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"Plusieurs dizaines de personnes se sont rassemblées sur le lieu du tableau « Festivité » de la cérémonie d'ouverture des JO pour « réparer le blasphème » qui aurait été commis envers le christianisme."

""En criant à l'offense et au blasphème, la droite conservatrice a repris les arguments de ceux qu'elle pourfend""

"Jean-Luc Mélenchon a peu goûté la parodie de La Cène, durant la cérémonie d'ouverture des JO. La critique questionne le rapport évolutif du leader de gauche au blasphème."

"Une centaine de personnes queer se sont rassemblées, ce jeudi 31 octobre, sur un pont de la capitale, où des catholiques avaient organisé une prière début octobre pour dénoncer de prétendus blasphèmes pendant la cérémonie d'ouverture des Jeux olympiques."

Le détournement réel ou supposé de la Cène, lors de la cérémonie d'ouverture des Jeux olympiques, a créé une vive polémique, notamment dans le monde chrétien. L'essayiste Jacques de Guillebon explique en quoi les catholiques qui s'émeuvent d'un possible « blasphème » font erreur.

"Dans un communiqué, l'épiscopat français a fait part de son malaise devant des scènes de la cérémonie d'ouverture des Jeux olympiques de Paris 2024 tournant en dérision le christianisme. Mgr Emmanuel Gobilliard, évêque de Digne et délégué de l'Église catholique en France pour les JO, analyse auprès de La Croix pourquoi la séquence a autant heurté dans des milieux chrétiens, en France et à l'étranger."

"Face à l'ampleur de la polémique, les organisateurs de Paris 2024 se sont trouvés contraints de s'excuser. « Notre intention n'était pas d'afficher un manque de respect à quelque groupe religieux que ce soit », ont-ils expliqué."

"Monseigneur Emmanuel Gobilliard, évêque délégué pour les Jeux olympiques, invité de l'émission du Figaro «Bienvenue aux Jeux», a exprimé son point de vue sur le tableau reconstituant une Cène pour le moins baroque"

"Mgr François Jacolin réagit à la cérémonie d'ouverture des Jeux Olympiques Paris 2024 et la parodie pleine de vulgarité de la Sainte Cène. Il invite à prier pour la France dont le visage d'humanité a été défiguré ce soir-là. "

"On connaît la bataille du pont d'Arcole. On connaît moins la bataille de la passerelle Debilly, ce pont parisien, bâti en 1900, qui relie le 16ᵉ arrondissement au 7ᵉ. C'est sur cette passerelle, que le 26 juillet, jour de la cérémonie d'ouverture des Jeux olympiques de Paris, le metteur en scène Thomas Jolly composait un tableau mouvant de drag-queens. Tableau païen où certains, comme Donald Trump et le guide suprême de la République islamique d'Iran, l'ayatollah Khamenei, ont voulu voir une parodie blasphématoire de la Cène."

"« Après la publication de mon message adressé aux prêtres et aux fidèles du diocèse, nous avons appris que le Directeur artistique de la cérémonie d'ouverture des Jeux Olympiques a démenti s'être inspiré de la Dernière Cène. Je me réjouis de ces mots d'apaisement, que la clarté soit faite et qu'il n'ait pas eu l'intention de parodier l'Evangile."

"Monseigneur Nicolas Brouwet a dénoncé une « véritable offense faite au Seigneur » lors de la cérémonie d'ouverture des Jeux olympiques de Paris. Une messe de « réparation » se tiendra samedi 3 août à 9 heures à la cathédrale de Nîmes."

"Monseigneur Emmanuel Gobilliard, évêque de Digne et délégué de l'église catholique en France pour les JO, est revenu dans l'émission «Bienvenue aux Jeux» sur les tableaux de la cérémonie d'ouverture des JO de Paris 2024 le 26 juillet. «Je me suis senti profondément blessé quand j'ai vu la Cène», déclare Mgr Gobilliard, commentant l'interprétation de cette scène religieuse par des drag queens."