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Jon Snow

Élie Cohen, l'unique économiste de France - AgoraVox le média citoyen - 0 views

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    Commentaire sur l'émission du 11 aout 2011 de C dans l'air avec nos chers experts fidèles au poste pour excuser la finance, les marchés, la spéculation naturelle et installer l'austérité davantage en France. Merci les gars on se souviendra de vous.
Fabien Cadet

La génération perdue d'aujourd'hui a été trahie par ses aînés (The Observer) ... - 0 views

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    Il est clair qu'on ne peut pas en déduire que le taux de chômage à long terme chez les adultes va augmenter de 1400%, les récessions frappant habituellement les jeunes de façon disproportionnée. Il est clair, également, que le pire de la crise n'est pas dernière nous, mais que nous n'en sommes qu'au début.
Jon Snow

DSK: Le FMI vire à gauche. Je suis le FMI, donc très à gauche - 1 views

  • Mais en attendant, le directeur général du FMI était venu faire la promo de DSK le rouge, enfin du moins de DSK le rose. A l’appui de sa démonstration sur sa nature de gauche, l’action du FMI depuis 3 ans. Pour celui qui dirige le Fonds monétaire international grâce au soutien de Nicolas Sarkozy, il s’agissait de promouvoir le syllogisme suivant : « Le nouveau FMI est de gauche. Je suis le FMI. Donc je suis de gauche ». Emballé, c’est pesé. Tâche à laquelle il s’est attelé d’autant plus aisément que Patrick Cohen, son interviewer, semblait en être très largement convaincu.
  • Au lendemain de la réunion du G20, DSK a donc eu le loisir de développer son argumentaire : « Le grand pari du 21e siècle, c’est l’invention d’une gouvernance mondiale, qui prend la forme du G20. Au cœur de cette nouvelle gouvernance mondiale, il y a le nouveau FMI. Et c’est ça le rôle qu’il faut jouer aujourd’hui : fournir au G20 des analyses, des politiques économiques à suivre. Et pour cela il fallait que je réforme le FMI. »« Vendre » un FMI à gauche, aux électeurs, il fallait y penser. DSK l'a fait : car  «ce FMI (qui) n’ a plus grand chose à voir avec le FMI d’avant. Et peut-être faudra t il faire évoluer son nom ». Car DSK, en bon social-démocrate, veut montrer qu’il tient les deux bouts de la chaîne : la préoccupation de la dette chevillée au corps et les pauvres toujours en tête: « Quant il a fallu couper les dépenses durement. Et c’est toujours les plus démunis, les plus pauvres qui en souffrent dans ces cas la. Les nouveaux programmes du FMI, et je pense à la Grèce en particulier, ont été construit de telle manière qu’on revienne à l’équilibre mais que cela se fasse en protégeant les plus démunis, les plus vulnérable (...) Ce qui m’intéresse, ce n’est pas que la gauche ait gagné c’est que le gouvernement en place, avec le programme du FMI, à été compris par l’opinion et que l’opinion est avec le gouvernement. »
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