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Google a abandonné l'idée de promouvoir ses employés via un algorithme - 0 views

  • People Analytics avait tenté d'automatiser en partie ce processus, en élaborant un algorithme (ci-contre) qui se reposait sur les grilles d'évaluation et leur attribuait un coefficient. Il a alors découvert qu'il pouvait automatiser les promotions sur près d'un tiers des dossiers, et pensait que cette nouvelle réjouirait les ingénieurs qui sont habitués à manipuler chaque jour des algorithmes, quasi religieusement. Mais non. La proposition de People Analytics s'est heurtée à une résistance des cadres, qui ont refusé de traiter le sort des hommes et des femmes par une IA. Tout au plus ont-ils reconnu que l'algorithme pouvait les aider à identifier d'éventuels dossiers qu'ils n'auraient pas bien examiné.
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    Pour soutenir sa croissance, Google a également innové en interne, en adoptant une gestion très scientifique de la gestion de ses ressources humaines, basée sur des données et des algorithmes. Mais il lui aura fallu se confronter à la réalité pour finalement reconnaître que "les décisions sur les gens devraient être prises par des gens", et non par IA.
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How Sensors and Social Data Can Improve the Office | MIT Technology Review - 2 views

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    Résumé IA : Ben Waber, auteur de "People Analytics: How Social Sensing Technology Will Transform Business", revient pour la Technology Review sur comment augmenter la réalité sociale sur nos lieux de travail. Que se passe-t-il quand l'espace de travail, les murs qui séparent les gens, voir même la machine à café sont déterminés par les données ? Il revient sur un vieux projet du MIT, Augmented Cubicle - http://fab.cba.mit.edu/classes/MIT/863.09/people/ben/project4.html - qui avait pour objet d'influencer la dynamique sociale dans le lieu de travail via une installation favorisant les échanges distants. A l'heure où les interactions sociales deviennent plus faciles à mesurer, le prochain défi est de trouver comment utiliser ce que nous apprenons des données comportementales pour influence ou améliorer les échanges entre collègues au travail. Ben Waber, à la tête de Sociometrics Solutions - http://www.sociometricsolutions.com - une spinoff du Medialab du MIT dont nous avons souvent parlé, utilise des badges pour monitorer les employés de sociétés clientes. Ces données ont ainsi montré que ceux qui mangent dans des groupes plus nombreux, ont tendance à être plus productifs. Le ton de la voix, la fluctuation de son volume, sa rapidité peut prédire combien une personne sera persuasive dans ce qu'elle dit. Sachant cela, le travail de Sociometric solutions est désormais de regarder comment peut-on indiquer à quelqu'un de moduler sa voix pour être plus persuasif ? Comment peut-on organiser des réunions afin quelles permettent de mieux mêler les gens ? Faudra-t-il imaginer demain des machine à café robot itinérantes pour permettre aux groupes de mieux se rencontrer ? Faudra-t-il imaginer demain des robots lents comme SlothBots - http://www.arch-os.com/projects/slothbots/ - qui viendront subtilement refermer une conversation d'un groupe des autres travailleurs ? Est-il éthique d'utiliser des technologies d
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E-Mail: Not Dead, Evolving - Harvard Business Review - 1 views

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    Periodically you may hear digital hipsters claim that e-mail is dead. Don't believe them. People still spend half their workday dealing with it, they trust it, and overall they're satisfied with it, according to our 2012 survey of 2,600 workers in the U.S., UK, and South Africa who use e-mail every day. E-mail is not dead, it's just evolving. It's becoming a searchable archive, a manager's accountability source, a document courier. And for all the love social media get, e-mail is still workers' most effective collaboration tool. It's far from perfect: Three-quarters of all e-mail is junk, and we're wasting lots of time dealing with less important messages. But it remains the mule of the information age-stubborn and strong.  Résumé IA : Très intéressante infographie sur les usages de l'e-mail, notamment au travail. Nous envoyons en moyenne 11500 e-mail par an. 42% des e-mails qui nous arrivent (hors spam que nous ne voyons pas : nous n'en voyons que 8%) sont essentiels ou critique. Il demeure l'outil principal de nos modes de travail en collaboration. Et nous passons environ 111 jours de travail (50%) de notre temps avec eux : 22% de ce temps à chercher, archiver ou gérer, 15% à lire et 13% à en écrire. Il sert principalement à échanger des documents, envoyer des informations à des groupes…
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Need Help With Work? Startup RelateIQ Aims to Improve Work Relationships - WSJ.com - 1 views

