En Asie, Singapour reste en tête tant sur le plan de la qualité de vie que sur celui de la sécurité personnelle.Au Moyen-Orient, Bagdad arrive en dernière position du classement mondial qui inclut 230 villes, précédé en termes de sécurité par Damas, "toutes deux étant le siège de violences permanentes et d'attaques terroristes qui pèsent sur la vie quotidienne des habitants et des expatriés".Le classement Mercer, dont l'essentiel des données a été collecté en septembre et novembre 2015, est vendu à des sociétés internationales pour les aider à rémunérer équitablement leurs salariés expatriés.Neuf syndicats, dont la CFDT, la CGT et l'Unsa, ont demandé mardi le "retrait" de la barémisation des indemnités prud'homales pour licenciement abusif, prévu dans le projet de loi El Khomri, selon un communiqué.Le texte est signé par les syndicats CFDT, CFE-CGC, CGT, FSU, Solidaires-Sud, Unsa, Unef, UNL et Fidl (lycéens). FO, présent à la réunion, n'a pas signé.Toutes les organisations, dont FO, ont décidé de se retrouver le 3 mars pour "approfondir" leurs analyses concernant la réforme du droit du travail. sac longchamp tour eiffel pas cher L'intersyndicale réunie mardi, une première depuis 2013, avait pour objectif de discuter de la loi El Khomri, un texte salué par le patronat et la droite mais décrié par les syndicat et la majorité, car jugé trop favorable aux entreprises.Il précise, entre autres, les conditions du licenciement économique, plafonne les indemnités prud'homales et prévoit la primauté des accords d'entreprise sur la branche en matière de temps de travail.Mardi, ces organisations "ensemble et à des degrés divers" ont constaté "que ce projet, élaboré sans réelle concertation, va profondément changer la législation du travail et comporte des risques pour les salarié-e-s et les jeunes qui aspirent à accéder à un emploi", lit-on dans le communiqué.Les organisations signataires, dont la réunion a duré environ trois heures au siège de la CGT, "ne sont pas satisfaites de ce projet et demandent le retrait de la barémisation des indemnités prud'homales dues en cas de licenciement abusif et des mesures qui accroissent le pouvoir unilatéral des employeurs".Parallèlement, elles "conviennent de travailler ensemble sur la construction de droits nouveaux, et sur les autres articles du projet, notamment sur les licenciements économiques, le forfait jours, l?organisation du travail et la santé au travail, l'apprentissage".L'ex-secrétaire général de l'Elysée Claude Guéant a été mis en examen mardi pour "complicité de favoritisme" dans l'affaire des sondages de la présidence de la République et des contrats juteux accordés aux conseillers de Nicolas Sarkozy sous son quinquennat.L'ancien bras droit de Nicolas Sarkozy a été entendu par un juge financier dans cette enquête ouverte pour favoritisme et détournement de fonds publics. sac a dos longchamp pas cher A l'issue de son audition, le juge a également placé Claude Guéant sous le statut plus favorable de témoin assisté pour "complicité de détournement de fonds publics", "une satisfaction" pour son avocat Philippe Bouchez El Ghozi.Sur les soupçons de favoritisme, le magistrat "a admis que le sujet était difficile en droit", a affirmé l'avocat, en évoquant un débat qui doit encore être tranché par la justice sur l'obligation de passer des appels d'offres à l'Elysée.Claude Guéant avait été condamné mi-novembre à deux ans de prison avec sursis et cinq ans d'interdiction de toute fonction publique à l'issue du procès sur les primes en liquide du ministère de l'Intérieur, alors qu'il dirigeait le cabinet de Nicolas Sarkozy (2002-2004). Il a fait appel. Il est aussi mis en examen pour faux et blanchiment de fraude fiscale dans l'affaire des soupçons de financement libyen de la campagne Sarkozy en 2007.Au coeur du dossier des sondages, les contrats passés sans appels d'offres à partir de 2007 avec les sociétés de Patrick Buisson (Publifact puis Publiopinion) et de Pierre Giacometti, tous deux mis en examen pour recel de favoritisme. Avec des soupçons supplémentaires d'avoir détourné des fonds publics pour le premier, ex-patron du journal d'extrême droite Minute qui s'était imposé comme l'un des conseillers les plus influents du président. sac a main longchamp pas cher L'ex-directrice de cabinet de la présidence Emmanuelle Mignon a également été mise en examen.La convention signée par Patrick Buisson avec l'Elysée prévoyait d'une part du conseil rémunéré 10.000 euros par mois et octroyait d'autre part à Publifact "l'exécution de sondages", à sa liberté d'appréciation et avec les instituts de son choix.Dans son rapport de 2009, qui allait conduire l'association Anticor à porter plainte, la Cour des comptes dénonçait le caractère "exorbitant" de la convention, l'Elysée n'ayant "ni la maîtrise ni le contrôle" des dépenses.- "Vois avec Claude" -Au final, les enquêteurs ont retrouvé trace de 235 sondages achetés par le cabinet de Patrick Buisson et revendus à la présidence entre 2007 et 2009, avec une marge d'environ 1,4 million d'euros, soit entre 65% et 70%. Le juge l'a mis en examen pour le détournement de ces fonds publics. Certains des sondages revendus avaient déjà été diffusés dans la presse.
