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started by wcserena on 13 Dec 14
  • wcserena
    #1 wcserena on 13 Dec 14
     
    Sous-secrétaire d'État dès 1947, à l'âge de vingt-huit ans, ce maître dans l'art de former des coalitions deviendra en 1972 une première fois chef d'un gouvernement qui ne durera que neuf jours. Favorable à l'alliance avec les socialistes pour isoler les communistes, qui obtiennent 33,4 % des voix en 1975, il sera finalement président du Conseil avec le soutien du Parti communiste italien en 1976, en vertu de la politique du « compromis historique ». Toujours président du Conseil, en 1978, il lui est reproché son intransigeance alors qu'Aldo Moro, secrétaire de la DC, est enlevé par les Brigades rouges. Ce dernier est exécuté par ses ravisseurs. Ministre des Affaires étrangères en 1983, il ancre son pays dans l'Otan, mais noue aussi des liens autour de la Méditerranée, notamment avec les dirigeants palestiniens.Giulio Andreotti a derrière lui un passé trouble. Il a été blanchi de l'accusation d'appartenance à la Mafia en 1999. sac a main longchamp pas cher
    En 2002, il est condamné pour le meurtre, en 1979, du journaliste Mino Pecorelli. Mais le jugement est annulé en Cassation. Les historiens se régaleront en fouillant ses 3 500cartons d'archives. Gaël De SantisFace au risque de débordement des attaques islamistes sur leur sol, les autorités algériennes ont décidé de renforcer la surveillance de leur frontière avec la Tunisie. L'Algérie, dont les forces de sécurité ne sont pas parvenues à localiser un groupe de djihadistes dans le mont Chaambi, qu'elles pourchassent depuis plus d'une semaine, a décidé de renforcer la surveillance de sa frontière avec la Tunisie. En témoigne cette activité inhabituelle de survol de régions frontalières avec la Tunisie, celle de Tébessa en particulier, par des hélicoptères MI 28, surnommés « tanks volants », de fabrication russe (les mêmes que ceux utilisés lors de l'attaque terroriste contre le site gazier d'In Amenas), et par des chasseurs bombardiers Sukhoï (SU- 30), lesquels balaient également les zones frontalières avec la Libye, le tout en plus du déploiement d'unités terrestres mobiles. Une opération « normale », explique-t-on à Alger. sac de voyage longchamp pas cher Toujours est-il que le changement de régime en Libye et, surtout, le pillage des arsenaux de l'armée libyenne par des groupes armés islamistes préoccupent les autorités algériennes. Après l'attaque d'In Amenas, où 11 assaillants tués étaient de nationalité algérienne, les forces de sécurité algérienne sont pratiquement en état d'alerte tout le long des frontières algéro-tunisienne, libyenne et malienne.Et le fait que le porte-parole du ministère de l'Intérieur tunisien, Mohamed Ali Aroui, déclare que les djihadistes « ont quitté leur position initiale et on ne les a pas retrouvés, vu l'étendue du terrain de 70 km2 sur lequel se déroulent les opérations », n'est guère rassurant. Même si, à en croire Tunis, l'armée bombarde au mortier des zones de la montagne Châamba pour la déminer, après que quinze gendarmes et militaires tunisiens ont été blessés par des engins explosifs posés par le groupe djihadiste.La coopération entre l'Algérie et la Tunisie se renforce. En effet, Le 29 avril, chacun a remarqué, parmi la délégation officielle tunisienne en visite à Alger et conduite par le premier ministre Ali Larayedh, la présence du chef d'état-major Rachid Ammar, accompagné de plusieurs militaires de haut rang. Lequel a eu des entretiens avec son homologue algérien, le général Gaïd Salah. sac shopping longchamp pas cher
    Pour l'heure, à en croire le porte-parole du ministère de la Défense tunisien, le colonel Moktar Ben Naceur, la coopération entre les deux pays en matière de sécurité se limite à des échanges d'informations et « il n'y a pas d'action commune sur le terrain entre les deux armées ». Autrement dit, rien n'exclut, en cas d'aggravation de la situation, une accélération de la coopération sécuritaire entre les deux pays. Hassane ZerroukyBruxelles dit ses craintes après les frappes de Tel-Aviv contre Syrie, le week-end dernier. Décryptage des buts d'Israël. Les raids menés par Israël contre la Syrie ce week-end seraient-ils le révélateur d'une impatience de Tel-Aviv ? Prenant prétexte d'un possible transfert d'armement de la Syrie vers les bases du Hezbollah au Liban, l'aviation israélienne a frappé à plusieurs reprises. En réalité, à travers ce geste guerrier, Israël a voulu envoyer deux messages. Le premier, en direction de l'Iran.

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