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"Le P. Jean-Philippe Benoist nous parle cette semaine de la Révélation, de la Tradition et des Ecritures."

"Faire bénir sa nouvelle maison peut être une bonne manière de poser de vrais repères et d'installer le Seigneur sous son nouveau toit. A l'occasion de l'année de la famille, nous vous proposons de découvrir ou redécouvrir cette tradition avec les témoignages de Stéphanie , mère de famille qui a demandé une bénédiction et celui du  Père Noël Vanderlynden qui a souvent béni des habitations à la demande de ses paroissiens."

"De nos jours, on assiste dans l'Église à une prise de conscience de plus en plus marquée des origines juives du christianisme. Comme une sorte de retour aux « sources ». L'apôtre Paul n'affirmait-il pas déjà clairement à la première génération de croyants d'origine païenne : « c'est la racine qui vous porte » (Romains 11.18) ? Le Christ lui-même n'a-t-il pas affirmé qu'il n'était pas venu non « abolir mais accomplir » la Loi (Matthieu 5,17). Les deux traditions de foi ,juive et chrétienne ,ont pour fondement le Dieu unique, le Dieu de l'Alliance qui se révèle aux hommes à travers sa Parole. Dans la recherche d'un comportement juste envers Dieu, , les juifs se tournent vers l'enseignement de la Torah. les chrétiens vers le Christ comme source de vie nouvelle» . Ce documentaire s'intéressera tout particulièrement à cet enracinement de la tradition chrétienne dans la religion juive visible dans la liturgie de la messe. Les Racines juives de la liturgie - Une production SUNSET PRESS 2020 - Réalisée par Alexandre Dolgorouky"

"Célébrer la fête de la mère de Dieu nous rappelle que nous ne sommes pas des objets interchangeables (...). Nous sommes des enfants, une famille... Nous sommes le peuple de Dieu". Comme le veut la tradition, le pape François a adressé dimanche 1er janvier ses vœux pour la nouvelle année à la basilique Saint-Pierre du Vatican."

"Une conférence données par Haoues Seniguer, Sciences Po Lyon à l'église baptiste, avenue de la Libération le 1er avril 2016. En partenariat avec le Pasteur Lionel Minard. Les mouvements migratoires temporaires ou définitifs, la circulation continue des informations, l'internationalisation de causes diplomatiques et humanitaires, l'engagement dans des guerres ou pour la paix « au nom de Dieu » et la complexification des parcours de formation constituent autant d'éléments qui ont profondément modifié le paysage religieux en quelques décennies. Il y a, désormais, des musulmans en Suède, des bouddhistes en Tunisie, des chrétiens au Koweït, des hindous à Trinidad, des bahaïs au Canada. Ce phénomène ne pourrait être que l'extension ou la réactivation d'une fluidité qui se vivait déjà dans l'Antiquité, autour de la Méditerranée et de la mer de Chine par exemple. Mais ce n'est pas le cas. L'inédit de la situation contemporaine repose sur le développement parallèle d'un mouvement aléatoire de sécularisation. Cette mise à distance des normes religieuses est aussi une remise en question de formes englobantes des savoirs, et provoque une crise des magistères religieux. Le christianisme et l'islam, deux religions dont la vocation universelle a été revendiquée par leurs fidèles au cours des siècles, représentent un peu plus de la moitié de la population mondiale. Dans le contexte nouveau qui vient d'être esquissé, c'est à l'examen de quelques-uns des défis auxquels ils sont confrontés, en ce début de XXIe siècle, que s'attachera cette conférence : Comment penser le passé sans le mythifier ? Comment vivre avec celui ou celle qui croit ou pense différemment ? Comment accepter une autorité qui ne s'inscrit pas dans une tradition religieuse ?"

"Comme c'est la tradition pour chaque Vendredi Saint, le Pape François a présidé ce vendredi soir le Chemin de Croix au Colisée."

"C'est devenu une tradition au Laus : le premier dimanche qui suit la rentrée scolaire, les élèves, leurs professeurs et les parents sont accueillis pour une messe dominicale se concluant par une symbolique bénédiction des cartables."

