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Aurialie Jublin

Quand les amateurs passionnés (ré-)inventent l'automobile | Le Cercle Les Echos - 0 views

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    "Depuis quelques années, il se passe quelque chose d'étrange dans l'écosystème automobile : Des amateurs surgissent de partout et de nulle part et se permettent de penser l'automobile autrement... Les pires d'entre eux utilisent l'internet pour appeler à la rescousse, des milliers, voire des millions d'autres amateurs. Qui sont-ils, que font-ils ? où nous mènent-ils ?"
Aurialie Jublin

"Une idée, un boulot" : le garagiste qui apprend à ses clients à réparer leur voiture - 1 views

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    Yann Raguenes, un jeune mécanicien automobile de 27 ans, a ouvert "Un garage et vous ", à Les Sorinières, près de Nantes, où il met à la disposition de ses clients, ses conseils et son matériel.
julien camacho

Marseille | Marseille : Group'union, une nouvelle façon de travailler | La Provence - 0 views

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    Alors que les espaces de coworking se multiplient en France, Christophe Gauthier, un ancien ingénieur dans l'industrie automobile, propose sa définition du travail à travers son entreprise, Group'union
Aurialie Jublin

Favi, l'usine qui tourne sans chefs - Capital.fr - 2 views

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    Depuis près de trente ans, ce sous- traitant picard pour l'industrie automobile pousse ses 400 ouvriers à élire leurs responsables et à travailler sans hiérarchie. Et le succès de son modèle fait réfléchir.
abrugiere

Le pari de Porsche pour attirer des talents - Automobile - 1 views

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    baisse du tempsde travail - maintien des salaires - mais augmentation de la flexibilité  = objectifs attirer des talents (manque de main d'oeuvre)
Aurialie Jublin

Toyota remplace les robots par... des hommes - 1 views

  • Aujourd'hui, l'idée des dirigeants de la firme japonaise est double. Tout d'abord, s'assurer que les travailleurs comprennent vraiment la tâche qu'ils sont en train d'accomplir plutôt que de nourrir la machine, à la manière des ouvriers dans le cinéma muet des années 1920, et n'être d'aucune utilité lorsqu'elle se brise ou s'emballe. Ensuite, ils veulent leur redonner l'initiative individuelle afin que le processus de production puisse sans cesse être amélioré.
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    "Toyota expérimente dans l'une de ses usines au Japon le remplacement de certaines machines par des hommes, pour gagner en efficience et en qualité. L'expérience semble concluante."
Aurialie Jublin

Ces mutuelles santé qui remboursent les objets connectés - 0 views

  • Le groupe mutualiste à l'origine de cette initiative intervient auprès de 130.000 clients d'un type particulier. Il s'agit de professionnels de santé (infirmier, médecins, dentistes, pharmaciens) que la mutuelle souhaite inciter à utiliser des objets connectés comme dispositif de prévention.Mais, ces professionnels pourraient aussi devenir d'excellents prescripteurs de ces objets connectés auprès de leur propre clientèle, les patients.Soucieux de répondre aux inquiétudes de ses adhérents, le groupe mutualiste indique qu'il n'aura accès à aucune donnée de santé liée à l'utilisation de ces objets connectés. Donc, aucun contrat modulant ses tarifs en fonction du mode de vie ou de l'état de santé des adhérents n'est possible.
  • Aucun contrat de complémentaire santé ne peut prévoir donc encore d'appliquer une modulation tarifaire en fonction des habitudes de vie ou des paramètres individuels de santé. Mais l'assurance automobile vient néanmoins de franchir le Rubicon en modulant les tarifs selon la conduite au volant. Direct Assurance (Groupe Axa) propose une formule de contrat avec boîtier connecté qui applique un système de bonus-malus en fonction du comportement routier du conducteur.
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    "Pasteur Mutualité crée un forfait de prise en charge d'objets connectés dans ses complémentaires santé.  Les mutuelles jouent officiellement la carte de la prévention."
Aurialie Jublin

