OpenStreetMap, le "hors-bord de l'information géographique", fête ses dix ans - 0 views
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la gendarmerie nationale, la police nationale, des SDIS, des SAMU utilisent des données OSM
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les “données de référence” sont le fruit d’un processus long pour que les données rentrent dans le tuyau et en ressortent
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Il faut trouver un juste équilibre entre une mise à jour beaucoup plus rapide et peut-être un peu moins contrôlée et une mise à jour de données hypercontrôlées mais avec des cycles incompatibles avec les usages.
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Il y a beaucoup d’usages pour lesquels il est plus important d’avoir des données très fraîches, quitte à ce qu’il y ait quelques erreurs, plutôt que des données vérifiées qui ont trois ans.
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On observe aussi une prise de conscience générale par rapport à l’hégémonie de Google qui joue en notre faveur.
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Quand une collectivité entre dans une démarche open data, c’est qu’elle a compris l’intérêt des biens communs, du partage, du collaboratif, etc. Du coup, aller vers OSM est un pas facile et naturel.