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Le CCPA a participé à un reportage sur la campagne de commercialisation de l'arachide avec l'équipe de TV5 Monde Afrique. Le reportage a été diffusé le 27 décembre dernier dans le cadre du magazine d'information WARI consacré à l'économie du continent africain. LE FOCUS : La production d'arachide varie entre 600 et 700 mille tonnes cette année au Sénégal. Pour cette campagne de commercialisation de l'arachide, ce sont des groupements inter villageois qui servent d'intermédiaire entre les paysans et les huiliers. Une organisation qui permet aux producteurs de rentrer très rapidement dans leurs fonds."

"Un nouveau projet de ''changement de cap pour l'agriculture'' a été lancé le 30 Janvier, avec pour objectif de lever les contraintes freinant le développement durable du secteur au Sénégal. Le Sénégal, pays au potentiel agricole énorme, n'arrive toujours pas à assurer son autosuffisance alimentaire. C'est que le secteur fait face à de nombreux défis que sont les sécheresses, la dégradation des sols, les changements climatiques, le manque de ressources humaines et financières ainsi que la question liée à l'accès des terres."

"Comme chaque année, les producteurs ruraux du Sénégal, sous l'égide du Conseil National de concertation et de Coopération des Ruraux (CNCR) et de l'Association Sénégalaise pour la Promotion du Développement à la Base (ASPRODEB) organisent à Dakar, la Foire Internationale de l'Agriculture et des Ressources Animales (FIARA). La quatorzième édition de cette grande rencontre aura lieu au Centre International du Commerce Extérieur du Sénégal (CICES) du 05 au 18 Mars 2013, sous la présidence de Son Excellence, Monsieur Macky SALL, Président de la République du Sénégal"

"Respectivement première ressource d'exportation et première production agricole au Sénégal, les secteurs de la pêche et de l'arachide promettent des jours meilleurs pour le pays. Et selon les observateurs, la pêche pourrait à elle seule relever l'économie nationale.(Les chiffres locaux évaluent à 200 millions de dollars par an, les pertes essuyées par le Sénégal suite à une gestion non optimale du secteur."

"Le Premier ministre, Abdoul Mbaye, a annoncé la création de fermes pour les pionniers du développement agricole disséminées dans tout le territoire national. Selon lui, ces fermes devraient constituer une réponse rapide à l'urgence de l'insertion massive des jeunes demandeurs d'emploi."

"Déclaration des Plates-formes des organisations paysannes et des producteurs agricoles de l'Afrique de l'Ouest, lors de la Table ronde sur « L'agriculture durable comme moyen d'augmenter la résilience : Vision des paysans et producteurs ouest africains », le 13 juin 2013, au Centre de Conférence Albert Borschette, à Bruxelles."

"L'Association sénégalaise des ingénieurs de l'agriculture (ASIA) a proposé au ministère de l'Agriculture ses services dans l'élaboration comme dans la mise en œuvre des politiques agricoles pour "mieux s'impliquer dans la réflexion et le processus de développement de l'agriculture". "

"L'ISRA envisage d'expérimenter des Centres de formation pratique aux métiers agricoles (CFPMA) dans plusieurs de ses sites, pour permettre aux acteurs locaux d'être accompagnés par des techniciens en agriculture. L'annonce a été faite par son Directeur général, le Dr Macumba Diouf. En réponse à une interpellation des députés par rapport au rôle de son institut dans la lutte contre le chômage des jeunes, il a révélé que « ces centres permettront de favoriser l'auto-emploi dans le milieu rural ». Car « à l'issue de la réhabilitation et de l'ouverture des centres et stations de l'ISRA, nous avons demandé à l'Etat que les jeunes qui sont sur place puissent être accueillis dans ces centres et être formés aux techniques modernes de l'agriculture », a-t-il expliqué. Et de marteler : « notre présence au Sénégal doit servir à créer des emplois »."

