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"L'une des préoccupations des évêques concerne la sécurité des communautés religieuses, particulièrement pour les congrégations féminines. Dans l'actualité récente, des sœurs ont été agressées dans plusieurs pays, parfois en raison d'actes de droit commun, mais dans d'autres cas, c'est bien leur statut de religieuses catholiques qui est visé. Au Yémen notamment quatre sœurs missionnaires de la Charité avaient été tuées par des terroristes le 4 mars dernier dans un hospice d'Aden. Ce dimanche, à l'issue de la messe de canonisation de Mère Teresa, le Pape a évoqué Sœur Isabelle, une missionnaire espagnole assassinée en fin de semaine dernière à Port-au-Prince, la capitale d'Haïti. Il a aussi appelé à se rappeler de ces autres sœurs qui, récemment, ont subi des violences dans d'autres pays. Le phénomène a en effet pris des proportions inquiétantes cette année."

"Le vénérable sera béatifié à 11h, au cours d'une cérémonie qui aura lieu au parc des expositions. On attend en effet un trés grand nombre de personnes du monde entier. Pour des raisons de sécurité, il faut que chaque participant soit enregistré, ce qui peut être au choix, fait soit individuellement sur le site (Cf. plus loin) soit par les organisateurs du bus si vous choisisez cette option.Le lendemain, au cours d'une messe, ses reliques seront translatés dans le sanctuaire de Notre-Dame de Vie à Venasque"

"Cet appel est aussi pour nous. Comment ne pas y entendre l'écho de la grande invitation de saint Jean-Paul II : "Ouvrez les portes !" ? Toutefois, dans notre vie de prêtres et de consacrés, il peut y avoir souvent la tentation de rester, par crainte ou par commodité, un peu repliés sur nous-mêmes et sur nos milieux. Mais la direction que Jésus indique est à sens unique : sortir de nous-mêmes. C'est un voyage sans billet de retour. Il s'agit d'accomplir un exode de notre moi, de perdre sa vie pour Lui (cf. Mc 8, 35), en suivant la voie du don de soi. D'autre part, Jésus n'aime pas les chemins parcourus à moitié, les portes laissées entrouvertes, les vies à double voie. Il demande de se mettre en chemin en étant légers, de sortir en renonçant à ses propres sécurités, établis seulement en Lui. "

"Une messe en hommage au P. Jacques Hamel a été célébrée le 27 juillet 2016 à la cathédrale Notre-Dame de Paris par le cardinal André Vingt-Trois, archevêque de Paris. Le cardinal a articulé son homélie en deux parties. La première à partir d'une citation du prophète Jérémie, où il a associé son cri à notre questionnement : « Ce n'est pas manquer à la foi que de crier vers Dieu. C'est, au contraire, continuer de lui parler et de l'invoquer au moment même où les événements semblent remettre en cause sa puissance et son amour. » Il a ensuite affirmé combien l'espérance « au cœur de l'épreuve (…) barre à jamais pour nous le chemin du désespoir, de la vengeance et de la mort ». Le cardinal a ensuite élargi son propos inspiré de l'Évangile : « quel trésor est caché dans le champ de notre histoire humaine, quelle perle de grande valeur nous a été léguée ? Pour quelles valeurs sommes-nous prêts à vendre tout ce que nous possédons pour les acquérir ou les garder ? Peut-être, finalement, nos agresseurs nous rendent-ils attentifs à identifier l'objet de notre résistance ? » dénonçant l'avidité et la peur qui « se joignent pour défendre et accroître les privilèges et les sécurités, à quelque prix que ce soit »."

"C'est la polémique qui entoure les préparatifs du voyage de François. La brièveté de celui-ci comme les consignes de sécurité ne permettront pas de répondre à bon nombre de chrétiens qui attendaient sa visite avec impatience."

"À 50 ans, Thierry a pris conscience que la communauté des Béatitudes, dans laquelle il avait vécu pendant des années, n'avait pas cotisé pour sa retraite. Lui qui s'est depuis éloigné du culte catholique a saisi la justice, car il a pour toute perspective une retraite lointaine et indigente. Son cas pourrait inspirer des milliers d'anciens religieux et religieuses et ainsi coûter des millions à la Sécurité sociale."

"« Émerveillement » est ce mot qui résume à lui tout seul ce qui s'est passé dans l'église de Vitry-aux-Loges en ce samedi 17 octobre au matin. Cette église qui a vu naître, s'unir et mourir nombre de mes aïeux... Cette église qui a vu naître mes premiers élans mystiques alors que ma grand-mère animait les chants à la messe. Vierge consacrée, me voici unie au Christ sans partage, comme j'ai pu le prononcer dans le dialogue avec l'évêque. Si Dieu appelle comme il le fait depuis toujours, nos cœurs restent souvent sourds. Ma réponse d'amour eut lieu lors de mes 22 ans où, dans l'élan de ma jeunesse, je disais oui en entrant dans une communauté religieuse, en Normandie. Là-bas, horreur et joie cohabitèrent. Horreur d'abus sexuels dont je fus victime et joie de la vie communautaire avec les trois sœurs qui vivaient avec moi. Joie de l'apprentissage de la prière, joie de la découverte de personnes qui ne se sont pas choisies, toutes tendues vers le Seul qui les a réunies. Et puis la Vérité ne se faisant pas, une chappe de silence entourant encore ces affaires, j'ai dû quitter cette congrégation, pour pouvoir survivre. Brisée et handicapée, je suis revenue à Vitry-aux-Loges dans le plus grand dénuement, là où étaient mes racines, ma famille, là où je me sentais en sécurité. Malgré les ravages intérieurs, ma foi fut sauvegardée et pour ainsi dire miraculée. J'ai avancé avec ce désir au cœur de m'engager pour toujours. "

"Au lendemain de l'annonce du départ des sœurs de l'église Sainte-Croix, dans l'hypercentre de Nantes (Loire-Atlantique), une paroissienne, « choquée », ayant passé plusieurs mois auprès d'elles, raconte les difficultés relationnelles rencontrées, au-delà de la question de l'insécurité."

"Les deux sœurs de la Fraternité bénédictine apostolique, accueillies au sein de la paroisse du centre-ville de la préfecture des Pays de la Loire, ont annoncé leur départ. Elles se disent éprouvées par le climat d'insécurité qui règne dans le quartier."