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Aurialie Jublin

Et si le futur du travail était encore entre nos mains ? - Digital Society Forum - 1 views

  • La fin de l’emploi, de sa durée légale et de son déroulement dans un temps « long » (plusieurs mois ou plusieurs années), s’il n’est pas accompagné d’une évolution de notre système de protection sociale et de soutien aux personnes, risque de faire de nous des individus morcelés incapables de se projeter, de se construire, d’évoluer.
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    "En prenant un peu de recul, la bousculade que vient de vivre la SNCF pourrait bien nous donner un aperçu du futur. En effet, le premier rôle dans cette histoire semble tenu par quelques dynamiques bien connues du monde numérique : la dimension participative (les clients ne sont plus de simples consommateurs passifs), la transparence (revendication d'une gouvernance plus partagée) et la montée des indépendants. En fait, cette mobilisation autour d'une offre commerciale donne un aperçu concret de cette société du pair-à-pair dont Michel Bauwens s'est fait le héraut : une société où les frontières entre producteurs et consommateurs s'effacent ; où les services et les produits deviennent des biens communs plutôt que des propriétés privées exclusives ; où les systèmes hiérarchiques s'aplatissent ; où la taille des entreprises se réduit, le travail s'effectuant en petits groupes mis en réseau ponctuellement, etc. Elle donne aussi un avant-goût de l'organisation des travailleurs et du dialogue social de demain. "
Aurialie Jublin

Quand les robots débarquent dans l'entreprise - 0 views

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    Longtemps cantonnés aux usines, l'usage des robots s'étend à l'entreprise et ouvre la voie à de nouveaux services comme la téléprésence mobile. Surveiller un lieu, accueillir des invités, participer aux réunions : les possibilités sont infinies.
Aurialie Jublin

Santé au travail, entre bien-être et bien-faire : le dilemme du manager - 0 views

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    Conclusion de Yvan Miossec: il faut soigner le travail car - quand les professionnels peuvent parler réellement de leur travail, cela leur fait du bien ; - les situations de travail peuvent se révéler moins impossibles qu'elles n'apparaissent ; - le travail peut redevenir favorable à la santé quand il permet l'initiative et l'exercice réel de ses responsabilités ; - les débats sur le travail sont aussi bons pour les directions d'entreprises qui redécouvrent la passion professionnelle des collaborateur. Concl. de V.D. Cosme: On peut contribuer à prévenir les risques psycho-sociaux en formant des managers à la gestion et au développement des gens, à la détection des changements de comportements et en leur laissant la possibilité d'activer certains leviers. La mise en place de groupes de discussion autour du travail, l'amélioration du cadre de travail des salariés ainsi que la participation des acteurs impliqués dans les évolutions organisationnelles sont également des leviers pour les entreprises et les organisations, en particulier en période de changement.
Aurialie Jublin

Et si on inventait son propre travail... - latribune.fr - 0 views

  • "On y respecte le travail, pas l'entreprise", précise Serra. "Elle a mauvaise réputation". Mais pour que ça marche, il est essentiel "de changer le sens du terme "travail" et de lui donner une dimension innovante, créative". De lui redonner en fait si l'on pense à la tradition artisanale sur laquelle la Catalogne a construit une bonne partie de sa réputation depuis le Moyen-Age.
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    "Le cœur innovant se trouve au LaborLab, entièrement consacré à l'emploi. On n'y aide pas à en trouver mais à en créer. Dans ce modèle, explique le site de CitiLab, "personne n'a besoin que quelqu'un lui donne un travail. Tous ceux qui participent apprennent à partager compétences et connaissances et à créer des projets originaux et attractifs"."
Aurialie Jublin

Unilever systématise la co-création - 0 views

  • Unilever a déjà mené une trentaine de projets de co-création avec Eyeka, pour 16 marques, dont Clear, CloseUp, Comfort, Lipton, Lux ou Pond’s. "Le rôle des marketeurs s’apparente à celui des magiciens : surprendre les consommateurs avec des idées innovantes et des produits qui les enthousiasment. Le fait d’inviter les consommateurs les plus créatifs à contribuer à cette démarche force Unilever à se réinventer constamment
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    "Les clients n'ont pas qu'un avis, ils ont aussi des idées. Unilever est bien décidé à en systématiser la collecte pour l'aider à innover. Pour ce faire, il a signé un accord-cadre avec la plate-forme en ligne d'Eyeka, une start-up française qui fédère, dans 150 pays, quelque 250 000 membres prêts à participer à des concours de créativité. "
hubert guillaud