"La problématique de l'insertion des jeunes dans le secteur agricole était au cœur des échanges lors du deuxième séminaire « Fenêtre sur l'agriculture » organisé, vendredi, par la Fao et l'Ipar. Pour les panélistes, l'insertion économique des jeunes demandeurs d'emploi passe par une bonne articulation entre la politique agricole et celle de l'emploi. Quels sont les liens entre la politique agricole du Sénégal et la politique de l'emploi ? Cette question a fait l'objet de riches échanges entre les participants au deuxième séminaire-débat « Fenêtre sur l'agriculture » qu'organise périodiquement l'Organisation des Nations unies pour l'alimentation et l'agriculture (Fao), en partenariat avec l'Initiative prospective agricole et rurale (Ipar)."

"L'emploi des jeunes et le développement de l'agriculture sont des thèmes au cœur des préoccupations du gouvernement sénégalais, mais aussi du système des Nations Unies, a déclaré vendredi à Dakar, Vincent Martin, représentant-résident de la FAO au Sénégal. ''Nous avons choisi aujourd'hui de débattre sur le thème de l'emploi des jeunes et de l'agriculture qui est au cœur des préoccupations du gouvernement sénégalais, mais qui est aussi au cœur des préoccupations du système des Nations Unies'', a-t-il notamment déclaré."

"L'évolution de la pêche au Sénégal inquiète de plus en plus les observateurs et l'opinion sénégalaise, qui soutiennent que malgré plusieurs concertations entre les acteurs et l'Etat, ainsi que les mesures préconisées, les problèmes demeurent et s'amplifient dans tous les segments de la pêche, en particulier avec le développement des usines de farine de poisson."

"Les petits agriculteurs sont les plus touchés par le sous-financement de la part des bailleurs de fonds Les donateurs favorisent l'aide d'urgence et les grandes exploitations agro-industrielles Les petits agriculteurs ont besoin d'outils et de crédits "

"Le développement agricole pourrait se faire sans grande difficulté pour l'Etat du Sénégal. Le partenariat public-privé institutionnalisé (PPPI) peut être une sérieuse option capable de faire bouger les choses. Sa mise en oeuvre se ferait sans recourir à des réformes agraires ou foncières. Le docteur en droit des Partenariats Publics-Privés (PPP) et des marchés publics, Aliou Sawaré a expliqué que "Pour cela, la formule de co-entreprenariat agricole pourrait être retenue. Cette forme de PPPI constitue une société d'économie mixte (actuelle société à participation publique prévue par la loi n°90-07) en sens ce qu'elle associe l'Etat ou les collectivités locales à trois partenaires qui créent une co-entreprise dont ils sont les associés pour exploiter une superficie de terres concédée par l'Etat, suivant la loi régissant le PPP, et selon les TDR prédéfinis". "

"Le PADAER a été lancé au conseil régional de Tambacounda, lors d'un CRD, en présence de représentants d'ONG, de services techniques de l'agriculture, de l'élevage, du développement communautaire, de collectivités locales, entre autres. Ce lancement régional sera suivi d'un atelier national de lancement prévu en septembre. Celui-ci devrait être présidé par le ministre de l'Agriculture, avec la participation des chefs des départements concernés par le programme, a annoncé son coordonnateur Ngagne Mbow. Financé par le Fonds international de développement agricole (FIDA) à hauteur de 70%, le Fonds fiduciaire espagnol (FFE) pour 22% et l'Etat du Sénégal et les bénéficiaires (8%), il vise, selon M. Mbow, à contribuer à la réduction de la pauvreté et à ''stimuler la croissance'' économique dans les quatre régions où il interviendra."

"L'agriculture urbaine et périurbaine peut favoriser la création d'emplois au profit des jeunes et des femmes, si certaines contraintes inhérentes à ce secteur sont levées, a soutenu, mardi à Thiès, André Wade, coordonnateur régional du Groupe de recherche et d'appui aux initiatives mutualistes du (GRAIM). Selon M. Wade, "l'agriculture urbaine et périurbaine offre de larges potentialités d'emplois pour les jeunes et les femmes, si les contraintes et difficultés liées à la disponibilité de l'eau en permanence et en toute saison, ainsi que la disponibilité du foncier et des moyens financiers, sont levées"."

