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julien camacho

Mobilité et télétravail sont bons pour la productivité selon une étude de Cit... - 1 views

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    Entretien avec Sophie Vandriessche, directrice commerciale EMEA chez Citrix, qui commente l'étude 2013 Télétravail et mobilité que l'entreprise a conduite auprès de 1262 entreprises sur 3 continents. Où l'on voit que le travail flexible et la mobilité sont bons pour la productivité. Citrix vient de publier les résultats de sa 2e étude relative au Télétravail et à la mobilité en entreprise réalisée par YouGov auprès de 1262 managers et dirigeants de PME de moins de 250 salariés en Grande-Bretagne, aux Etats-Unis, en Australie, en Allemagne, en France et au Canada.
Aurialie Jublin

Need Help With Work? Startup RelateIQ Aims to Improve Work Relationships - WSJ.com - 1 views

  • Data scientists are beginning to peer into work relationships, trying to identify patterns that can improve how employees collaborate with peers, manage sales relationships, or see how they stack up against colleagues. It is a nascent market, but up-and-coming startups have their eyes set on upending established business-technology companies like Salesforce, which are also increasingly digging into data.
  • Elsewhere, Boston-based Sociometric Solutions Inc. uses physical sensors to collect data on employees' movements and the tone of their conversations to tell managers where interactions are dipping and where employees are congregating. In San Francisco, tenXer Inc., a program for computer engineers, tracks code modifications and hours spent in meetings to help them see how their productivity stacks up against colleagues. And Boston-based Yesware Inc. helps employees track emails, monitors how many times their emails are opened, what devices recipients are using, and provides analytic reports on the email traffic of colleagues.
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    Startups Like RelateIQ Are Aiming to Help Improve Employees' Work Life With Software Résumé IA : RelatelQ - https://www.relateiq.com - est un logiciel qui se propose de regarder votre vie numérique pour vous en faire ressortir ce qui semble important. L'algorithme de RelateIQ recueille constamment des signaux de données pour déterminer si les relations de travail avec des partenaires internes ou externes se refroidissent et si l'utilisateur doit prendre des mesures. Sociometric Solutions utilise une méthode proche pour améliorer les conversations. tenXer - https://www.tenxer.com - gère les modifications de code et les heures passées en réunion pour aider à mieux maîtriser sa productivité. Yesware - http://www.yesware.com - tente d'améliorer la productivité par e-mail. Chez RelateIQ, les programmeurs tentent de toujours mieux cerner les tendances, comme le temps moyen qu'il faut pour qu'une personne puisse répondre et quels types de ponctuation et de phrases provoquent généralement des réponses. Ils tentent également de détecter le sarcasme et les mots qui sont habituellement associées à des questions importantes. Ces données peuvent révéler, par exemple, si une relation stagne ou progresse. Reste que dans des environnements de communication très complexe, le défi de ces outils est également complexe. L'apprentissage machine peut provoquer des erreurs, des mauvaises interprétations, des recommandations qui semblent venir de nulle part. Promesse ou illusion ?
Aurialie Jublin

Isaac Getz : « L'organisation où les salariés sont libres vaincra toujours le... - 1 views

  • 1/ Pensez-vous que les pratiques managériales actuelles soient un frein à l’innovation et à la croissance en entreprise ?Isaac Getz : C'est une évidence, car toute innovation commence par une idée partagée. Or l'entreprise traditionnelle n'encourage pas ce partage, voire l'empêche. Quant à la croissance organique, elle ne provient que par l'innovation. C'est justement parce que les entreprises traditionnelles ne parviennent pas à être innovante durablement qu'elles recourent tant à la croissance externe par l'acquisition.
  • la libération de l'entreprise est une transformation radicale et elle commence par l'abandon de l'égo par le N+1. Quant aux managers, certes, une partie ne sera pas très enthousiaste par la transformation qui leur ôte du pouvoir et les invite à devenir des leaders au service de leurs équipes. Ces managers, il faut les former, coacher, voire inviter ceux qui ne s’accommodent pas de ce changement à évoluer vers d’autres missions dans l’entreprise, tout en gardant leur salaire, bien sûr.
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    Professeur à l'ESCP et co-auteur de « Liberté & Cie, Quand la liberté des salariés fait le bonheur des entreprises », Isaac Getz est spécialiste de l'innovation et du leadership libérateur. Il propose aux entreprises et à leurs dirigeants une méthode pour repenser et transformer leur modèle managérial en levier de croissance.
Aurialie Jublin