La disparition du travailleur mâle - Pew Research Center - 0 views

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    Le taux de participation des hommes à la population active aux Etats-Unis est en baisse constante depuis les années 50, souligne Rich Morin pour le Pew Research Center, alors que celle des femmes n'a cessé de progressé avant de se stabiliser depuis 10 ans. Les femmes quittent moins leur emploi et sont mieux formées que les hommes, estiment les analystes.
hubert guillaud

www.lechorepublicain.fr - A la Une - CHARTRES (28000) - Le rideau de caméras ... - 0 views

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    Le taux de participation des hommes à la population active aux Etats-Unis est en baisse constante depuis les années 50, souligne Rich Morin pour le Pew Research Center, alors que celle des femmes n'a cessé de progressé avant de se stabiliser depuis 10 ans. Les femmes quittent moins leur emploi et sont mieux formées que les hommes, estiment les analystes.
Aurialie Jublin

Comment le «hackathon» réinvente l'innovation en entreprise - 0 views

  • D'autres inquiétudes, plus concrètes, entourent l'intérêt des entreprises pour ces concours à l'innovation. Le spectre du travail non rémunéré plane sur les hackathons. Un participant du concours organisé par Axa confie sa crainte du vol d'idées, surtout quand les thèmes sont très spécifiques.«Les participants doivent protéger leurs productions par l'utilisation de licences libres», prévient Ivan Béraud, secrétaire général de la fédération CFDT de la communication, du conseil et de la culture. Ce dernier affirme n'avoir reçu aucune plainte relative à des hackathons à ce jour.
  • «Une grande entreprise aura plus intérêt à impliquer une personne ayant une idée géniale plutôt que d'en profiter dans son dos», relativise John Karp, cofondateur de la société BeMyApp, qui organise de nombreux hackathons, comme ceux d'Axa ou de Pernod Ricard. Pour beaucoup de développeurs, les hackathons sont un moyen de rencontrer des potentiels recruteurs. «Depuis octobre, j'ai reçu une dizaine de propositions d'emplois», s'enthousiasme Cédric Le Gouard, développeur free-lance de 26 ans et neuf hackathons à son actif. Selon lui, les idées issues des hackathons n'ont pas le temps de mûrir et ont donc peu de risques d'être exploitées aux dépens de leurs créateurs. «Un produit fini va bien plus loin que le genre de projets qu'on développe dans un hackathon», confirme John Karp.
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    "Axa, Pernod Ricard et la SNCF ont adopté les méthodes de Facebook. Elles font plancher des week-ends entiers des génies de l'informatique sur des projets d'applications et de services en ligne. Enquête sur un phénomène"
Aurialie Jublin

« Viens bosser à la maison » : le coworking débarque dans ton salon - Rue89 -... - 0 views

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    "Il fallait bien que le coworking ait sa version low-cost - ou estampillée économie participative. Gratuit et feng shui avec Hoffice ou en mode Airbnb avec la start-up OfficeRiders lancée il y a quelques semaines, les travailleurs nomades débarquent chez vous, dans votre salon."
abrugiere

Compte personnel d'activité : France Stratégie lance une commission | France ... - 2 views

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    Le compte personnel de formation + pénibilité + sécurisation des parcours professionnels + encouragement à l'activité + accompagnement plus adapté des parcours de vie Qu'est-ce que le compte va apporter à chacun ? En quoi il va participer de sécuriser les transitions professionnelles
abrugiere

LECTURE - Les cinq clés du management transversal - Les cahiers du DRH, N° 19... - 0 views

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    le manager transversal  - doit agir en architecte  - Il a la responsabilité de mobiliser des contributeurs dispersés. À lui d'en faire une équipe, pour mettre la puissance du collectif au service de la mission. En bon architecte, le manager a identifié les compétences indispensables à la réussite de sa mission. Il lui faut désormais obtenir les contributeurs ad hoc. Idéalement, il sélectionne lui-même ces contributeurs mais, dans la réalité, sa capacité de choix est réduite par deux contraintes : sa mission est en concurrence avec d'autres objectifs et les ressources sont rares ! Promoteur d'une dynamique de coopération Le manager doit susciter la coopération, c'est-à-dire la participation de chacun à une mission commune. Cette logique s'oppose à la logique de territoire, qui s'installe le plus souvent au sein des équipes.
Aurialie Jublin