"Monseigneur Olivier Ribadeau Dumas, porte-parole de la conférence épiscopale, était l'invité de « Face aux Chrétiens » le jeudi 21 décembre, en partenariat avec « La Croix », KTO, Radio Notre-Dame et RCF. Principaux extraits."

"Il appartient à la tradition de l'Église catholique de prier la Vierge Marie surtout les mois de mai et d'octobre. Le confinement continue, le virus tuant toujours beaucoup de personnes. C'est donc vers Dieu le Père que nous nous tournons avec grande foi, et sa Mère Marie nous accompagne par sa prière fidèle. Sa place est parmi les saints qui sont face à Dieu et le louent, comme le livre de l'Apocalypse nous le décrit. Elle est la mère de l'Église, c'est à dire qu'elle a reçu une vocation corédemptrice pour nous encourager à faire confiance à Jésus, à le choisir, à le suivre et à l'annoncer, elle est la femme qui a vaincu la bête, elle est celle qui est couronnée de douze étoiles."

"VIDEO «La capsule du mois, vous fera découvrir pourquoi Saint Roch est si présent dans nos églises cantaliennes, sous la forme de statues, de vitraux, de tableaux, et de traditions religieuses un peu oubliées aujourd'hui.»"

Il y a une communauté chrétienne composée de différents pays d'Afrique dans notre diocèse. Fêter Notre Dame d'Afrique est une bonne tradition. C'est une joie de confier le continent africain à l'intercession de la Vierge Marie et aussi de rendre grâce pour l'apport de nos frères africains à la vie de notre diocèse. Nous recevons toujours l'Évangile d'ailleurs. Souvent nos frères sont venus dans des circonstances douloureuses. Nous-mêmes si nous devions quitter notre pays pour aller ailleurs nous aimerions avoir des frères pour nous accueillir. Célébrer Notre Dame d'Afrique c'est se réjouir du don de Dieu qui permet de célébrer note foi au travers de différentes cultures. La Providence de Dieu permet que nous ayons quelque chose à recevoir les uns des autres et chaque pays a une richesse, une culture propre. Nos frères et sœurs sont un don pour nous ! Nous ne pouvons pas penser la vie chrétienne de manière individuelle. Dieu est trinité et le mystère de Dieu est communion et relation.

"Le père Toufik est un prêtre de l'église catholique maronite, venant du Liban. Il est actuellement en visite dans le diocèse de Saint-Flour, grâce à son amitié avec l'Abbé Boyer qui est déjà allé le voir dans son pays. L'église maronite a suivi pendant quatre siècles le rite latin. La tradition maronite permet aux prêtres de se marier, comme l'est le père Toufik. Il a quatre filles dont deux en études supérieures et les deux autres au collège. Il est très beau et enrichissant de l'entendre chanter la prière eucharistique avec les mots mêmes de Jésus, en langue araméenne, comme le permet le rite maronite. Il est très heureux de pouvoir rencontrer de plus près l'Église de France, qu'il trouve joyeuse et dynamique, avec l'implication des jeunes dans les messes de l'aumônerie par exemple."

"L'offrande de messe est un acte de foi, d'espérance et de charité. Toute messe est célébrée pour l'Église et le monde entier, mais le prêtre peut, à la demande des fidèles, ajouter une intention particulière : prier pour un défunt, un malade, une difficulté, des noces d'or, des jeunes mariés, un nouveau baptisé, un nouveau prêtre… La tradition est d'accompagner cette intention d'une offrande de messe. Il s'agit d'un geste de partage de la part des fidèles, qui complète le traitement des prêtres du diocèse."

FÊTE DES MÈRES MESSAGE DE MGR BLANCHET AUX MAMANS Chères mamans, "Je profite de cette belle tradition de la fête des mères pour m'adresser à vous en ce jour. Je n'ai pas d'autre cadeau à vous offrir qu'un immense merci ! Mais je suis heureux de vous le donner.""

"Suite à leur conférence commune sur le dialogue entre orthodoxes et catholiques, donnée le 18 novembre 2020, le docteur André Krajévitch, membre de l'église orthodoxe, et le père Pierre Fournier, prêtre catholique, exposent leurs points de vue respectifs sur Marie. Une belle manière de se préparer à l'Avent en cette année mariale diocésaine."

