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started by wiserena on 27 Nov 14
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    9"L'Europe doit se prendre telle qu'elle est, on peut la faire évoluer demain, mais on ne peut pas proposer de l'abaisser ou de la diminuer au prétexte d'y rester."Pour le ministre français des Affaires étrangères, Laurent Fabius, "on ne peut pas faire l'Europe à la carte"."L'Europe, mettons que ce soit un club de football, on adhère à ce club de football, mais une fois qu'on est dedans, on ne peut pas dire on joue au rugby", atil ajouté, estimant sur France Info qu'une sortie de l'UE "risque d'être dangereu(se) pour la GrandeBretagne ellemême"."JUSTE UN FOUILLIS"Le chef de la diplomatie allemande, Guido Westerwelle, a réagi pratiquement dans les mêmes termes."L'Allemagne veut que le RoyaumeUni reste un membre actif et constructif de l'Union européenne", atil dit. "Mais faire son menu à la carte n'est pas une option."La chancelière Angela Merkel s'est toutefois déclarée prête à entamer des négociations avec Londres. casque beats mixr noir pas cher
    casque beats mixr neon pas cher"Nous sommes prêts à discuter des demandes britanniques mais nous devons toujours garder à l'esprit que d'autres pays ont différents souhaits et nous devons trouver un bon compromis", atelle dit à des journalistes.Pour le ministre suédois des Affaires étrangères, la requête de Londres entraînerait dans son sillage toute une série de demandes d'autres Etats membres qui détruiraient le marché unique que partageront pays lorsque la Croatie aura adhéré."La flexibilité, ça semble bien, mais si vous ouvrez la voie à une Europe à vitesses, à la fin il n'y a plus d'Europe du tout. Juste un fouillis", a dit Carl Bildt sur Twitter.Le RoyaumeUni est déjà un membre à part de l'Union européenne depuis le traité de Maastricht conclu en .Le Premier ministre de l'époque, le conservateur John Major, avait obtenu une "dérogation" ("optout") permettant à son pays de ne pas adhérer à l'euro et la crise de la dette qui a affecté la monnaie unique ces dernières années a tué dans l'oeuf les dernières velléités de modifier cette situation.Londres s'est également placé à l'écart de pans entiers de la construction européenne, dans la coopération entre polices et justices, mais aussi dans le domaine social. casque beats mixr blanc pas cher casque beats mixr noir pas cher Il ne s'est pas associé à l'union bancaire créée par la zone euro fin .Le fait nouveau, par rapport aux années pendant lesquelles le dirigeant travailliste Tony Blair voulait placer son pays au coeur de l'Europe, se battant pied à pied pour garder une voix dans le processus quitte à le freiner, c'est que Londres accepte maintenant que ses partenaires prennent le large même si le RoyaumeUni doit en payer le prix par sa marginalisation."Nous ne sommes pas dans l'euro mais nous acceptons tout ce qui en découle, une construction de type fédéral qui peut déboucher sur l'union politique", souligne un diplomate britannique. "Nous, nous trouverons notre place à côté."UN DISCOURS "INFECT"Mais la réaction des partenaires européens de Londres démontre qu'il est peu probable qu'ils acceptent d'accorder au RoyaumeUni tout le bénéfice du marché unique sans en payer le prix lors d'une grande renégociation qui doit obtenir l'accord des VingtSept alors même que Paris et Berlin veulent approfondir l'union économique et politique.Pour Charles Grant, directeur du Centre pour les réformes européennes (CER), un cercle de réflexion britannique, "le départ du RoyaumeUni (de l'Union européenne) devient de plus en plus probable" après l'annonce de David Cameron."S'il pense qu'il peut rapatrier des pouvoirs de manière significative (. casque beats pas cher
    casque beats mixr blanc pas cher), il se trompe. S'il demande des optouts au traité, il échouera, mais s'il demande des réformes il peut réussir", atil dit mercredi sur la chaîne Channel News.Mais si la renégociation demandée par Londres ne débouche que sur une légère révision de ses liens avec l'UE accompagnée de réformes cosmétiques, les eurosceptiques conservateurs risquent de dénoncer une capitulation et de jouer sur une opinion publique de plus en plus favorable à leurs thèses.Le vicePremier ministre britannique Nick Clegg avait ainsi déjà parlé de "fausse promesse drapée dans l'Union Jack" pour dénoncer les projets de David Cameron.L'ancien commissaire européen Peter Sutherland, un Irlandais qui a aussi dirigé l'Organisation mondiale du commerce (OMC), a jugé mercredi "infect" le discours du chef du gouvernement britannique, qui ne parviendra pas selon lui à renégocier."Dans mon esprit, ce sera a) impossible et b) cela créera une réaction très négative", atil dit au Forum économique mondial de Davos (Suisse).Avec Service France, Catherine Lagrange à Grenoble et Paul Taylor à Davos, édité par Pascal Liétout Le Nouvel Observateur Tous droits réservés.

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