Google's Head of HR on Talent Analytics | CEB Blogs - 0 views

  • Confidentiality means when we collect data on employees, there are at most one or two people in all of Google who could link a name to a particular response—and even those one or two people would have to jump through some hoops to do so. And for every survey we always give the option to participate anonymously.
  • Transparency means we then share the results back and explain to Googlers exactly how they’re going to be used. We have about a 90% participation rate for our annual employee survey, called Googlegeist (The Spirit of Google). And it’s not just the company results which are visible to everyone.For example, on our intranet you can pull down results from the annual survey on my team and on me, and see all the details.
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    2 principes clés : la confidentialité et la transparence
Aurialie Jublin

Actualité > 8 domaines où les robots prennent de plus en plus de place - 0 views

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    "Qu'ils soient auto-stoppeurs sur les routes canadiennes ou en passe de participer à leurs premières Olympiades en 2020 à Tokyo, les robots et leurs cousins immatériels (applications, logiciels, OS, etc.) continuent d'envahir notre quotidien et notre planète, parfois dans les endroits les plus incongrus. Voici un scan des domaines où ils progressent. - Aide à la personne - environnement (robot pollinisateur) - social (humanoïde membre de la famille) - sexe (application pour vibrer de plaisir) - robotique (robots qui s'assemblent tout seuls) - défense (robot chien de l'armée américaine) - sport
Aurialie Jublin

13ème Rencontre "Du dialogue social aux conservations numériques" | L'Observa... - 0 views

  • Ce que l’on observe au sein de l’Observatoire depuis maintenant 4 ans c’est que les promesses du digital sont celles de l’abolition du temps et de l’espace; de la fin des silos et de la facilité d’accès à chacun, quel que soit son statut ou son niveau. La fin d’une certaine forme de hiérarchie. la promesse d’une désintermédiarisation.
  • Internet change aussi notre façon de gouverner. Ce qu’apporte internet c’est une très forte valorisation de la méritocratie et surtout une culture du consensus. Ce consensus, fruit de la culture d’internet, rompt avec les systèmes démocratiques historiques basés sur la délégation ou le vote. Le numérique démontre finalement que d’autres acteurs peuvent décider, gouverner, des acteurs souvent volontaires et aux compétences différentes des décideurs actuels.
  • Nous avons pu également constater la puissance de ces outils lorsqu’ils sont bien utilisés : Microsoft étant par essence accoutumé au digital, la présence virtuelle l’emporte parfois sur la présence réelle. Une organisation syndicale a par exemple remporté les élections grâce à sa communication digitale, mais aussi grâce à des communications ciblées sur les grandes thématiques de l’année avec la création d’outils permettant de rendre des services aux collaborateurs. Elle a réussi a accroître et étendre son influence auprès des salariés bien au-delà de ce que pouvait laisser présager sa présence réelle sur le terrain.
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    Cette  13e rencontre de l'Observatoire des Réseaux Sociaux d'Entreprise a rassemblé le 10 juillet 2014 plus de 250 participants représentants près de 90 entreprises autour de la question de la transformation digitale du dialogue social et de ses enjeux digitaux.
Aurialie Jublin

Les mirages de l'auto-entrepreneuriat | AlterEco Alterecoplus - 1 views

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    Etrange croisement entre ambition sociale et philosophie libérale, proposant un soutien aux plus modestes sur fond de critique de « l'assistanat », l'auto-entrepreneuriat se révèle être, derrière la valorisation de « l'individu-entrepreneur » et l'encouragement à la petite propriété, un outil d'(auto-)gestion des failles de la condition salariale, en particulier à ses marges. Répondant, selon Sarah Abdelnour, « à la résignation quant aux chances d'accès à l'emploi salarié et au refus du contrôle et du stigmate liés au chômage », il contribue avant tout à brouiller les frontières entre salariat et indépendance, entre chômage et inactivité. Il participe de ce fait au mouvement plus vaste « de privatisation des mécanismes d'assurance à l'œuvre dans la société française contemporaine ».
Aurialie Jublin