  • Data scientists are beginning to peer into work relationships, trying to identify patterns that can improve how employees collaborate with peers, manage sales relationships, or see how they stack up against colleagues. It is a nascent market, but up-and-coming startups have their eyes set on upending established business-technology companies like Salesforce, which are also increasingly digging into data.
  • Elsewhere, Boston-based Sociometric Solutions Inc. uses physical sensors to collect data on employees' movements and the tone of their conversations to tell managers where interactions are dipping and where employees are congregating. In San Francisco, tenXer Inc., a program for computer engineers, tracks code modifications and hours spent in meetings to help them see how their productivity stacks up against colleagues. And Boston-based Yesware Inc. helps employees track emails, monitors how many times their emails are opened, what devices recipients are using, and provides analytic reports on the email traffic of colleagues.
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    Startups Like RelateIQ Are Aiming to Help Improve Employees' Work Life With Software Résumé IA : RelatelQ - https://www.relateiq.com - est un logiciel qui se propose de regarder votre vie numérique pour vous en faire ressortir ce qui semble important. L'algorithme de RelateIQ recueille constamment des signaux de données pour déterminer si les relations de travail avec des partenaires internes ou externes se refroidissent et si l'utilisateur doit prendre des mesures. Sociometric Solutions utilise une méthode proche pour améliorer les conversations. tenXer - https://www.tenxer.com - gère les modifications de code et les heures passées en réunion pour aider à mieux maîtriser sa productivité. Yesware - http://www.yesware.com - tente d'améliorer la productivité par e-mail. Chez RelateIQ, les programmeurs tentent de toujours mieux cerner les tendances, comme le temps moyen qu'il faut pour qu'une personne puisse répondre et quels types de ponctuation et de phrases provoquent généralement des réponses. Ils tentent également de détecter le sarcasme et les mots qui sont habituellement associées à des questions importantes. Ces données peuvent révéler, par exemple, si une relation stagne ou progresse. Reste que dans des environnements de communication très complexe, le défi de ces outils est également complexe. L'apprentissage machine peut provoquer des erreurs, des mauvaises interprétations, des recommandations qui semblent venir de nulle part. Promesse ou illusion ?
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Rage contre la machine | Classe éco | Francetv info - 0 views

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    Résumé IA : Pourquoi le niveau de vie baisse-t-il ? La faute à la crise ? Non, son origine lui est antérieure estime Alexandre Delaigue. La stagnation de la démocratisation scolaire alors que la technologie nécessite toujours une meilleure formation explique l'accroissement des écarts de rémunération. La diminution de la fiscalité des plus hauts revenus sans redistribution est l'autre explication. Mais surtout, la technologie est venu bouleverser le rapport au travail en permettant une surveillance inédite des individus, permettant de moins avoir à motiver les salariés. Pour Erik Brynjolfsson et Andrew McAfee, l'évolution des technologies joue aussi un rôle en rendant les compétences plus rapidement obsolètes, en concentrant les gains sur un petit nombre de personnes et en biaisant les gains au bénéfice des détenteurs du capital des entreprises. Demain, l'automatisation pourrait accroître ce phénomène en automatisant des tâches jusqu'à présent qualifiées et donc continuer à diminuer l'apport éducatif. "Si ces tendances se confirment, il sera bien difficile de compter sur l'éducation et la formation pour assurer le revenu du plus grand nombre. Il ne restera que la fiscalité, en particulier la fiscalité du capital, et un niveau de redistribution plus élevé qu'aujourd'hui, par exemple sous la forme d'une allocation universelle. En tout cas, il serait particulièrement hasardeux d'espérer que la sortie de crise viendra rétablir la situation pour les salariés", conclut Alexandre Delaigue.
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How Technology Is Destroying Jobs | MIT Technology Review - 1 views