"C'est une tradition que les familles attendent : la Valise de Noël. Le Service de la catéchèse et l'Enseignement Catholique vous présentent en avant première le cru 2020 !"

"Enseignement de Vianney Vendrely, Chargé de Mission Pastorale pour l'Institution Saint-Pierre de Bourg-en-Bresse.   Des textes pour aller plus loin Concile Vatican II, Déclaration sur les relations de l'Église avec les religions non chrétiennes : NOSTRA AETATE   En quoi cette déclaration peut-elle enrichir ma vision de l'Église ? Au sein de l'Église, quelle distinction puis-je méditer entre la place d'un catholique, et celle d'un croyant non-chrétien ? À la lecture, suis-je invité à adopter une posture de dialogue interreligieux plutôt exclusiviste, inclusiviste, ou pluraliste ? À ma place, comment puis-je vivre une fraternité véritablement universelle ?   Proposition de bibliographie L'Évangile est le cœur de toute bibliographie, la Parole par excellence vis-à-vis de laquelle les autres textes ne sont que des notes de bas de page. Mais des notes et des témoignages qui peuvent être d'importants guides dans notre relation avec le Christ, « le chemin, la vérité et la vie » (Jean 14, 6).  Ainsi, n'hésitons pas à relire les documents du Concile Vatican II, tout particulièrement ceux qui permettent de renouveler notre regard sur l'Église, par exemple Gaudium et Spes, Lumen Gentium, Ad Gentes et Dignitatis Humanae.  Par ailleurs, si nous souhaitons découvrir comment la christologie, connaissance du Christ, peut devenir christophanie, manifestation de Sa vie en nous, nous pouvons étudier l'ouvrage de Raimon Panikkar intitulé La plénitude de l'Homme.  Sans oublier les enseignements récents des papes, comme autant de pistes pour notre quête de sens et notre vie de foi dans le monde d'aujourd'hui : Veritatis splendor, Deus caritas est, Laudato si', Gaudete et exsultate, Christus vivit, Fratelli tutti, etc.   Proposition de prière Seigneur Jésus, inonde-moi de ton Esprit et de ta Vie.  Prends possession de tout mon être pour que ma vie ne soit qu'un reflet de la tienne.  Rayonne à travers

"Aujourd'hui, monseigneur Joly, évêque de Troyes répond à vos questions Insta sur le synode. A quoi sert ce synode ? Pourquoi parler encore du célibat des prêtres ou des femmes prêtres ? Quid de l'accueil des homosexuels dans l'Eglise ? Risque-t-on de perdre nos traditions ? L'Eglise est-elle devenue trop progressiste ?"

"Bienvenue sur un nouvel épisode de notre série explorant la Tradition chrétienne ! Aujourd'hui nous explorons la vénérable dévotion aux reliques dans l'Église catholique. Envie d'en savoir plus ?... 0:00 Intro 0:36 1. Histoire des reliques 2:15 Les trois classes de reliques 3:10 Les reliques, support pour la foi 3:54 2. Les reliques et la Bible 5:46 3. Les reliques, pourquoi ça compte ? 6:57 4. Prudence quand même ! 8:20 Conclusion"

"Le denier du culte, né en 1906 s'est transformé en 1989 en denier de l'Église. Cet appel au don que nous menons chaque année, et qui se renforce en fin d'année ou à Pâques, pourrait surtout s'appeler le don pour l'engagement. Le don de l'action. Ou le don du service. Cette collecte auprès des fidèles (mais aussi du grand public pas forcément pratiquant, mais respectueux de la tradition catholique et partageant ses valeurs), sert à rémunérer les personnes laïques dans le diocèse qui agissent et s'engagent pour la vie de l'Église catholique en menant des projets, en formant des bénévoles, en organisant la vie des paroisses. Cet argent rémunère aussi les prêtres qui, tout au long de la semaine, y compris le soir, le week-end et les jours fériés, écoutent, soutiennent, agissent au nom de l'Église et pour l'Évangile. Nous vous proposons de découvrir de manière très concrète la mission d'un de nos laïcs qui témoigne pour vous et vous fait prendre conscience de son rôle et donc de l'intérêt de donner pour que son action se poursuive."