Le business model des plateformes d'innovation - 0 views

  • Tous les services qui peuvent être rendus à des entreprises entrent dans le champ commercial des plateformes, en particulier l’accompagnement à l’intrapreneuriat, le conseil en innovation ou le soutien aux activités de créativité et d’idéation. Le modèle des sociétés par actions simplifiées devient progressivement la référence, avec ou sans mise en place parallèle d’une association sans but lucratif pour gérer une partie des services destinés à la vie de la communauté d’usagers ou pour rester éligible à divers types de subventions.
  • Les logiques de subvention persistent, mais elles prennent des formes directes et indirectes. Directes sous la forme de versements ou d’aides au démarrage ; indirectes quand il s’agit de faciliter l’accès à des locaux à un tarif préférentiel, de garantie sur des signatures de baux ou de dégrèvements fiscaux dans des zones à revitaliser.
  • Cela concerne pour l’essentiel des collectivités locales et territoriales qui émettent des appels d’offres, et pour lesquels les plateformes peuvent manifester leurs compétences distinctives ou leurs modèles économiques originaux dans la phase de mise en concurrence. C’est par exemple le cas du Tuba et de You Factory à Lyon, qui répondent conjointement à des appels d’offres de la communauté urbaine ou de la région. Gagner ce genre d’appel d’offres sert aussi de vitrine et donne de la crédibilité pour interagir avec d’autres interlocuteurs, publics ou privés.
  • ...6 more annotations...
  • L’analyse des modèles d’affaire ou business models suppose d’articuler plusieurs parties : un modèle de services (le portefeuille des activités proposées aux clients ou usagers), un modèle de revenus (le chiffre d’affaires et la façon de tarifier les prestations), un modèle d’opérations (toutes les charges d’opération) et un modèle de financement.
  • Le modèle de financement peut prendre des formes très différentes (dette, autofinancement, subvention, prise de participation, etc.). Les coûts du financement et des investissements doivent être couverts d’une façon ou d’une autre par la marge brute. Il est également nécessaire d’anticiper le niveau des besoins en fonds de roulement (BFR) et en trésorerie.
  • Toutes les plateformes travaillent avec des flux de revenus parallèles et complémentaires, liés à des services rendus à leurs communautés, aux startups et aux grands comptes. Certains services rendus à la communauté sont payants, d’autres sont compris dans la participation à la plateforme d’innovation.
  • Les travaux réalisés depuis 2015 conduisent à souligner que l’adéquation entre sources de revenus et missions principales n’est pas toujours acquise. Ces éléments sont le plus souvent liés à une démarche pragmatique où les plateformes saisissent les opportunités qui se présentent pour générer du chiffre d’affaires. Elles se donnent pour cela un objet social large. L’enjeu consiste alors à aligner les orientations stratégiques avec les services pour lesquels la plateforme d’innovation est visible auprès de ses clients potentiels ou de ses concurrents.
  • Le problème se situe ailleurs, au niveau de la vie des communautés et de la qualité des interactions entre des acteurs aux intérêts et aux expériences variés. Tant que les liens entre membres de la communauté restent forts, alors la qualité de service reste assez élevée et permet d’attirer les usagers tout en améliorant la qualité du service qui leur est rendu. Mais au niveau des ressources incorporelles, réseau des experts et équipe d’animation, la croissance n’est pas infinie et les rendements ne croissent pas sans limite. Dès que les liens au sein de la communauté ou de l’écosystème s’affaiblissent, les rendements décroissent.
  • Dans le business model, il existe donc une logique de taille critique à prendre en compte pour les ressources incorporelles. Au moment où les liens forts se transforment en liens faibles au sein de la communauté, la qualité des prestations baisse. On constate alors un changement profond de la nature de l’activité. Quand la plateforme ne sait plus gérer les coûts d’animation de la communauté, dès qu’elle ne sait plus générer ou faire les liens « forts », elle va se transformer en une société de conseil tout à fait traditionnelle, et perdre son originalité initiale…
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    "Les travaux menés dans les dernières années sur les laboratoires d'innovation ouverte et sur les plateformes d'innovation ont permis de souligner plusieurs tendances qui contribuent à la stabilisation de ces organisations. Dans de précédents articles, nous avons déjà eu l'occasion de souligner le rôle des communautés, porteuses de nouvelles relations de travail ou encore l'importance de manager les processus de créativité. Nous avons aussi rappelé la nécessité de bien gérer l'espace physique."
Aurialie Jublin

COHIP | The Coworking Health Insurance Plan - 0 views

  • Pour nous joindre, rien de plus facile : enregistrez votre espace et payez 100$ de frais annuel. Une fois enregistré, tous vos membres pourront appliquer à notre couverture d’assurance abordable, customisée selon leurs besoins individuels
  • COHIP offre des options de régime d’assurance maladie, dentaire, invalidité, vie ainsi qu’une assurance voyage, médicament et services de santé complémentaires aux membres à travers le Canada Tous les plans COHIP sont adaptables à chaque membre pour répondre à leurs besoins uniques. La couverture est disponible aux célibataires, couples, parents uniques, et familles.
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    "Le plan d'assurance maladie pour pour coworking est disponible à tous les membres des espaces collaboratifs participant au Canada. Si votre espace est listé sur ce site, vous êtes éligible de souscrire à COHIP. Le plan a été spécialement conçu pour les travailleurs indépendants, créatifs, start-ups, petites entreprises, qu'importe l'industrie."
Aurialie Jublin

l'An 2000 - Hello it's Valentine: le like est-il un pourboire (et vous, un gr... - 0 views