How Technology Is Changing The Way Organizations Learn - Forbes - 0 views

  • That’s beginning to change as brands are becoming platforms for collaboration rather than assets to be leveraged.  Marketers who used to jealously guard their brands are now aggressively courting outside developers with Application Programming Interfaces (API’s) and Software Development Kits (SDK’s).  Our economy is increasingly becoming a semantic economy.
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    By the late 20th century, a knowledge economy began to take hold.  Workers became valued not for their labor, but for specialized knowledge, much of which was inscrutable to their superiors. Successful enterprises became learning organizations. Now, we are entering a new industrial revolution and machines are starting to take over cognitive tasks as well.  Therefore, much like in the first industrial revolution, the role of humans is again being rapidly redefined.  Organizations will have to change the way that they learn and managers' primary task will be to design the curricula.
Aurialie Jublin

Outil - GmailValet - 0 views

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    "A free email program that connects you with an assistant to help you manage tasks and calendar."
Richard CARLIER

Bonjour à tou(te)s ! - 0 views

tictravail travail

started by Richard CARLIER on 15 Apr 13 no follow-up yet
Aurialie Jublin

The Future of Work - livre blanc de Esselte - 0 views

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    "As a result of the internet, new technologies, the huge increase in mobile or home working, part-time jobs and today's 'always on', 24/7 culture, we found that most people now spend more time working than sleeping. In fact by 2015 around 40% of the total workforce will be mobile. The reason for this is that work is no longer where the office is but for mobile workers it is wherever they are - be that their car, home, coffee shop, the airport, customer site or even on holiday. This is just one area our report identifies as having a massive impact on the way we work;" explains Richard Watson. Other factors covered in the paper include: Ageing workforces: By 2050 over 65's will represent around 50% of the working population in Europe Millennials and Gen Y: More tech-savvy than any other generation The generation gap: Millennials think senior management do not relate to them and use autocratic command and control structures Gender: The huge economic impact of getting more women in the workforce especially at senior levels. Eliminating the gap between male and female employment would boost GDP by 9% in US, 13% in Eurozone and 16% in Japan (Goldman Sachs). Mobile working: By 2015 new technologies mean 1.3 billion (or 40%) of the total working population will be mobile Security of Information: Workers will have their own devices (BYOD) and potentially work remotely creating huge security and data storage/retrieval challenges. Where will new talent for workforce come from? Talent scarcities worldwide mean that by 2030 the USA will need to add over 25 million workers to its talent base to sustain economic growth and Western Europe more than 45 million.
Aurialie Jublin

A quoi ressemblera l'entreprise de demain ? - Entreprise20.fr - 2 views

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    CR de Frédéric Cavazza de la réunion préparatoire de l'Enterprise 2.0 Summit. Un passage intéressant sur la définition de l'entreprise idéale du XXIe siècle :  Chacun a ainsi pu donner sa définition, l'occasion pour moi de noter quelques notions et mots-clés intéressants : - Responsabilisation (la collaboration est l'affaire de chacun, pas que des représentants de la génération Y) ; - Confiance (accepter de partager ses connaissances) ; - Plaisir (s'épanouir dans la collaboration et la performance collective) ; - Adaptabilité (prendre en compte le fossé culturel entre les nouveaux entrants et les "séniors") ; - Fluidité (des processus, des informations, mais également des collaborateurs) ; - Tolérance (vis-à-vis des idées qui sont partagées et des erreurs qui peuvent être faites lors de la phase d'adaptation aux pratiques collaboratives) ; - Engagement (principalement de la Direction et du Middle-Management) ; - Diversité (des profils, des parcours, des cultures) ; - Bienveillance (pas de censure ou d'inhibition). Au cours des discussions qui ont suivi, j'ai également pu noter des phrases et des idées dont je suis incapable de retracer l'origine (veuillez m'en excuser) : - "Arrêtons de parler de changement, car le changement fait peur, parlons plutôt d'adaptation" ; - "Les RSE (réseaux sociaux d'entreprise) sont les ERP de demain" ; - "Il faut reconfigurer l'organisation et les processus autour des savoirs et du capital humain" ; - "Nous devons passer à une logique d'apprentissage et de discussions / échanges permanents, donc trouver les bons stimuli auprès des collaborateurs" ; - "L'objectif est d'accélérer la prise de décision et la résolution de problèmes non plus grâce aux outils de production, mais à la collaboration" ; - "La hiérarchie devrait être là pour inspirer et modérer, plutôt que de surveiller et comptabiliser" ; - "Dans une dynamique de créativit
Aurialie Jublin

