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started by wcserena on 08 Dec 14
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    "Nicolas Sarkozy pense que le Front national est à combattre parce qu'il affaiblit la droite. Moi, je pense que le Front national est à combattre parce qu'il est hors des limites du pacte républicain", a-t-il dit. François Fillon ironise dans la même émission sur le style énergique de Nicolas Sarkozy, le comparant au "lapin Duracell".Cité dans Le Parisien, ce dernier réplique à propos de son Premier ministre : "C'est un loser !". Interrogé sur Europe 1, le député UMP Patrick Balkany, proche de Nicolas Sarkozy, a critiqué les déclarations de François Fillon au Japon. "Je préférerais qu'il s'occupe de s'opposer au gouvernement et au président de la République actuellement, qu'on l'entende plus parler de ce qui se passe, des problèmes que nous avons au niveau économique que de parler de 2017", a-t-il dit. "J'ai l'impression que M. sac a main longchamp pas cher Fillon est un peu plus préoccupé par sa carrière que par ce qui se passe en France", a-t-il poursuivi, avant d'ajouter : "Je vois beaucoup de gens, les gens me disent toujours 'Nicolas reviens !', ils ne me disent jamais 'François Fillon reviens !'."Lire aussi :L'Élysée en 2017, Fillon s'y voit déjàSarkozy se voit à nouveau en sauveur de la France UMP: François Fillon sort du silence, pas du bois Sélectionnez la méthode d'affichage des commentaires que vous préférez, puis cliquez sur "Sauvegarder les paramètres" pour activer vos changements.A l'approche du scrutin des législatives de samedi, le climat politique ne cesse de se tendre au Pakistan. Le dernier jour officiel de la campagne des élections législatives au Pakistan a été marqué par l'enlèvement d'un des fils de Yousuf Raza Gilani, premier ministre de 2008 à juin 2012, et par de nouvelles menaces des rebelles talibans, qui ont annoncé des attaques le jour du vote samedi.Les partis des deux principales figures en lice, Nawaz Sharif, qui a dirigé par deux fois le gouvernement, et l'ex-gloire du cricket Imran Khan, tenteront, quant à eux, dans la soirée de galvaniser les foules une dernière fois en meeting, le premier dans son fief de Lahore (est), le second à Rawalpindi, près d'Islamabad.A Multan (centre), des hommes armés ont enlevé Ali Haider, un des fils de M. Gilani, qui fut Premier ministre jusqu'à sa destitution par la justice, en juin 2012, deux mois après avoir été condamné par les juges pour son refus de rouvrir des poursuite pour corruption contre le président Asif Ali Zardari. sac de voyage longchamp pas cher
    Ali Haider Gilani est candidat aux élections provinciales sous la bannière du Parti du peuple pakistanais (PPP), qui n'a fait qu'une campagne a minima en raison des menaces des talibans, soucieux de lui faire payer son alliance stratégique avec les Etats-Unis. "Nous voulons que notre frère nous soit rendu ce soir. Si ce n'est pas fait, nous ne permettrons pas l'organisation du scrutin dans notre région", a mis en garde Ali Musa Gilani, le frère aîné d'Ali Haider. "Les partisans du PPP doivent rester calmes et pacifiques", a pour sa part lancé leur père.Des attentats qui ont fait au moins 116 morts durant la campagneCet enlèvement conclut une campagne ponctuée par de nombreuses attaques, perpétrées en grande partie par des rebelles talibans, opposés aux législatives qu'ils jugent "non islamiques", et qui ont fait au moins 116 morts sans faire dérailler le scrutin dans ce vaste pays de 180 millions d'habitants. Selon un commandant des insurgés ayant requis l'anonymat, le chef des talibans pakistanais Hakimullah Mehsud a lui-même ordonné des attentats suicide le jour du vote. "Les talibans ont envoyé des kamikazes pour perpétrer des attaques au Pakistan" samedi, a affirmé à l'AFP ce commandant. sac shopping longchamp pas cher La campagne avait marqué une pause mercredi à la suite de l'accident d'Imran Khan, le chef du Mouvement pour la justice (PTI). . Mais mardi soir, le sexagénaire aux allures de playboy avait fait une chute de plusieurs mètres d'un monte-charge qui devait le déposer sur la scène au cours d'un meeting devant des milliers de ses partisans à Lahore, la deuxième ville du Pakistan. Son accident a suscité l'émoi au sein de la population comme des grands partis politiques, bien plus que les sanglants attentats talibans contre les partis laïques, que le favori du scrutin, la Ligue Musulmane (PML-N), comme le PTI, tous deux soupçonnés de lorgner sur le vote islamiste, se sont gardés de condamner.Des législatives jugées cruciales pour la stabilité démocratique de ce paysEn signe de solidarité avec Imran Khan, la PML-N avait notamment annulé les rassemblements prévus pour mercredi. Son chef, Nawaz Sharif, demeure le mieux placé dans les sondages pour prendre la tête du gouvernement à l'issue des législatives nationales de samedi (des scrutins provinciaux auront lieu parallèlement) en raison de ses appuis historiques dans la province du Pendjab, où sont concentrées plus de la moitié des circonscriptions. Or, l'ascension d'Imran Khan, qui mord sur l'électorat de centre droit de Nawaz Sharif et attire les jeunes et la classe moyenne à la recherche d'un "changement", vient brouiller les pronostics et ouvre la voie à des "triangulaires" dont pourraient profiter certains partis comme le PPP. sac longchamp homme pas cher
    Les Pakistanais voteront samedi 11 mai pour élire leurs députés au parlement national, un scrutin à l'issue duquel le parti arrivé en tête devra rassembler une majorité pour gouverner, et dans les quatre assemblées provinciales du pays. Ces élections seront les premières depuis la création du Pakistan en 1947 à se dérouler après qu'un gouvernement civil eut achevé son mandat de cinq ans, d'où leur importance pour la consolidation de la démocratie dans ce pays instable.Lire aussi :Musharraf se rêve en homme providentielPakistan : l'armée en embuscadeLe Pakistan au bord de l'abîme politiqueRené Gonzalez, en liberté surveillée en Floride, peut désormais vivre sur le sol cubain. René Gonzalez, l'un des cinq Cubains de Miami, pourra rester à Cuba. La juge de la cour fédérale de la Floride, Joan Lenard, a en effet décidé, vendredi, que le combattant antiterroriste cubain pouvait vivre à Cuba de façon permanente s'il renonçait à la nationalité américaine. Elle répondait ainsi à une motion présentée la semaine dernière par Philip Horowitz, l'avocat de René Gonzalez. Soumis à un sévère régime de liberté surveillée à Miami depuis octobre 2011, pour une période de trois ans, René Gonzalez se trouve actuellement en visite familiale à La Havane, où son père vient de décéder, et il devait théoriquement rentrer aux États-Unis hier.

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