Sans doute s’agit-il d’abord d’une question de méthode et non d’outil. « Il y avait à mon sens deux façons de traiter cela. La première c’était d’aller voir les utilisateurs finaux et de comprendre ce qui expliquait cette infobésité. Puis, ensuite, de réfléchir à ce qu’il était possible d’inventer comme bon outil pour travailler à plusieurs. En partant du besoin des utilisateurs, il n’y a jamais eu besoin de coercition » assure Marc Devillard.