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Solde sac longchamp pas cher Parmi - 0 views

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started by urroyansh urroyansh on 26 Apr 14
  • urroyansh urroyansh
     
    Enfin, le premier président de la Cour de cassation entretient, quant à lui, des relations difficiles avec le gouvernement.Pourtant, les magistrats engagent là un mauvais procès. Que ce soit le juge Burgaud ou le procureur Lesigne, tous les deux connaissaient les conditions de leur audition par les parlementaires, et les ont acceptées. Ni l'un ni l'autre, tout en l'évoquant, ne se sont retranchés derrière leur obligation de réserve le respect du secret de l'instruction et des délibérations pour refuser de répondre à la commission.La présence de la télévision a-t-elle perturbé la bonne conduite des travaux ? A aucun moment, on a senti, chez les députés comme chez ceux qu'ils interrogeaient, la tentation de se mettre en scène. Personne n'a donné l'impression de tricher ou de se dérober. Les acquittés ont confié leurs blessures, sans haine ni esprit de vengeance. Sac Longchamp pliage pas cher
    Les avocats n'ont pas abusé des effets de manches. Fabrice Burgaud est apparu tel qu'il était à l'époque des faits, un juge inexpérimenté, un petit juge, comme on dit couramment. Chacun s'est expliqué.En face, les députés sont accusés par certains de vouloir refaire le procès, d'instruire à charge contre les juges. Réquisitoire caricatural. Pour fermes qu'elles soient parfois, les questions des parlementaires n'ont pour but que de disséquer les raisons d'une catastrophe judiciaire. Comment faire autrement si l'on veut éviter qu'Outreau ne se répète ? Comment ignorer qu'aux yeux de beaucoup de justiciables des interrogations dérangeantes se posent désormais. Solde sac longchamp pas cher Parmi lesquelles celle-ci, terrible : combien d'autres juges Burgaud sont actuellement en fonction en France ?Les magistrats ne sont pas seuls en droit d'éprouver un malaise aujourd'hui. Tous les Français le sont. Il revient donc à leurs élus de trouver les bons remèdes. L'autorité judiciaire procède de la loi. La guerre, disait Clemenceau, est une chose trop grave pour la confier à des militaires. Les magistrats doivent admettre qu'ils ne peuvent être les seuls à s'occuper de la bonne justice. Les Assemblées, surtout nationales, sont des théâtres, et, parfois, des guignols. Longchamp pliage soldes
    Chacun y joue sa comédie, selon le rôle que ses électeurs lui ont attribué. Car tout homme politique est prisonnier, s'il ne veut pas décevoir et se perdre, non seulement des opinions qu'il a manifestées, et qui l'ont fait élire, ce qui est cohérent et honnête, mais aussi de celles, parfois changeantes, des citoyens versatiles à qui il a fait serment d'allégeance, et qu'il doit représenter le plus loyalement possible. Les démagogues de tout poil, dont l'antiparlementarisme est le fond de commerce, y puisent quelques arguments supplémentaires pour dénoncer les jeux de cirque de la représentation nationale, ce qui a toujours été l'exercice favori des Français, qu'ils soient de droite ou de gauche. On ne rencontre, pourtant, parmi les députés, pas plus d'escrocs, d'imbéciles ou de méchants que parmi les avocats, les médecins ou les journalistes. Et on peut même, à bon droit, estimer que le bien public, toutes tendances confondues, les préoccupe plus que ne s'en préoccupe le commun des mortels. Il n'est pas sûr qu'il soit bon, dans un climat de passion toujours artificiellement exacerbée par les médias , de tout étaler ainsi au grand jour et d'offrir au public, plus sceptique et amusé que convaincu, ces joutes oratoires qui relèvent plus du chahut d'écoliers que de l'affrontement shakespearien. Le représentant du peuple, enivré souvent d'éloquence, en fait d'ailleurs souvent trop par peur de ne pas en faire assez.

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