Agile, l'entreprise de demain ? « InternetActu.net - 0 views

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    Petites et grandes entreprises doivent s'adapter à des cycles d'innovation de plus en plus courts, qui se succèdent de plus en plus rapidement tout en apprenant à rester souples. Sachant cela, à quoi doit ressembler l'entreprise agile de demain ? Telle était la question posée aux orateurs de cette session de la conférence Lift : faut-il repenser le sens du management ?
marinealbarede

Les gains du télétravail sont d'ordre financier, mais aussi culturel et manag... - 0 views

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    Le 5 décembre se tenaient les Entretiens Territoriaux de Strasbourg. 1500 responsables de collectivités étaient réunis autour du thème « éco-défis et cyber-enjeux », et ont montré beaucoup d'intérêt pour la conférence dédiée au télétravail. Ce fut l'occasion pour les intervenants de souligner les avantages et les risques de cette nouvelle forme de travail, mais aussi son impact sur le rôle des managers.
Aurialie Jublin

Two People Doing The Same Job? It's Not Crazy For Engineers - FastCoLabs - 0 views

  • It turns out that developers have been working together to complete single tasks for decades, using a practice called “pair programming.” The basic idea is simple: Two developers sit in front of one computer. One programmer “drives,” typing out actual code, while the other observes and guides the driver, catching mistakes, and suggesting high-level strategies for completing the task.
  • Although it might sound counterintuitive and costly to employ two engineers to do one thing, its proponents swear that it actually saves money and time. Michael Kebbekus, a software engineering manager for collaboration software company Mindjet who spends 80% of his time pair programming, says the practice reduces costs and increases innovation by forcing developers to think through their decisions early
  • When you pair program, you have the perspective of a colleague, and every idea is just a starting point for something better. Before you start typing, you verbalize a solution, and in explaining your thoughts out loud you discover aspects of a problem you didn't even consider, and better yet, your partner does, too.
  • ...1 more annotation...
  • Although he acknowledges that it might not be beneficial to every division for every type of project, Kebbekus believes that everybody should at least try putting people together to work on high-value projects. His advice is to slowly start asking team members to work together on bigger, higher-cost projects and gradually formalize pairing people as they get used to the process.
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    "Most people would find it absurd to hire two people to do the same job. An increasing number of software companies are doing just that and finding that it increases productivity and reduces costs. Here's how to apply the idea to your business."
Aurialie Jublin

Human Workers, Managed by an Algorithm | MIT Technology Review - 0 views

  • Now several startups, including CrowdFlower and CrowdSource, have written software that works on top of Mechanical Turk, adding ways to test and rank workers, match them up to tasks, and organize work so it gets double- or triple-checked. “In the past [crowdsourcing] has been more experimental than a real enterprise solution,” says Stephanie Leffler, the founder of CrowdSource. “The reality is that it’s tough to do at any kind of scale.”
  • Two years ago, researchers at New York University estimated that 41 percent of all jobs posted to Mechanical Turk were for generating spam, generating clicks on ads, or influencing search engine results (see “How Mechanical Turk Is Broken”).
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    "The 38-year-old resident of Kingston, Jamaica, recently began performing small tasks assigned to her by an algorithm running on a computer in Berkeley, California. That software, developed by a startup called MobileWorks, represents the latest trend in crowdsourcing: organizing foreign workers on a mass scale to do routine jobs that computers aren't yet good at, like checking spreadsheets or reading receipts."
Aurialie Jublin