"Le Président d'honneur du Réseau des Organisations Paysannes et de producteurs Agricoles de l'Afrique de l'Ouest (ROPPA), M. Cheick Mamadou CISSOKHO, est attendu à Lomé ce lundi 12 août 2013. Il y effectuera jusqu'au 16 août prochain une mission d'information, de sensibilisation et de suivi dans le cadre du Global Agricutural and Food Security Program (GAFSP). Lors de son séjour en terre togolaise, M. CISSOKHO aura des entretiens avec des personnalités du monde agricole togolais, notamment le Ministre de l'Agriculture, de l'Elevage et de la Pêche, le Coordonateur Stratégique du Programme National d'Investissement Agricole et de Sécurité Alimentaire ainsi que les Coordonateurs Opérationnels Délégués du Projet d'Appui au Développement Agricole au Togo (PADAT), du Projet d'Appui au Secteur Agricole (PASA)."

"Mamadou Cissokho, cheville ouvrière du mouvement paysan en Afrique de l'Ouest, vient de se voir confier par ses pairs des autres régions d'Afrique le soin de fonder la Plateforme panafricaine des paysans et des producteurs d'Afrique. Il publie L' « histoire de ce mouvement paysan » ouest-africain, vieux de trente-cinq ans."

"Le ministre du Tourisme et des Transports aériens, Oumar Guèye, a appelé samedi les jeunes de Sangalkam (Ouest) à explorer les possibilités d'auto-emploi dans l'agriculture, qui "peut être une solution au chômage". "Il faut que les jeunes au chômage sachent qu'un emploi n'est pas forcément salarié. Aujourd'hui, l'auto-emploi peut être développé au Sénégal. Il y a 350 hectares de l'Institut sénégalais de recherches agricoles (ISRA) qui sont actuellement en friche", a dit M. Guèye lors d'un forum sur l'emploi. "Les financements et les terres sont disponibles pour les jeunes qui sont intéressés par l'agriculture", a ajouté Oumar Guèye, ancien président de la communauté rurale de Sangalkam. Les jeunes doivent réfléchir à des projets agricoles, puisque "le président de la République souhaite que l'agriculture devienne un facteur de développement de notre pays", a-t-il affirmé. Il a recommandé aussi aux jeunes de Sangalkam de s'intéresser à l'aviculture. "Sangalkam est une zone avicole, un secteur où l'offre est inférieure à la demande, au Sénégal. Certains pays de la sous-région comptent sur le nôtre pour avoir des approvisionnements. Les jeunes peuvent donc investir dans l'aviculture", a ajouté M. Guèye."

"Si le président sénégalais l'a nommée Premier ministre, c'est parce qu'il savait qu'elle "ferait le job". Fidèle à sa réputation de "mère la rigueur", Aminata Touré est bien décidée à accélérer la cadence des réformes. Le 1er septembre, Aminata Touré, 51 ans, quittait le septième étage du building administratif, celui du ministère de la Justice, pour s'installer deux étages au-dessus, à la primature. Un remaniement cohérent tant l'influence politique et l'omniprésence médiatique de la garde des Sceaux finissaient par faire de l'ombre à son chef de gouvernement et désormais prédécesseur, le discret banquier Abdoul Mbaye."

"Les travaux de récolte du périmètre agrosylvo pastoral de Khelcom ont été l'occasion pour le patron de Tracto Service Equipement (TSE), Cheikh Amar, de rappeler aux jeunes ''la nécessité'' de retourner à l'agriculture, pour développer le Sénégal. ''Il faut que tous les jeunes se retournent vers l'agriculture. C'est le seul moyen pour se développer. Si on regarde ce qui se passe maintenant, que ce soit à Dakar, ou ailleurs, les gens mendient, alors qu'on a assez de terres pour cultiver'', a affirmé M. Amar, samedi, à Khelcom"