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Polo Lacoste Il n'est - 0 views

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started by wkserena on 11 Dec 14
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    Les luttes politiques (atomisées) depuis la fin des partis politiques structurés ont pris de telles formes délirantes pour ne pas dire psychotiques qu'on est en droit de se demander si elles ne consacrent pas définitivement l'intégrisme de la "démocratie libérale" (Le triomphe du fondamentalisme de la démocratie de marché) oui on dort debout quand on est gavé de médocsVous ne croyez pas à cette histoire, la version officielle semble plus plausible ?Que Dieu, ou le destin, la protège.Sélectionnez la méthode d'affichage des commentaires que vous préférez, puis cliquez sur "Sauvegarder les paramètres" pour activer vos changements.Par peur des exactions de l'armée malienne, de nombreux Touareg du nord du Mali ont fui leurs villages. Ils errent dans le désert ou se sont réfugiés dans des camps des pays voisins comme (le Burkina Faso. Camp de réfugiés (de Mentao (Burkina Faso),correspondance.Issa Ag Mohamed sort dignement de sa tente. Fier comme un Touareg. Polo Lacoste Femme pas cher Pourtant, celle-ci n'a rien de luxueux. Elle est faite de sacs en toile de jute, de nattes et de bâches blanches distribuées par le Haut-Commissariat aux réfugiés (HCR). Cet homme au visage parcheminé, en partie couvert par un chèche kaki, l'a construite au milieu de centaines d'autres sur un camp de 4,5 km2 de superficie dans une des zones les plus pauvres du Burkina Faso, vers Djibo, à l'entrée du Sahel.Il y a un mois, Issa Ag Mohamed a pris la route depuis Douentza, ville située à l'entrée du nord du Mali. La situation n'était plus tenable pour les Touareg. En quittant le Mali, il a perdu son troupeau. Son plus grand bien. Polo Lacoste Solde
    Ceux qui ont pu préserver le leur l'ont mis à la frontière. « Des amis », disent-ils, en fait, souvent des Bella, Noirs descendant d'esclaves travaillant pour les Touareg, en ont la garde.Avec femmes et enfants, il a fui la remontée de l'armée malienne. À Tombouctou et Gao, les populations touareg, mais aussi arabes, sont parties. Pas par les routes, contrôlées par les militaires, mais par le désert, dans lequel se cachent encore ceux qui n'ont pu atteindre les pays frontaliers. « Au fur et à mesure que l'armée française a repoussé les islamistes, elle a laissé ses positions aux Maliens. Depuis, ils ont le champ libre pour commettre des exactions, tuer, piller nos maisons et voler notre bétail », se plaint-il. Polo Lacoste Il n'est pas le seul à confirmer ce que les Nations unies viennent de remettre en lumière : des soldats de l'armée malienne commettent des exactions contre les Touareg, les Peuls et des groupes ethniques arabes. Les membres du comité de gestion du centre de réfugiés de Mentao-Nord affirment que deux gendarmes touareg ont été assassinés à Sévaré, au Mali, par des militaires maliens. Sur place, un habitant de la commune, un Bambara, qu'on ne peut soupçonner de sympathie touareg, confirme : D'ailleurs dans le camp de Mentao, les réfugiés ne cachent pas leur opinion. À l'école de Mentao, où il a repris sa profession d'enseignant, Mohamed Ag Mohamed Ousmea, dit Wagui, raconte que son oncle a été tué la semaine où l'armée française est entrée à Tombouctou. « Il revenait du marché. Dans le bus, il était le seul Touareg. Quand les militaires ont vu que sa carte d'identité indiquait comme profession marabout ils l'ont emmené à leur base. Lacoste pas cher
    Là, un militaire a menti en disant devant des témoins qu'il connaissait mon oncle et que ce n'était pas lui. Une semaine plus tard on a découvert son corps à côté d'un autre derrière une dune », raconte Wagui, qui a troqué son K'sa (boubou traditionnel touareg) pour une chemise et un pantalon en jean.Le gouvernement malien et les Touareg n'en sont pas à leur premier conflit. Bien que largement minoritaires dans le pays, beaucoup de Touareg veulent l'indépendance du nord du Mali, qu'ils appellent l'Azawad. La situation s'était pourtant apaisée car, dans les années 1990, des ex-rebelles touareg ont rejoint l'armée libyenne de Kadhafi. Mais, à la chute de son régime, en 2011, ils sont revenus dans le nord du Mali fortement armés. Le MNLA (Mouvement national pour la libération de l'Azawad) s'est alors trouvé en capacité de s'opposer à une armée malienne incompétente dans laquelle un poste de colonel s'achète pour 500 000 francs CFA.

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