The Avatar Economy | MIT Technology Review - 0 views

  • Progress toward the “avatarization” of the economy has been limited by two technical factors that don’t involve robotics at all. They are the speed of Internet connections and the latency involved in long-distance communication. Connecting a Thai worker to a robotic avatar in Japan with enough signal fidelity to carry out nonroutine work may be more difficult than engineering a cheap robotic chassis and related control systems.
  • How much bandwidth is enough? A “perfect” (just like being there) connection to a robotic telepresence system must accommodate a signal of 160 megabits per second. Theoretically, too, the distance between robot and worker shouldn’t exceed 1,800 miles
  • Telepresence means that in theory, 10, 100, or 1,000 times as many workers could compete (virtually) for the same work. No matter how bad things get in Madrid or Houston, an avatar worker somewhere else could sell his or her labor for less. The same outsourcing logic applies to many high-wage jobs that rely on physical presence and motor skills, including the work done by cardiologists and machinists.
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    Article datant d'1 an, imaginant une économie de type Avatar (le héros est allongé et va sauvé la planète via une connexion sans fil à un corps à distance; il interagit avec les autres, apprend de nouvelles compétences, et même se marie-alors que son corps "réel" est couché sur une dalle à plusieurs km de là). I believe outsourcing of nonroutine labor via robotic telepresence could begin to occur on a mass scale within a decade. Let's take the time to manage the avatar economy thoughtfully while it is still young.
julien camacho

Email : combien de temps encore? | France Culture Plus - 1 views

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    Peut-on se passer de l'email ? 500 milliards de mail sont envoyés chaque jour dans le monde. Créé il y a 30 ans, ce moyen de communication a conquis le monde, individus et entreprises. Plus que jamais utilisé, l'email est aussi plus que jamais remis en cause. Une émission produite par Telecom EM, et à écouter sur le MOOC de France culture
Aurialie Jublin

Pourquoi les entreprises ont encore peur du télétravail - 20minutes.fr - 1 views

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    Parmi les principaux freins identifiés par les experts: la peur des responsables de ressources humaines de perte du lien avec l'entreprise, mais aussi les réticences des managers de proximité à perdre le contrôle du temps de travail des salariés. Dans les PME, seulement 12,4% des salariés français bénéficiant d'au moins 8h mensuelles de télétravail contractuel, selon une étude réalisée en mai 2012 par le cabinet spécialisé Greenworking .
Aurialie Jublin

Ces patrons qui osent "libérer" leurs salariés - 1 views

  • L'exercice d'un contrôle autoritaire s'accompagne d'une multitude de coûts cachés qui ne pèsent pas seulement sur les bénéfices, mais sur la santé des employés [...] La grave erreur des bureaucrates est de s'imaginer que, parce qu'une chose s'appelle règle, elle est préférable à un arrangement moins formel. D'autant que la plupart de ces règles ne se bornent pas à saper le moral des salariés : elles empêchent la grande majorité d'entre eux de faire ce qui conviendrait.
  • « Lâcher prise » ? C'est la clé de ces transformations menées par ces patrons. En supprimant toute surveillance au profit de l'auto-organisation du personnel, ils ont décuplé la motivation au prix d'un intense effort sur leur rapport au pouvoir.
  • Au final, l'agilité d'une entreprise est déterminée par son leadership : « Pour atteindre la performance forte et durable qu'ils visaient, ces patrons ont renoncé à agir sur l'homme (à le contrôler, le motiver, le manager) et préféré agir sur son environnement pour que ce dernier le nourrisse », résume Isaac Getz. Mais avec deux cartes maîtresses, la transparence et la confiance, dans un jeu qui implique les salariés. Cela leur inspire une automotivation qu'aucun chèque ne produira jamais.
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    Persuadés que le meilleur moyen pour rester compétitifs est de responsabiliser leurs troupes, certains chefs d'entreprise ont fait le pari de lâcher la bride à leur personnel. Visite guidée dans ces laboratoires de ressources humaines qui affichent des performances très convaincantes. Pas d'échelon hiérarchique, ni grade; regroupement des collaborateurs par client et non pas service / organisation en mini-usine; pas d'emploi du temps; infos sur l'entreprise libres pour prendre les décisions en toute connaissance de cause; ...
Aurialie Jublin