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    Résumé IA C'est l'un des sales secrets de l'économie : les progrès technologiques font croître l'économie et créent de la richesse, mais il n'y a pas de loi économique qui dise que tout le monde en bénéficiera." En d'autres termes, dans la course contre les machines, certains vont gagner alors que d'autres vont perdre.
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affordance.info: Inverser la courbe du #DigitalLabor : pourquoi #Microsoft ra... - 0 views

  • Et d'autant que les données LinkedIn serviront, notamment, à améliorer les technos et applications "d'intelligence artificielle" (Deep Learning) de Microsoft. On peut donc aisément imaginer dans un futur proche des scénarios assez triviaux où le dialogue avec cette "IA" s'enrichira d'un nouvel horizon dialogique qui lui permettra de vous signaler différents événements professionnels et de vous faire toute une série de propositions de mutation, de nouveaux contacts, etc., mais également des scénarios plus "élaborés" dans lesquels ce même assistant intelligent piloté par une IA gèrera en temps-réel la totalité de votre "carrière"
  • Cerise sur la gâteau, en complément des avantages que confère de facto cette acquisition à Microsoft, elle est également le cheval de Troie idéal lui permettant d'établir un pont avec les politiques publiques (ou privées) de formation : la plupart des néo-inscrits sur LinkedIn le sont dès leurs études universitaires. Je vous laisse alors imaginer ce monde dans lequel, en plus des accords passés avec Cisco (et avec Microsoft) par le ministère de l'éducation nationale, le même Microsoft (et ses partenaires privés) auront alors la capacité de réguler les choix d'étude et de formation professionnelle de la plupart des futurs travailleurs.
  • La "valeur" de la base LinkedIn est liée à trois facteurs essentiels. D'abord sa volumétrie : il s'agit du site rassemblant le plus d'informations sur le plus grand nombre de travailleurs sur la planète (400 millions d'utilisateurs). Ensuite son positionnement : c'est le site leader sur le secteur de l'employabilité et de la mobilité professionnelle. Enfin sa dimension "relationnelle", au sens premier et informatique de ce que l'on appelle une "base de donnée relationnelle", c'est à dire la capacité d'offrir différents niveaux de navigation, de croisement et d'analyse parmi l'ensemble des données structurées présentes dans la base.
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    "A l'évidence, les algorithmes sont amenés à jouer très rapidement un rôle absolument crucial sur le marché du travail. A l'évidence il existe un certain nombre de problèmes (de formation, d'affectation, de suivi de carrière, de disponibilité) qu'un algorithme dans toute sa candeur statistique et sa robustesse mathématique est capable de traiter plus rapidement et plus efficacement que des opérateurs humains. Donc oui demain des algorithmes joueront le rôle de conseillers pôle-emploi. D'autant que ce rachat de LinkedIn par Microsoft va nécessairement et presque mécaniquement entraîner une réaction des autres GAFAM, notamment de Google."
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Tara - The on-demand team for small business - 0 views

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    "T.A.R.A. began life as an AI recruiter, built for Talent Acquisition and Recruiting Automation, by veteran recruiters and machine learning engineers. Tara has the ability to analyze 100+ data points on each candidate and recruit the most effective engineers for specific positions or coding tasks, by quantifying their skills. Tara's functionality has expanded, with the ability to assemble full-stack product teams, on-demand."
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Au Drive de Noyon, la journée commence par des étirements - Le Courrier picard - 0 views