Vos désirs sont des ordres | Cosmo [†] Orbüs - 0 views

  • La morale, c’est qu’il n’y a pas de limites à la volonté de contrôle des corps. Le techno-capitalisme avance souvent main dans la main avec sa meilleure ennemie : la liberté individuelle. […] Les organisations qui ne savent pas promouvoir l’homme tel qu’il est (et la femme telle qu’elle est), dans toutes ses dimensions, dans toutes ses richesses (et faiblesses !), sont des organisations dont le design n’est pas prévu pour l’humain.
  • Dans un monde où les entreprises cherchent à dépasser les possibilités de leur main d’oeuvre humaine (cadence, qualité, standardisation de la production etc.) pour pas trop cher (ou vite rentabilisé), la machine semble être une solution logique. Le design de la machine industrielle (et du logiciel de service) est conçu pour accomplir précisément ce qu’elle est supposée faire (on en a déjà parlé). Ça paraît tout bête dit comme ça, mais ça va mieux en le disant : la machine est faite pour faire ce qu’on veut qu’elle fasse. Elle est donc complètement compatible avec les attentes de l’entreprise, contrairement à ces humains bourrés de vices de conception, qui dorment, mangent, prennent des pauses, font grève et… vont aux toilettes.
  • Certains prêchent qu’on aurait intérêt à s’entraîner pour concurrencer les machines qui, demain, nous remplacerons. D’autres évoquent l’impossibilité totale de battre le droïde sur son propre terrain (encore une fois : il est conçu pour une tâche précise. Comment voulez-vous lutter ?), et appellent à embrasser le Grand Remplacement Robotique qui serait pour demain.
  • ...3 more annotations...
  • La première option n’en est pas une. S’entraîner pour accomplir ce qu’un robot manifestement imparfait fait déjà mieux que nous est une gageure. A moins de les perfuser en permanence (sucre + excitants + antidépresseurs), de les gaver de pilules anti-sommeil, de les enchaîner à la chaîne de montage et de tenir la Ligue des Droits de l’Homme à distance, les ouvriers de l’industrie automobile sont moins efficaces que les robots qui existent d’ores et déjà. Dans le futur, aucune « augmentation » transhumaniste ne changera jamais cet état de fait.
  • La deuxième option est plus intéressante. Souvent la réflexion de penseurs comme Ariel Kyrou (dans Réinventer le travail sans l’emploi) ou des auteurs de SF comme Norbert Merjagnan (CoÊve 2051) fait suivre le constat du tout-robotique à venir par un appel au Revenu de Base. Forcément : si les machines font si bien le travail, laissons leur. Mais si nous n’avons plus de boulot ni de salaire, qui achètera les quantités de produits débités par nos usines robotisées ? Le revenu de Base est parfois vu comme la face B, indissociable de la robotisation galopante. A moins de s’en remettre à la phrase de Catherine Dufour : « Avec la robotisation on nous avait promis les loisirs, et on a eu le chômage. »
  • Pendant que le service marketing s’essaye à la promesse, quelqu’un d’autre doit la tenir. Le paradis du consommateur est souvent l’enfer du salarié.
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    "Il y a des entreprises où les employés portent de couches parce qu'il n'ont pas le temps - parce qu'on ne leur laisse pas le temps - d'assouvir un besoin essentiel et commun à tou(te)s. Il y a des entrepôts d'Amazon environnés de tentes parce que les employés n'ont pas le temps - parce qu'on ne leur laisse pas le temps - de rentrer chez eux le soir. (Et encore, pour le moment ils n'ont pas de bracelet de surveillance.) Allons bon, ils ont toujours le choix ! Sauf qu'à trop faire la fine bouche, on leur rappellera que six millions de crevards demandeurs d'emplois attendent dehors pour prendre leur place. Comme le notait Mais où va le web dans son excellent article Pause pipi et ovocytes congelés : l'homme machine selon Heidegger, le fait que des entreprises en arrivent à de tels délires dans l'exploitation de leurs salariés est un problème de design. Ces entreprises et leur fonctionnement ne sont pas compatibles avec ce qu'est l'être humain. "
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