L'entreprise de demain : BYOD, DYOJ et CYOB ? | Le Blog de Claude Super - 1 views

  • Avec les schémas d’organisation qui se profilent, le rôle sera probablement plus valorisé que la fonction mettant ainsi à bas une longue tradition d’appréciation de la personne au regard de sa position dans un organigramme et c’est un énorme chantier notamment pour les personnes travaillant dans les RH.
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    "BYOD = Bring Your Own Device : apporter son matériel DYOB = Design Your Own Job : dresser les contours de son job CYOB = Choose Your Own Boss : Choisir son patron Etre indépendant …. en quelque sorte"
Aurialie Jublin

Les nouvelles méthodes de travail qui vous attendent - Capital.fr - 0 views

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    "Donner aux collaborateurs davantage de marge de manœuvre dans leur façon de travailler et de s'organiser est une tendance qui devrait s'imposer. Car tout le monde y gagne."
Aurialie Jublin

Dans la cage de l'open space - lemonde.fr - 1 views

  • Danièle Linhart va même beaucoup plus loin : elle estime que l'open space, dans sa version la plus difficile – les grands plateaux – est le symbole même des dérives du management moderne. "Ce management recherche une relative déstabilisation du salarié car il veut éviter les habitudes ou les routines qui pourraient éloigner des méthodes de travail les plus performantes. Avec sa transparence, l'open space est au coeur de cette stratégie : les salariés sont en concurrence visible, ils travaillent à découvert et comprennent vite qu'il faut se mobiliser et adopter les règles de l'entreprise. L'open space est une manière de planter le décor de la guerre économique."
  • les entreprises commencent, selon M. d'Iribarne, à s'éloigner d'une optique exclusivement gestionnaire. "Elles comprennent qu'il faut réhabiliter des espaces qui ont longtemps été déclassés comme les restaurants d'entreprise, les cafétérias, les jardins, les agoras. Ces lieux de rencontre permettent de réinventer le puits ou le lavoir d'autrefois : ils créent des moments d'échanges privilégiés, riches et spontanés. C'est important, car si les gens ne se connaissent pas, ne se comprennent pas, n'ont pas envie de travailler ensemble, le travail collectif ne fonctionne pas. Il faut restaurer la valeur du travail informel."
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    Certains y voient un symbole de modernité et de transparence indépassable, d'autres, une résurgence du cauchemar tayloriste de Chaplin dans Les Temps modernes. "L'open space est à la fois l'aménagement le plus prisé des manageurs et le plus contesté par les employés", résume la sociologue Thérèse Evette qui fait ensuite un historique de l'open space. Apparition au début du XXe siècle pour une question de rentabilité foncière du fait de la densification des parcelles urbaines et des postes de travail En France, les immeubles administratifs et les sièges sociaux sont dans des appartements bourgeois reconvertis en bureaux, jusque dans les années 70 (1es tours de bureaux), voire 2000 pour son développement à grande échelle. Selon Alain d'Iribarne, la taille moyenne d'un poste de travail est passée de 25 m2, dans les années 1970, à 15 m2 aujourd'hui. " "Plébiscité pour sa souplesse et ses coûts, l'open space a fini par devenir le symbole du discours managérial sur les vertus de la communication, de la transparence et des échanges : il "assouplit les esprits" et "augmente la fluidité de l'information et les échanges informels", affirmait ainsi le secrétaire général de Danone, en 2003. " "L'open space, s'il est bien aménagé, peut convenir à une équipe qui travaille de manière réellement collective autour d'un projet", confirme Thérèse Evette, cofondatrice du Laboratoire Espaces travail de l'ENSAPLV.
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