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    La campagne avait marqué une pause mercredi à la suite de l'accident d'Imran Khan, le chef du Mouvement pour la justice (PTI). . Mais mardi soir, le sexagénaire aux allures de playboy avait fait une chute de plusieurs mètres d'un monte-charge qui devait le déposer sur la scène au cours d'un meeting devant des milliers de ses partisans à Lahore, la deuxième ville du Pakistan. Son accident a suscité l'émoi au sein de la population comme des grands partis politiques, bien plus que les sanglants attentats talibans contre les partis laïques, que le favori du scrutin, la Ligue Musulmane (PML-N), comme le PTI, tous deux soupçonnés de lorgner sur le vote islamiste, se sont gardés de condamner.Des législatives jugées cruciales pour la stabilité démocratique de ce paysEn signe de solidarité avec Imran Khan, la PML-N avait notamment annulé les rassemblements prévus pour mercredi. Son chef, Nawaz Sharif, demeure le mieux placé dans les sondages pour prendre la tête du gouvernement à l'issue des législatives nationales de samedi (des scrutins provinciaux auront lieu parallèlement) en raison de ses appuis historiques dans la province du Pendjab, où sont concentrées plus de la moitié des circonscriptions. Or, l'ascension d'Imran Khan, qui mord sur l'électorat de centre droit de Nawaz Sharif et attire les jeunes et la classe moyenne à la recherche d'un "changement", vient brouiller les pronostics et ouvre la voie à des "triangulaires" dont pourraient profiter certains partis comme le PPP. sac de voyage longchamp pas cher
    Les Pakistanais voteront samedi 11 mai pour élire leurs députés au parlement national, un scrutin à l'issue duquel le parti arrivé en tête devra rassembler une majorité pour gouverner, et dans les quatre assemblées provinciales du pays. Ces élections seront les premières depuis la création du Pakistan en 1947 à se dérouler après qu'un gouvernement civil eut achevé son mandat de cinq ans, d'où leur importance pour la consolidation de la démocratie dans ce pays instable.Lire aussi :Musharraf se rêve en homme providentielPakistan : l'armée en embuscadeLe Pakistan au bord de l'abîme politiqueRené Gonzalez, en liberté surveillée en Floride, peut désormais vivre sur le sol cubain. René Gonzalez, l'un des cinq Cubains de Miami, pourra rester à Cuba. La juge de la cour fédérale de la Floride, Joan Lenard, a en effet décidé, vendredi, que le combattant antiterroriste cubain pouvait vivre à Cuba de façon permanente s'il renonçait à la nationalité américaine. Elle répondait ainsi à une motion présentée la semaine dernière par Philip Horowitz, l'avocat de René Gonzalez. Soumis à un sévère régime de liberté surveillée à Miami depuis octobre 2011, pour une période de trois ans, René Gonzalez se trouve actuellement en visite familiale à La Havane, où son père vient de décéder, et il devait théoriquement rentrer aux États-Unis hier. sac shopping longchamp pas cher La décision de la juge lui accorde un délai jusqu'au 16 mai pour entreprendre les démarches nécessaires auprès de la section d'intérêts des États-Unis à La Havane sans avoir à repartir. Il devrait donc clore sa peine de liberté surveillée aux côtés de sa famille à Cuba. René Gonzalez, fils d'immigrants cubains, avait la citoyenneté américaine. En 1998, lui et quatre autres Cubains vivant en Floride - Fernando Gonzalez, Gerardo Hernandez, Antonio Guerrero et Ramon Labanino - avaient été arrêtés, incarcérés et accusés d'espionnage contre les États-Unis. En fait, les « Cinq » ont été punis injustement pour avoir infiltré des groupes de l'extrême droite cubano-américaine et tenté ainsi de prévenir toute action terroriste lancée depuis les États-Unis. En 2001, à la suite d'accusations fabriquées de toutes pièces, ils avaient écopé de peines allant de quinze ans à deux détentions à perpétuité plus quinze ans ! Des juristes américains, une dizaine de prix Nobel, des centaines de personnalités et d'innombrables associations de par le monde ont pris fait et cause pour les « Cinq » à qui la cour suprême de justice des États-Unis refuse toujours de réviser le procès qui les a expédiés en prison. Bernard DuraudL'ancien président du Conseil italien Giulio Andreotti et figure emblématique de l'ex-Démocratie chrétienne est mort ce lundi à l'âge de 94 ans. sac longchamp homme pas cher
    Pilier de la vie politique italienne de l'après-guerre, il a néanmoins constamment divisé l'opinion publique jusqu'aux accusations de collusion avec la mafia portées à son encontre à la fin des années 1990.Responsable de la défunte Démocratie chrétienne, emportée par les scandales de corruption dans les années 1990, Giulio Andreotti a dirigé à sept reprises le gouvernement italien. Il se distinguait aussi bien par son allure voûtée que par son sens de l'ironie. Surnommé, entre autres, l'"inoxydable" en raison de sa longévité politique, Giulio Andreotti était sénateur à vie depuis de longues années, participant régulièrement aux travaux de la chambre haute du parlement italien. Pour cette raison, son absence ces derniers mois, à des moments cruciaux de la vie politique italienne comme l'élection du président de la République et le vote de confiance au nouveau gouvernement, avait été notée par tous les observateurs et interprétée comme un signe de dégradation de son état de santé. Entré pour la première fois au gouvernement à l'âge de 28 ans, Giulio Andreotti a constamment divisé l'opinion publique italienne jusqu'aux accusations de collusion avec la mafia portées à son encontre à la fin des années 1990. Petit, portant des lunettes aux grosses montures carrées, doté d'un physique ingrat et devenu bossu avec l'âge, sa redoutable ironie lui a permis de traverser l'épreuve de deux procès retentissants pour collusion supposée avec la mafia.

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