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  #1 urroyansh urroyansh on 15 Jul 14

   

  De l'autre, des chiites se réclamant des forces de l'ordre torturent et tuent, sans merci, des sunnites, qu'ils arrêtent souvent en pleine nuit.«Nous vivons sous la dictature de l'ombre», se lamente Mahdi Hamadi, ans, un professeur de français de confession chiite. «Sous Saddam, on savait qu'il fallait se méfier des services de renseignements. Aujourd'hui, les chiites doivent se méfier de certains sunnites, et les sunnites de certains chiites», ditil. Le mois dernier, il a dû quitter précipitamment, avec sa mère, ses frères et leurs enfants, la maison familiale de mètres carrés située à Ghazaliya, un autre quartier mixte à majorité sunnite, à l'ouest du Tigre. Une enveloppe, déposée au petit matin devant la porte, ne leur a pas laissé le choix : «Vous avez trois jours pour partir. Sinon, vous êtes morts», disait la lettre, accompagnée d'une balle. polos lacoste pas cher
  polos lacoste pas cher«On a emporté le strict minimum : quelques valises, un réfrigérateur, la cuisinière. Par peur, on n'a même pas prévenu les voisins. Dans ce genre de circonstance, vous ne pensez qu'à une chose : sauver votre peau», ditil, encore sous le choc. Pour lui, quitter cette maison, c'est laisser derrière lui les rares derniers bons souvenirs du Bagdad prospère de sa jeunesse.En , quelque Irakiens ont quitté le pays«Cette maison, ditil, c'était la fierté de la famille. Je l'avais construite en après mon retour de France, où j'avais étudié», souffletil. À l'époque, les autorités de Bagdad offraient, dans le quartier de Ghazaliya, des terrains à prix modique aux jeunes diplômés. polos lacoste homme pas cher polos lacoste homme pas cher «On l'appelait «le quartier des qualifiés». Vous y croisiez des médecins, des professeurs, des étrangers. C'était un quartier très en vue, avec de grandes villas et de beaux jardins. Aujourd'hui, l'ambiance y est tellement tendue que personne n'ose s'y aventurer», regrettetil. Après avoir quitté à nouveau l'Irak, en après l'exécution, par les hommes de Saddam, d'un de ses frères, accusé d'être communiste, Mahdi Hamadi avait retrouvé la villa familiale, un an et demi, avec un brin d'espoir. «Aujourd'hui, souffletil, je regrette d'être revenu. La situation ne fait qu'empirer. polos lacoste femme pas cher
  polos lacoste femme pas cherJ'en suis malade». S'il en a les moyens, ditil, il choisira à nouveau l'exil. Sur la seule année , plus de Irakiens ont déjà quitté le pays.Tous les quartiers mixtes à majorité sunnite, situés dans la partie ouest de la capitale sont devenus des «zones interdites» pour les chiites. À l'inverse, les rares sunnites qui habitent Sadr City, le faubourg chiite, s'en vont aussi, sous la menace. À tel point que le Tigre, qui traverse Bagdad du nord au sud, est en train de faire office de ligne de démarcation entre quartiers sunnites et chiites, à l'image de la Ligne verte séparant, à Beyrouth, zone chrétienne et zone musulmanes pendant la guerre civile libanaise, dans les années .Partout, les exemples de discrimination pullulent.

   

  <div class="cArrow"> </div><div class="cContentInner">De l'autre, des chiites se réclamant des forces de l'ordre torturent et tuent, sans merci, des sunnites, qu'ils arrêtent souvent en pleine nuit.«Nous vivons sous la dictature de l'ombre», se lamente Mahdi Hamadi, ans, un professeur de français de confession chiite. «Sous Saddam, on savait qu'il fallait se méfier des services de renseignements. Aujourd'hui, les chiites doivent se méfier de certains sunnites, et les sunnites de certains chiites», ditil. Le mois dernier, il a dû quitter précipitamment, avec sa mère, ses frères et leurs enfants, la maison familiale de mètres carrés située à Ghazaliya, un autre quartier mixte à majorité sunnite, à l'ouest du Tigre. Une enveloppe, déposée au petit matin devant la porte, ne leur a pas laissé le choix : «Vous avez trois jours pour partir. Sinon, vous êtes morts», disait la lettre, accompagnée d'une balle. <a rel="nofollow" href="http://www.ericji.fr/polos-lacoste-homme-femme-pas-cher-soldes.html" title="polos lacoste pas cher">polos lacoste pas cher</a> <br /> polos lacoste pas cher«On a emporté le strict minimum : quelques valises, un réfrigérateur, la cuisinière. Par peur, on n'a même pas prévenu les voisins. Dans ce genre de circonstance, vous ne pensez qu'à une chose : sauver votre peau», ditil, encore sous le choc. Pour lui, quitter cette maison, c'est laisser derrière lui les rares derniers bons souvenirs du Bagdad prospère de sa jeunesse.En , quelque Irakiens ont quitté le pays«Cette maison, ditil, c'était la fierté de la famille. Je l'avais construite en après mon retour de France, où j'avais étudié», souffletil. À l'époque, les autorités de Bagdad offraient, dans le quartier de Ghazaliya, des terrains à prix modique aux jeunes diplômés. <a rel="nofollow" href="http://www.ericji.fr/polos-lacoste-homme-femme-pas-cher-soldes.html" title="polos lacoste homme pas cher">polos lacoste homme pas cher</a> polos lacoste homme pas cher «On l'appelait «le quartier des qualifiés». Vous y croisiez des médecins, des professeurs, des étrangers. C'était un quartier très en vue, avec de grandes villas et de beaux jardins. Aujourd'hui, l'ambiance y est tellement tendue que personne n'ose s'y aventurer», regrettetil. Après avoir quitté à nouveau l'Irak, en après l'exécution, par les hommes de Saddam, d'un de ses frères, accusé d'être communiste, Mahdi Hamadi avait retrouvé la villa familiale, un an et demi, avec un brin d'espoir. «Aujourd'hui, souffletil, je regrette d'être revenu. La situation ne fait qu'empirer. <a rel="nofollow" href="http://www.ericji.fr/polos-lacoste-homme-femme-pas-cher-soldes.html" title="polos lacoste femme pas cher">polos lacoste femme pas cher</a> <br /> polos lacoste femme pas cherJ'en suis malade». S'il en a les moyens, ditil, il choisira à nouveau l'exil. Sur la seule année , plus de Irakiens ont déjà quitté le pays.Tous les quartiers mixtes à majorité sunnite, situés dans la partie ouest de la capitale sont devenus des «zones interdites» pour les chiites. À l'inverse, les rares sunnites qui habitent Sadr City, le faubourg chiite, s'en vont aussi, sous la menace. À tel point que le Tigre, qui traverse Bagdad du nord au sud, est en train de faire office de ligne de démarcation entre quartiers sunnites et chiites, à l'image de la Ligne verte séparant, à Beyrouth, zone chrétienne et zone musulmanes pendant la guerre civile libanaise, dans les années .Partout, les exemples de discrimination pullulent.</div>

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