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    Nuque, poignets, dos. Les 23 salariés de ce service d'Auchan se chauffent avant l'embauche. Pour la direction, ça paie. Moins certain selon un médecin. Explications.
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Être intérimaire en CDI, c'est possible! - nordeclair.fr - 0 views

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    Il est entré en vigueur au mois de mars. Dans la région, les premiers contrats viennent d'être signés. De quoi s'agit-il exactement ? L'employeur garantit, entre deux missions, une rémunération au minimum égale au Smic pour les employés et ouvriers, au Smic +15 % pour les techniciens et au Smic +25 % pour les cadres. Y compris durant le délai de carence qui doit séparer deux missions sur le même poste. Concrètement, pendant les périodes où le CDI intérimaire ne travaille pas, l'agence d'intérim le paie quand même. En contrepartie, excepté durant les cinq semaines de congés payés, les intérimaires devront rester disponibles pour une mission ou une formation. Ils ne pourront refuser que si celle-ci ne répond pas aux critères de mobilité, de compétences et de rémunération définis dans son contrat.
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Derrière les promesses de l'intelligence artificielle, le cauchemar du "digit... - 0 views

  • « Ce ne sont pas les machines qui font le travail des hommes, mais les hommes qui sont poussés à réaliser un digital labor pour les machines en les accompagnant, en les invitant, en les entraînant », résume le chercheur. Les intelligences artificielles doivent toujours être paramétrées, entraînées et encore très largement supervisées par des humains, malgré les progrès des méthodes d’apprentissage non supervisés. Les progrès fulgurants des IA ces dernières années sont surtout dus à l’explosion des quantités de données d’entraînement : or celles-ci doivent être triées, annotées, préparées par des humains. Et enfin, ces programmes doivent être évalués et corrigés pour pouvoir s’améliorer. Ainsi, les utilisateurs vont utiliser pendant plusieurs années une version beta du service Gmail de Google, pour l’améliorer, ou tagger leurs amis sur des photos et contribuer ainsi sans nécessairement en avoir conscience à l’affinement du service de reconnaissance faciale de Facebook : « C’est un travail humble et discret, qui fait de nous, contemporains, à la fois les dresseurs, les manouvriers et les agents d’entretien de ces équipements. » La question que pose l’intelligence artificielle et l’automatisation, ce n’est donc pas celle de la menace sur l’emploi – mais celle de la transformation profonde du travail pour répondre aux besoins de la machine.
  • Cet imaginaire largement libertarien irrigue profondément la culture du web depuis ses débuts et s’incarne, par exemple, dans la figure du hacker ou de l’entrepreneur nomade, du passionné qui s’accomplit dans un « projet professionnel qui est aussi existentiel ». Mais Antonio Casilli note combien cette vision est élitiste et ne prend pas en compte l’asymétrie des forces dans un marché du travail en berne où le chômage est élevé et l’ascenseur social en panne,
  • En l’absence de régulation, le digital labor préfigure le pire du travail : un monde de travailleurs isolés, privés de droits sociaux et iolés les uns des autres, livrés aux conditions léonines des employeurs — et accomplissant des tâches standardisées, fragmentées, peu qualifiées et dépourvues de sens global. Ici et là, des tentatives de régulation ou de création de plateformes équitables sont en cours. Il est urgent de les soutenir, si l’on ne veut pas que le développement croissant de l’automatisation ne soit synonyme non d’une disparition du travail, mais de sa dégradation irrémédiable.
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    "Un spectre hante l'intelligence artificielle, c'est le digital labor. Le dernier livre du sociologue Antonio Casilli , spécialiste des réseaux sociaux et des mutations du travail à l'ère numérique, dresse un panorama sombre des nouvelles formes de travail déconsidéré ou invisible apparues avec l'essor des plateformes et de l'automatisation."
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Et si l'on se débarrassait une fois pour toutes de l'emploi ? - 0 views

