation membre basée aux Pays-Bas. AgriCultures Network milite pour une agriculture familiale durable en Afrique et dans le monde. Par conséquent, il fait la promotion de l'agroécologie et œuvre pour sa prise en compte dans les programmes agricoles publics. Le réseau travaille essentiellement sur quatre axes : * la capitalisation et le partage à grande échelle des innovations et expériences agroécologiques ; * le renforcement des capacités des acteurs ; * la mise en réseau des acteurs ; * le plaidoyer. En tant que membre d'AgriCultures Network, IED Afrique met en œuvre, depuis 2003, le programme Agriculture Durable à Faibles Apports Externes (AGRIDAPE), notamment en Afrique francophone. La revue AGRIDAPE que vous recevez régulièrement est un outil de partage des pratiques agricoles durables. Avec le transfert du secrétariat, nous comptons sur tout un chacun pour consolider les acquis en Afrique. Afin d'améliorer l'interactivité entre acteurs, une nouvelle plateforme digitale est en cours de conception et nous ne manquerons de la partager avec vous une fois fonctionnelle. En attendant, vous pouvez continuer à consulter la base de données du réseau à travers nos sites web agriculturesnetwork.org et iedafrique.org. Locally rooted, globaly connected

Date : 25-31 mai 2013 Lieu : Nairobi (Kenya) "Les parties prenantes du projet JOLISAA, financé par l'Union européenne et coordonné par le CIRAD (France), le réseau international Prolinnova, dont le secrétariat est basé à la Fondation ETC (Pays-Bas), le programme de recherche du CGIAR sur le changement climatique, l'agriculture et la sécurité alimentaire (CCAFS), le projet Food System Innovation for Food Security (FSIFS) financé par l'Agence australienne pour le développement international (AusAID) et d'autres partenaires, se réuniront en mai 2013 pour examiner les différentes stratégies visant à renforcer les relations entre les connaissances et l'action au sein des systèmes d'innovation agricole en Afrique. À cette occasion, un atelier sur les systèmes d'innovation agricole en Afrique sera organisé en marge d'un salon de l'innovation agricole en Afrique de l'Est, qui vise à mettre en lumière les réalisations des petits exploitants agricoles (groupes et individus) dans le but d'améliorer leurs pratiques et leurs moyens de subsistance. http://aisa2013.wikispaces.com/ "

"Le mercredi 20 mars 2013, de 13h30 à 18h30 Maison des Arts & Métiers - 9 bis, avenue d'Iéna - 75016 PARIS" Comment définir les critères d'évaluation ? Qui sont les acteurs de l'évaluation ? Comment innover en formation ? Comment vérifier les acquis des salariés formés ? Comment sécuriser les parcours professionnels ? Quel est l'impact de la formation pour les entreprises ? Dans un territoire ? ... Des organismes de formation qualifiés, des entreprises, un OPCA et un Conseil Régional vous apportent des éléments de réponse au travers de leurs expériences sur le terrain.

"On 6 June, 2013 the GIZ Innovation Prize holders, a prize recognizing international organizations who have engaged in educational projects in developing countries, have come together to visit the UNESCO-UNEVOC International Centre of Technical and Vocational Education and Training on the UN Premises in Bonn, Germany"

You could benefit from up to USD 80,000 funding and exchange germplasm, innovative knowledge, and technology with counterparts at Embrapa, Brazil, learning from each other's approaches to increase agricultural productivity. Pre-proposals are due to the Africa--Brazil Marketplace (http://www.mktplace.org) by 28th February 2013 and require only short two page project descriptions."

