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Jon Snow

Les fabricants de vaccins contre la grippe H1N1 viennent d'obtenir l'immunité... - 0 views

  • L’histoire s’assombrit maintenant que l’Administration Obama a signé le document conférant l’immunité en cas de poursuites judiciaires. La FDA ( Food and Drug Administration ) américaine et les autorités sanitaires au Royaume-Uni ont décidé de laisser l’industrie pharmaceutique introduire sur le marché les vaccins sans que leurs possibles effets secondaires ne soient évalués. Les premières doses de vaccins seront délivrées au public avant que leur innocuité et leur efficacité ne soit avérées. Les vaccins non testé sont délivrés en deux doses. Une des marques de vaccin contiendrait un additif chimique - adjuvant - afin de renforcer l’effet, augmentant dramatiquement le potentiel d’effets secondaires.
  • Curieusement, un an avant que le premier cas de la prétendue grippe porcine ne soit décelé, la plus grande firme pharmaceutique Baxter, a déposé un brevet pour un vaccin contre le H1N1 : Brevet US 2009/0060950 A1 qui stipule « la composition ou vaccin composé de plus d’un antigène ... comme la grippe A et B en particulier prélevé sur un ou plus des types humains de H1N1, H2N2, H3N2, H5N1, H7N7, H1N2, H9N2, H7N2, H7N3, H10N7, de grippe porcine H1N1, H1N2, H3N1 and H3N2 sous-type, de la grippe du chien ou du cheval H7N7, H3N8 sous-type ou de la grippe aviaire H5N1, H7N2, H1N7, H7N3, H13N6, H5N9, H11N6, H3N8, H9N2, H5N2, H4N8, H10N7, H2N2, H8N4, H14N5, H6N5, H12N5 sous-type."
  • La demande de brevet précise : « des adjuvants appropriés peuvent être choisis à partir de gels minéraux, d’hydroxyde d’aluminium, d’agents de surface, de lysolecithin, de pluronic polyols, de polyanions, ou d’émulsions d’eau et d’huile. Bien sûr la sélection de l’adjuvant dépend de l’utilisation. Par exemple la toxicité dépend de l’organisme auquel le produit est destiné et peut varier d’une toxicité nulle à une toxicité élevée. » En l’absence de toute responsabilité juridique se pourrait-il que Baxter se prépare à vendre des millions de doses de vaccins contenant un adjuvant hautement toxique tel que l’hydroxyde d’aluminium ? Il serait peut-être temps de demander à tous les responsables de l’OMS, du SAGE, du CDC et des membres de l’Administration Obama, d’être les premiers à se faire inoculer la dose entière de vaccin H1N1 qui sera distribuée au public. Nous devrions ajouter à la liste des premiers vaccinés, tous les membres du Congrès qui ont voté l’allocation d’urgence de 7 milliards de dollars et qui ont entériné l’immunité accordée aux firmes pharmaceutiques dans l’éventualités de procès. La population n’a pas à servir de cobaye pour les essais d’un nouveau vaccin. Nous pourrons observer les résultats. Le même principe doit s’appliquer à tous les gouvernements et organismes de santé qui demandent à leurs citoyens d’expérimenter les vaccins H1N1 de GlaxoSmithKline ou de Baxter, afin de vérifier leur innocuité.
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  • Un autre élément indique, qu’avec ce scénario alarmiste de l’OMS, on nous prend pour des imbéciles. L’OMS elle même, l’organisation mondiale chargée de surveiller les foyers de ce que l’on nomme pandémies, voire même « pandémies mondiale » ( sic ) vient juste de décider d’arrêter le suivi de l’évolution de la grippe porcine ( ou de virus H1N1 comme on préfère l’appeler maintenant afin de ne pas froisser les producteur de porcs)
  • Le « Centre de contrôle et de prévention des maladies »( CDC ) d’Atlanta est d’accord avec l’OMS pour arrêter le décompte. Le Docteur Michael T. Osterholm, directeur du « Centre de recherche sur les maladie infectieuses de l’Université du Minnesota », admet que les tests existants pour confirmer le H1N1 sont empiriques et peu sûrs et affirme : « de mauvaises mesures sont pires que pas de mesures du tout ». Ainsi l’OMS a décidé de supprimer les tests qui de toutes façons ne permettent pas de déterminer scientifiquement qui est atteint du H1N1 et qui ne l’est pas. Et ainsi ils ont décidé de supprimer le décompte des résultats des tests, mais aussi des cas de grippe H1N1, avec pour tout commentaire : « nous présumons que presque tous les cas sont des cas de grippe porcine H1N1 ». Et c’est sur des bases aussi scientifiques que celles-là que nous devons faire vacciner nos jeunes ? Stop là ... pas avec nos enfants.
  • La secrétaire d’Etat U.S. à la santé, Kathleen Sebelius, vient de signer un décret conférant une totale immunité aux fabricants de vaccins contre la grippe H1N1, en cas de poursuite judiciaire. De plus le programme accéléré - de 7 milliards de dollars - pour la fabrication du vaccin qui devra être mis sur le marché à l’automne ne prévoit pas de test de sécurité. Y aurait-il un programme sous-jacent à l’officielle et hystérique campagne de l’OMS destinée a élever la prétendue grippe porcine au rang de pandémie ?
  • Les rapports ajoutent que Smith-Kline & French, devenue Smith-Kline-Beecham et qui à l’époque étaient impliqués dans la production anglaise, étaient préoccupés par les questions de sécurité et hésitaient à demander une licence britannique pour leur vaccins contenant la souche Urabe. Leurs préoccupations concernant les possibles préjudices d’un de leurs produits sur les enfants, les conduisit à demander au gouvernement britannique de les garantir contre toute action en justice résultant d’un dommage lié au vaccin. Sur les conseils du Dr Salisbury et des représentants du ministère de la santé, le gouvernement britannique, enthousiaste à l’idée d’obtenir des vaccins bon marché, donna son accord.
Jon Snow