L'intersyndicale réunie mardi, une première depuis 2013, avait pour objectif de discuter de la loi El Khomri, un texte salué par le patronat et la droite mais décrié par les syndicat et la majorité, car jugé trop favorable aux entreprises.Il précise, entre autres, les conditions du licenciement économique, plafonne les indemnités prud'homales et prévoit la primauté des accords d'entreprise sur la branche en matière de temps de travail.Mardi, ces organisations "ensemble et à des degrés divers" ont constaté "que ce projet, élaboré sans réelle concertation, va profondément changer la législation du travail et comporte des risques pour les salarié-e-s et les jeunes qui aspirent à accéder à un emploi", lit-on dans le communiqué.Les organisations signataires, dont la réunion a duré environ trois heures au siège de la CGT, "ne sont pas satisfaites de ce projet et demandent le retrait de la barémisation des indemnités prud'homales dues en cas de licenciement abusif et des mesures qui accroissent le pouvoir unilatéral des employeurs".Parallèlement, elles "conviennent de travailler ensemble sur la construction de droits nouveaux, et sur les autres articles du projet, notamment sur les licenciements économiques, le forfait jours, l?organisation du travail et la santé au travail, l'apprentissage".L'ex-secrétaire général de l'Elysée Claude Guéant a été mis en examen mardi pour "complicité de favoritisme" dans l'affaire des sondages de la présidence de la République et des contrats juteux accordés aux conseillers de Nicolas Sarkozy sous son quinquennat.L'ancien bras droit de Nicolas Sarkozy a été entendu par un juge financier dans cette enquête ouverte pour favoritisme et détournement de fonds publics. sac a dos longchamp pas cher A l'issue de son audition, le juge a également placé Claude Guéant sous le statut plus favorable de témoin assisté pour "complicité de détournement de fonds publics", "une satisfaction" pour son avocat Philippe Bouchez El Ghozi.Sur les soupçons de favoritisme, le magistrat "a admis que le sujet était difficile en droit", a affirmé l'avocat, en évoquant un débat qui doit encore être tranché par la justice sur l'obligation de passer des appels d'offres à l'Elysée.Claude Guéant avait été condamné mi-novembre à deux ans de prison avec sursis et cinq ans d'interdiction de toute fonction publique à l'issue du procès sur les primes en liquide du ministère de l'Intérieur, alors qu'il dirigeait le cabinet de Nicolas Sarkozy (2002-2004). Il a fait appel. Il est aussi mis en examen pour faux et blanchiment de fraude fiscale dans l'affaire des soupçons de financement libyen de la campagne Sarkozy en 2007.Au coeur du dossier des sondages, les contrats passés sans appels d'offres à partir de 2007 avec les sociétés de Patrick Buisson (Publifact puis Publiopinion) et de Pierre Giacometti, tous deux mis en examen pour recel de favoritisme. Avec des soupçons supplémentaires d'avoir détourné des fonds publics pour le premier, ex-patron du journal d'extrême droite Minute qui s'était imposé comme l'un des conseillers les plus influents du président. sac a main longchamp pas cher
L'ex-directrice de cabinet de la présidence Emmanuelle Mignon a également été mise en examen.La convention signée par Patrick Buisson avec l'Elysée prévoyait d'une part du conseil rémunéré 10.000 euros par mois et octroyait d'autre part à Publifact "l'exécution de sondages", à sa liberté d'appréciation et avec les instituts de son choix.Dans son rapport de 2009, qui allait conduire l'association Anticor à porter plainte, la Cour des comptes dénonçait le caractère "exorbitant" de la convention, l'Elysée n'ayant "ni la maîtrise ni le contrôle" des dépenses.- "Vois avec Claude" -Au final, les enquêteurs ont retrouvé trace de 235 sondages achetés par le cabinet de Patrick Buisson et revendus à la présidence entre 2007 et 2009, avec une marge d'environ 1,4 million d'euros, soit entre 65% et 70%. Le juge l'a mis en examen pour le détournement de ces fonds publics. Certains des sondages revendus avaient déjà été diffusés dans la presse.
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