  • Le travail comme contrôle social Une première solution serait de continuer à travailler, même si cela ne sert plus à rien, ne serait-que pour préserver un certain ordre social, comme l'imaginent Léo Henry et Jacques Mucchielli dans leur nouvelle Demain l’usine
  • Le travail comme expression de soi Il serait évidemment préférable de se remettre en quête du sens de ce que l’on nomme encore aujourd’hui « travail ». On ne peut cependant pas s’en tirer par des expressions toutes faites telles que « créativité » ou « empathie », puisqu’on fait aujourd’hui toutes sortes d’efforts pour doter les robots et les IA de ce type de capacités.
  • Le travail comme oeuvre collective Mais on ne travaille pas tout seul, ni pour soi. Le travail est par essence une activité sociale, tant dans son déroulement que dans son résultat. Beaucoup d’utopies des XIXe et XXe siècle s’organisaient autour d’une manière de travailler ensemble
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  • Le travail comme assurance-futur Oeuvrer, d’accord, mais à quoi ? Dans son article « The Option Value of the Human », situé à la lisière de la recherche et de la spéculation, l’informaticien et penseur de l’économie Steve Randy Waldmann suggère qu'à l'heure de la robotisation, la fonction du travail pourrait consister, d’une part, à garder en vie les savoir-faire et même les systèmes productifs du passé et d’autre part, à inventer le plus grand nombre de choses possibles, indépendamment de leur utilité immédiate.
  • ... Ou plus de travail du tout ? À moins… que nous apprenions à accepter l’oisiveté au nom de la contemplation, de l’amélioration de soi et de la philosophie, comme nous y invitent certaines des fictions les plus anciennes sur la robotisation du travail humain - le travail résiduel devenant une forme de “service social”, d’impôt temporel, comme dans la pièce « R.U.R, les Robots Universels de Rossum », de Karel Capek
  • Au fond, la disparition éventuelle du travail n’est peut-être un problème que dans un monde où la majorité des activités humaines s’inscrit dans un contexte marchand, justifiant dès lors un calcul coût-avantage qui tournera souvent à l’avantage de la machine. Tout en cherchant à inventer les métiers de demain, on pourrait aussi chercher aussi à imaginer la disparition de l’idée de métier, pour s’intéresser à l’infinie variété des « activités », des manières d’être utile à soi et aux autres.
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    "Les deux premiers épisodes de la série d'articles « Boulofictions » se penchaient respectivement sur la façon dont la fiction nous aide à penser les futurs du travail et sur l'origine et les intentions des robots. Dans ce troisième épisode, Daniel Kaplan, à l'initiative du projet Work+, explore le scénario suivant : à supposer que les robots se substituent effectivement aux humains dans la plupart des emplois actuels et que la création de nouveaux emplois (notamment de servants, de réparateurs ou de coaches des machines) ne vient pas compenser la destruction des anciens, que pourrions-nous bien faire de nos vies ?"
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Startup Expensify's "smart" scanning technology used humans hired on Amazon Mechanical ... - 0 views

  • The line between automation and humans blurs more often than Silicon Valley might like to admit. Facebook hired thousands of people this year to moderate content on its social network, after algorithms repeatedly failed to do the job. Uber depends on more than 2 million drivers worldwide to provide rides every day, as well as employees at headquarters to make sure enough of those drivers are on the road. Behind much of Google’s digitization of books and maps is random people on the internet, conscripted using reCaptcha. Expensify is just another example.
  • The receipts on Mechanical Turk belonged to “less than 0.00004% of users—none of whom are paying customers,” Barrett said, adding that, at any rate, there is nothing important on a receipt, “that’s why receipts are so commonly thrown out—because they are literally garbage.” Also: “anybody concerned by the real-world risks of a vetted, tested transcriptionist reading their Uber receipt should probably consider the vastly more immediate and life-threatening consequences of getting into that stranger’s car in the first place.”
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