Group items tagged

Le réseau FAR international, représenté par Souad Benmoussa, membre associé du projet AgroFE, a été invité par Agrosup Dijon qui assure la coordination et la gestion du projet, à participer à la réunion tenue du 7 au 9 avril 2014 au lycée agricole et forestier de Mirecourt (France) et ce dans le but de faire connaître le réseau et ses 14 pays membres aux participants des six pays partenaires européens du projet. Au cours de cette rencontre, une communication a été présentée expliquant l'organisation, les objectifs et le fonctionnement du réseau FAR international. Un accent a été mis sur le rôle déterminant du réseau dans certains de ses pays membres et ce au travers de l'expertise et de son intervention dans les rénovations de leurs dispositifs de formation. En encourageant et favorisant la construction de références et de compétences à partager entre ses pays membres, il souhaite également à élargir ses partenariats et collaborations. C'est dans ce sens qu'il demeure important de le faire connaître au niveau Européen. Le projet Agrofe dont l'objectif est la mise en place d'un dispositif de formation en agroforesterie est une excellente opportunité pour élargir ses champs d'échanges mais aussi pour faire bénéficier les membres du réseau FAR des travaux et résultats de ce projet et de les diffuser à une large échelle.

"Agrof-MM, débuté le 1er septembre 2015 et coordonné par AgroSup Dijon-Eduter, fait suite au projet AgroFE qui se terminera le 31 décembre 2015. Il a pour objectif le développement de formations en agroforesterie à destination des agriculteurs, des conseillers et des techniciens. Agrof-MM bénéficie des résultats du projet AgroFE et plus spécifiquement du référentiel de formation AgroFE et de la méthode développée dans le cadre du projet. Agrof-MM est plus spécifiquement axé sur l'agroforesterie de montagne et méditerranéenne. Il permettra de développer des modules plus spécialisés à destination des agricultures de ces zones géographique."

En agissant positivement sur les sols, les ressources en eau, la biodiversité et le climat, les systèmes agroforestiers participent à la lutte contre le changement climatique et contribuent à l'objectif d'une performance à la fois économique et environnementale. L'agroforesterie permet également de concrétiser le projet "4 pour 1000, les sols pour la sécurité alimentaire et le climat" présenté lors de la COP21 par le ministre. Christophe Pinard, chargé de mission biodiversité et agroforesterie au sein du bureau du changement climatique et de la biodiversité, nous explique plus précisément en quoi elle consiste et quels sont les enjeux de son développement.

Le projet AFS4Food, coordonné par le Cirad, fait le pari d'améliorer la sécurité alimentaire et le bien-être des ménages ruraux africains grâce à l'agroforesterie. Ce mode d'exploitation agroécologique permet de mieux concilier cultures vivrières et productions de rente. Outre une évaluation des performances des systèmes agroforestiers dans trois pays, le projet instaure la mise en réseau de tous les partenaires.

Le projet AFS4Food, coordonné par le Cirad, fait le pari d'améliorer la sécurité alimentaire et le bien-être des ménages ruraux africains grâce à l'agroforesterie. Ce mode d'exploitation agroécologique permet de mieux concilier cultures vivrières et productions de rente. Outre une évaluation des performances des systèmes agroforestiers dans trois pays, le projet instaure la mise en réseau de tous les partenaires.

"Située à une quinzaine de kilomètres de Tunis, Sidi Amor est une propriété collective de quatre hectares sur laquelle de nombreux savoirs-faire sont expérimentés. Construction écologique en terre, recyclage, distillation d'huiles essentielles, plantes médicinales, agroforesterie, agriculture biologique... Autant d'axes de développement pour créer des emplois locaux. Avec en toile de fond, le souci de déployer des techniques accessibles aux populations rurales du pays. Petite visite dans un écovillage en construction."

"5 février 2013, Rome - Selon la FAO, des millions de personnes pourraient échapper à la pauvreté, à la faim et à la dégradation de l'environnement si les pays déployaient plus d'efforts pour promouvoir l'agroforesterie, un mode d'occupation du sol associant arbres et production agricole (cultures, pâtures). L'agroforesterie est une source importante de produits aussi bien locaux (bois, fruits et fourrage) que d'exportation (noix de coco, café, thé, caoutchouc, gomme, etc.). Près de la moitié des terres agricoles de la planète possèdent une couverture arborée d'au moins 10 pour cent, d'où l'importance de l'agroforesterie pour les moyens d'existence de millions de personnes."

En Lot-et-Garonne, certains agriculteurs pratiquent l'agroforesterie pour cultiver des céréales. Sur la même parcelle, des arbres ont été plantés pour apporter leurs nutriments à la terre et ainsi participer à une démarche d'enrichissement des sols. Des initiatives soutenues par l'Union européenne. lire la suite

"février 2015 L'agroforesterie est une des clés de l'agroécologie. Le CGAAER a été chargé de montrer comment l'arbre et la haie contribuent à la performance écologique mais aussi économique des exploitations agricoles"

"Selon World Vision, la méthode de reforestation FMNR (régénération gérée par les agriculteurs) a créé un million d'hectares de nouvelles forêts. Elle a contribué à améliorer le microclimat et à relever le niveau de vie de la population des régions concernées."

Une association européenne pour la promotion de l'agroécologie, Agroecology Europe, vient d'être lancée en Belgique. Ses 19 fondateurs, originaires de 10 pays, se sont réunis pour la première fois le 27 janvier 2016 au Domaine de Graux, près de Tournai. Les statuts de l'association n'ont pas encore été définis. Agroecology Europe devrait prendre la forme dans un premier temps d'une association internationale sans but lucratif (AISBL). Son siège social devrait se situer en Belgique.