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    "Pour Scott Kushner, le like a débarqué sur Facebook comme une «arme anti-lurking». C'est l'invention d'un moyen ultra simple pour participer, afin que la masse silencieuse se mette elle aussi au travail. Le like est une barrière à l'entrée bien moindre que la véritable création de contenu et permet de qualifier, et donc de monétiser, l'activité paresseuse d'un internaute. Le like ne fait pas que réveiller la masse silencieuse, il encourage la minorité active à être encore plus active et à faire d'autant mieux son travail de production des contenus. Le like est le contremaître de l'usine à contenus du web 2.0, s'assurant que tout le monde fait bien son travail et produit les contenus les plus «likables» et donc rémunérateurs pour l'ensemble de la chaîne de production. Vu sous cette perspective, le lurker est une forme de héros moderne, un briseur de machines, qui rompt la belle mais cynique mécanique des réseaux sociaux."
Aurialie Jublin

Dialogue social et protection sociale dans l'économie des plateformes : enjeu... - 0 views

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    "France Stratégie, Sharers & Workers (réseau sur les transformations du travail liées au numérique et à l'économie des plateformes co-animé par l'Ires et l'Association travail emploi Europe société, ASTREES) et l'Inspection générale des affaires sociales (IGAS) ont lancé en décembre 2016 une réflexion participative, menée avec des représentants des plateformes digitales, des syndicalistes et des experts, autour des propositions du rapport de Nicolas Amar et Louis-Charles Viossat de l'IGAS sur « Les plateformes, l'emploi et la protection sociale » publié en mai 2016."
Aurialie Jublin

Revenu de base ou salaire à vie ? - Réseau français pour le revenu de base - 1 views

  • Je pense qu’au-delà du nom de chaque proposition s’ouvrent des perspectives radicalement différentes, « radical » étant pris ici dans le sens de profond. En effet, le salaire à vie décrit par le réseau salariat, est pour moi un aménagement de la société de production au profit de l’une de ses composantes : les salariés. Il est une réaction à la prise de pouvoir excessive, sur ce point nous sommes d’accord, d’une autre partie prenante de la société de production : les actionnaires.
  • Loin de tirer la couverture, à droite ou à gauche, du lit de la société de production où nous nous sommes endormis à moitié, le revenu de base, lui, nous en sort… du lit ! Il nous appelle à nous réveiller et nous entraîne pas à pas vers une nouvelle société, celle de l’émancipation. Je pense, mais je peux me tromper, qu’il y aura autant de différences entre la social-démocratie, la civilisation actuelle, et l’ancien régime qu’il y aura de différences entre la social-démocratie et la société de l’émancipation.
  • Ils ont bien compris que l’évolution de la vie va vers l’individualisation des consciences, vers leur émancipation et que cette autonomie ne se gagnera pas contre les autres parties prenantes de notre société mais avec elles.
  • ...2 more annotations...
  • C’est quand même hallucinant qu’au XXIème siècle, on ne puisse comparer les humains entre eux que comme exerçant, même potentiellement, une activité de production dans le but de vendre cette production contre de la monnaie sur un marché ! À cette réduction de l’humain, à sa qualité de travailleur à vie, pire de salarié à vie, le revenu de base oppose une vision émancipatrice. Le revenu de base n’est pas versé parce que nous avons des capacités à produire mais simplement parce que nous existons.
  • Le sujet du revenu de base est de créer un nouveau type de revenu pour tous les humains indépendamment de leur participation à une activité marchande. Un revenu d’existence qui donne le droit de choisir une activité grâce à ce revenu, et non pour en avoir un. Le sujet du revenu d’existence, qui un jour sera un revenu d’autonomie, c’est le pouvoir de chaque citoyen de dire « oui » ou « non » à une activité marchande. Son sujet, c’est le « JE » au cœur du « NOUS ». Nous pensons que l’on peut tout à fait vivre et se développer en relocalisant sa production voire en la démonétisant pour en user directement ou l’échanger gracieusement.
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    "Revenu de base ou salaire à vie ? Les désaccords entre les défenseurs des deux projets ne sont pas que d'ordre sémantique. En effet, c'est deux visions de la société qui s'affrontent. Frédéric Bosqué revient dans cette tribune sur ce qui sépare le revenu de base du salaire à vie de Bernard Friot, mais aussi sur ce qui rassemble les militants de chacune des propositions."
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