"L'agriculture biologique se développe fortement au Brésil, le marché des produits bio a augmenté de 15 à 20% en 2013 (données du Ministère du Développement Agraire). Il est alimenté par près de 90 milles producteurs dont 85% sont des exploitations familiales. Cet article relate une étude menée par Mauro José Andrade Tereso, professeur associé de la Faculdade de Engenharia Agricola (Feagri) de l'Universidade Estadual de Campinas (Unicamp), s'intéressant aux conditions de travail et aux innovations technologiques du secteur. Celle-ci, soutenue par la FAPESP, a pu compter sur la participation de chercheurs de l'Universidade de Sao Paulo (USP), de l'Unicamp, de l'Universidade Estadual Paulista (Unesp) et de l'Universidade Federal de Sao Carlos (UFSCar). Elle s'est déroulée de Mai 2010 à Mai 2013 dans 33 Unités de Production d'Agriculture Bio (UPAOs en portugais), dédiées principalement à l'horticulture. Cet échantillon représente un tiers des UPAOs certifiées et dédiées à l'horticulture de l'Etat de Sao Paulo (en 2010)."

"L'agriculture biologique se développe fortement au Brésil, le marché des produits bio a augmenté de 15 à 20% en 2013 (données du Ministère du Développement Agraire). Il est alimenté par près de 90 milles producteurs dont 85% sont des exploitations familiales. Cet article relate une étude menée par Mauro José Andrade Tereso, professeur associé de la Faculdade de Engenharia Agricola (Feagri) de l'Universidade Estadual de Campinas (Unicamp), s'intéressant aux conditions de travail et aux innovations technologiques du secteur. Celle-ci, soutenue par la FAPESP, a pu compter sur la participation de chercheurs de l'Universidade de Sao Paulo (USP), de l'Unicamp, de l'Universidade Estadual Paulista (Unesp) et de l'Universidade Federal de Sao Carlos (UFSCar). Elle s'est déroulée de Mai 2010 à Mai 2013 dans 33 Unités de Production d'Agriculture Bio (UPAOs en portugais), dédiées principalement à l'horticulture. Cet échantillon représente un tiers des UPAOs certifiées et dédiées à l'horticulture de l'Etat de Sao Paulo (en 2010)."

"Le Programme suisse de recherche sur des questions globales pour le développement (programme R4D) a pour objectif de développer les thèmes suivants : 1) durabilité des systèmes agricoles et alimentaires, ressources naturelles et résilience; 2) innovation agricole, vulgarisation et recherche-action; 3) gouvernance et stratégies pour l'avenir du système alimentaire mondial. La proposition initiale devra présenter un aperçu du projet de recherche qui a été ébauché pour une période de six ans ; elle devra fournir des détails supplémentaires sur les activités planifiées au cours des trois premières années. » Visit this site "

"Toni Darbas (CSIRO, Australie) et Jim Sumberg (IDS, RU) expriment leur scepticisme à l'égard du récent discours sur les « chaînes de valeur » dans le débat portant sur le développement du secteur agricole, qui considère l'agriculture comme une activité commerciale devant être « professionnalisée ». Les auteurs pensent qu'il y a de bonnes raisons d'être sceptique sur leur capacité à répondre aux attentes placées en elles. Ils invoquent les raisons suivantes : manque d'information sur le plan administratif; évolution inconnue des coûts de transaction; intérêts du secteur privé par rapport aux intérêts publics; prise en compte des questions d'intégration; modèles d'innovation non adaptés au contexte; peu de preuves directes de l'impact positif des plates-formes d'innovation et des chaînes de valeur sur les paysans pauvres. Selon eux, il existe un risque permanent de sombrer vers des réponses trop stéréotypées, peu critiques, et inadaptées au contexte. Une approche beaucoup plus critique et réaliste de la contribution et de l'applicabilité éventuelles des approches basées sur les chaînes de valeur et les plates-formes d'innovation donnerait probablement de meilleurs résultats, concluent-ils. http://www.future-agricultures.org/blog/entry/can-value-chains-and-innovation-platforms-boost-african-agriculture-11-reasons-to-be-sceptical (Future Agricultures, 07/08/2013) "