Grippe: des vaccins qui font peur | slate - 0 views

  • C'est The Lancet qui, il y a quelques jours, a tiré le signal d'alarme. Dans un éditorial aussi court que solennel il a mis en garde les responsables sanitaires des pays qui souhaitent assouplir les procédures réglementaires de manière à disposer au plus vite des premières doses vaccinales. Or tout indique qu'un tel assouplissement équivaut immanquablement à exposer les populations concernées à des risques nullement négligeables de complications post-vaccinales. The Lancet rappelle qu'une campagne accélérée de vaccination de masse pratiquée en 1976 aux Etats-Unis l'a malheureusement démontré.
  • Dans certains pays, les organismes de réglementation imposent des essais cliniques avant d'homologuer le vaccin, ce qui ajoute un délai supplémentaire avant que le vaccin puisse être disponible.  Dans le meilleur des cas, l'ensemble du processus peut être achevé en cinq à six mois. Les premiers vaccins contre la grippe pandémique peuvent alors être distribués et administrés.»
  • Or les  «cinq à six mois» risquent fort de disparaître sous l'action conjuguée de deux éléments inédits. Le premier est la volonté acharnée de nombreux gouvernements de pays industriels de disposer au plus vite de quantités massives de doses vaccinales anti -A(H1N1). Le second est la compétition acharnée à laquelle se livrent les quelques multinationales spécialisées qui achèvent dans le même temps la production du vaccin contre la future grippe saisonnière. On en arrive ainsi à ce que redoute  The Lancet: faire l'économie de certaines procédures visant à étudier dans le calme l'efficacité et l'innocuité de cette arme préventive qui va être administrée à des centaines de millions de personnes. L'argument généralement avancé pour justifier cette initiative est que l'on dispose d'une très bonne et très longue expérience avec les vaccins de la grippe saisonnière...
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  • les premiers essais expérimentaux sur l'homme avaient déjà commencé dans cinq pays : les Etats-Unis, l'Australie, la Chine, l'Allemagne et la Grande-Bretagne. Ils devraient débuter dans les prochains jours dans plusieurs autres pays. Les premiers résultats de ces essais devraient selon elle être connus «au cours de la première quinzaine de septembre», les premières vaccinations pouvant alors être pratiquées vers la fin septembre.
  • Et une nouvelle fois, l'OMS souffle le chaud et le froid. Le Dr Kieny insiste sur le fait que les effets  secondaires graves de vaccins contre la grippe saisonnière sont en général «très rares» tandis que son organisation reconnaît que les contraintes de temps font que  les données cliniques seront inévitablement limitées quand les premiers vaccins contre la pandémie seront administrés. Pour le dire autrement on sait d'ores et déjà que les premiers lots vaccinaux auront inévitablement un caractère quelque peu expérimental.
  • C'est dans ce contexte d'incertitudes que la multinationale américaine Baxter a annoncé le 5 août, être en tête de cette course contre-la-montre hors du commun. Baxter assure avoir terminé fin juillet la production de ses premiers lots de vaccins et dit ne plus attendre que les premières autorisations de mise sur le marché. La firme serait déjà en discussion avec les autorités sanitaires américaines. Fin juillet ces dernières ont recommandé que les enfants et les femmes enceintes figurent parmi les quelque 160 millions de personnes aux Etats-Unis qui doivent être vaccinées en priorité cet automne.
  • Après réception de la souche virale (fin mai), il aura suffi de 12 semaines à Baxter pour produire son vaccin. Plus de 3.500 personnes l'auraient déjà reçu dans le cadre d'une étude de phase III, la dernière avant la demande d'autorisation de mise sur le marché. D'autres essais cliniques complémentaires sont prévus en août sur des adultes, des enfants et des personnes âgées.
  • Baxter est en tête, mais le géant suisse Novartis n'est pas loin. Il assure avoir commencé à administrer son propre vaccin dans le cadre de premiers tests qui concerneront au total 6.000 personnes en Grande-Bretagne, en Allemagne et aux Etats-Unis. Paradoxe des paradoxes: ces essais cliniques sont prévus pour durer un an mais le vaccin devrait toutefois être commercialisé avant qu'ils arrivent à leur terme.
  • Enfin, la veille de l'annonce de Baxter un autre géant, britannique, GlaxoSmithKline, annonçait avoir reçu des nouvelles demandes de la part de neuf pays, portant son carnet de commandes à 291 millions de doses.
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