Le Forum international du CTA intitulé « La science, la technologie et l'innovation au service de la sécurité alimentaire et nutritionnelle », qui se tiendra à Arnhem, aux Pays-Bas, du 15 au 17 octobre 2014, réunira d'éminents chercheurs, des universitaires, des décideurs politiques, des spécialistes du développement, des innovateurs et des représentants du secteur privé, dont des agriculteurs, pour : · évaluer la pertinence et l'efficacité des politiques et programmes actuels d'innovation et de recherche agricoles visant à relever le défi d'amélioration de la sécurité alimentaire et nutritionnelle ; · analyser et fournir des preuves objectives sur les innovations introduites dans l'agriculture ACP afin d'éclairer le processus de formulation et de mise en œuvre des futures politiques de ST&I, et ce en vue d'améliorer la sécurité alimentaire et nutritionnelle ; · convenir de la meilleure façon de cibler davantage les activités ST&I, de renforcer les systèmes nationaux d'innovation et d'accroître les investissements publics et privés en vue de lutter efficacement contre l'insécurité alimentaire et nutritionnelle à l'avenir. Le Forum devrait avoir une influence sur le développement des futurs programmes dans les domaines de la recherche agricole, de l'enseignement supérieur et de l'innovation au service de la sécurité alimentaire et nutritionnelle.

"L'agriculture est l'un des principaux moteurs des économies africaines. Le secteur compte aujourd'hui sur une main-d'œuvre relativement jeune et d'abondantes ressources naturelles. Mais aussi sur une innovation technologique en plein essor. De ce fait, on constate que dans plusieurs pays d'Afrique l'étape de l'Internet par ligne terrestre a été brûlée, et que l'on accède principalement à Internet grâce aux smartphones et tablettes. Si ce bond en avant a été possible, cela signifie que la région a le potentiel pour continuer à faire d'autres progrès technologiques, notamment en ce qui concerne la révolution des données, la mécanisation, l'agriculture de précision, l'irrigation, l'énergie solaire et nombre d'autres domaines de plus en plus accessibles aux petits exploitants agricoles, commerçants et autres acteurs clés de la chaîne de valeur agricole. Les entrepreneurs africains sont ainsi à l'avant-garde de nouveaux développements qui révolutionneront la production agricole et le commerce sur le continent. C'est dans cet esprit que le CTA se réjouit de s'allier au Forum mondial pour l'innovation dans l'agriculture (GFIA) pour sa toute première édition en Afrique. Celle-ci aura lieu les 1er et 2 décembre 2015 à Durban, en Afrique du Sud. "

Transformer les économies arabes : La voie de la connaissance et de l'innovation » place un modèle économique axé sur la connaissance et l'innovation au cœur des nouvelles stratégies de développement dans la région. Il montre comment cette approche peut aider les pays arabes à diversifier leurs économies et à innover, en créant de nouvelles entreprises et de nouveaux emplois. L'étude réunit ces questions dans un cadre d'action intégratif : il s'agit de développer des économies plus ouvertes, avec plus d'esprit d'entreprise, de préparer une population mieux instruite et plus qualifiée, d'améliorer les capacités d'innovation et de recherche, et de diffuser les technologies de l'information et de la communication ainsi que leurs applications. Elle exhorte les décideurs à adopter de nouveaux agendas politiques et un nouvel état d'esprit qui puisse conduire à la création de plus d'emplois à plus forte valeur dans un environnement connecté en permanence aux réseaux mondiaux. Compte tenu de la diversité du monde arabe, l'étude ne propose pas une approche toute faite et uniforme, mais offre plutôt des exemples provenant de la région, ainsi que de pays à travers le monde qui ont mis en place des stratégies efficaces pour tirer parti de la connaissance, de l'innovation et de la technologie. Patience et détermination seront nécessaires, parce qu'il se peut que les investissements en question ne commencent à porter leurs fruits que dans quelques années. Lire la suite sur LEDNA