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  #1 raybann raybann on 12 May 14

   

  Avec quelle actualité cet appel peutil résonner aujourd'hui aux oreilles des nouvelles générations ? Comme un acte d'espérance, me sembletil, et aussi comme un défi à une inéluctable fatalité qui s'abattrait sur l'avenir d'un peuple. «Espérant contre toute espérance, il crut.» Cette formule de saint Paul, parlant d'Abraham, la décrit exactement. Si on observe notre société, ses raisons de vivre, ce qu'elle tient pour bien et pour mal, ce à quoi elle juge qu'il faut être fidèle, même au prix des plus grands sacrifices, on ne peut qu'être très inquiet pour son avenir en raison de sa fragilité spirituelle et morale. Cette inquiétude m'habite depuis longtemps. J'en ai fait part en son temps aux responsables majeurs de notre pays sans être sûr d'avoir été compris. En effet, un peuple n'a d'avenir qu'en raison de ses convictions fondamentales qui sont l'âme d'une société. Lacoste pas cher
  Lacoste pas cherEt quand cellesci s'affaiblissent ou disparaissent, les richesses de la culture, même la plus raffinée, sont menacées. L'évolution très rapide, toujours plus lisible dans les réactions de la jeunesse, permet de le vérifier. A titre d'exemple, je relève ici deux mutations dans les moeurs, liées entre elles, qui auraient éveillé la réflexion des sociologues et des anthropologues si elles s'étaient produites dans une société éloignée de la leur. M'abstenant ici, à leur propos, d'un jugement moral, je ne retiens que leur effet sur la structure sociale. La première mutation touche la relation de l'homme et de la femme, l'institution du mariage. Son écroulement soudain dans les jeunes générations est l'un des signes d'un bouleversement profond aux conséquences lointaines. Plutôt qu'un accroissement de la liberté des individus, il révèle un rapide affaissement des raisons de vivre. Polo Lacoste pas cher Polo Lacoste pas cher La seconde mutation concerne la relation entre les générations, entre les parents et les enfants, dont la cassure est aujourd'hui évidente. Les conséquences sociales avec leurs répercussions politiques en sont immédiates : la baisse de la natalité qui n'assure pas le renouvellement des générations et la prévisible nécessité des mouvements de l'immigration, la paralysie des institutions scolaires et de formation, etc. Dans cette conjoncture, le souvenir du juin provoque au courage ceux qui ne veulent pas se résigner à ce qui semble une fatalité sans remède.Il faut donc viser audelà des conséquences prévisibles des mutations en cours et ordonner nos projets en fonction d'un horizon plus lointain. Il faut dépasser par la foi et l'espérance le conformisme, le désenchantement, l'amertume devant le sentiment commun ; il faut agir sans se contenter des ressources aujourd'hui disponibles elles sont très faibles et parfois inexistantes , mais rechercher et trouver les ressources profondes toujours disponibles. Le chrétien découvrira alors de façon neuve la provocation paradoxale de sa foi ; les Béatitudes nous en donnent l'expression la plus ramassée. A leur lumière, au milieu du conditionnement d'une civilisation de l'image et de l'instant, des libertés réapparaissent, qui déjà changent la perspective. Lacoste Soldes
  Lacoste Soldes«La vérité vous rendra libres», dit l'Evangile. Il faut donc à notre temps, non pas des résistants mais des «espérants». Car, en ce combat, il n'y a plus de front, ni même de camp ennemi. Le front, et l'ennemi, est intérieur au cours nouveau de notre civilisation. La force de la foi et la grâce de l'amour peuvent vaincre le désespoir inavoué, le fatalisme, la résignation, et ouvrir des chemins que personne n'osait imaginer. L'impasse dans laquelle se trouve actuellement la construction européenne est un autre exemple. Elle met en lumière des fautes techniques, des erreurs.

   

  <div class="cArrow"> </div><div class="cContentInner">Avec quelle actualité cet appel peutil résonner aujourd'hui aux oreilles des nouvelles générations ? Comme un acte d'espérance, me sembletil, et aussi comme un défi à une inéluctable fatalité qui s'abattrait sur l'avenir d'un peuple. «Espérant contre toute espérance, il crut.» Cette formule de saint Paul, parlant d'Abraham, la décrit exactement. Si on observe notre société, ses raisons de vivre, ce qu'elle tient pour bien et pour mal, ce à quoi elle juge qu'il faut être fidèle, même au prix des plus grands sacrifices, on ne peut qu'être très inquiet pour son avenir en raison de sa fragilité spirituelle et morale. Cette inquiétude m'habite depuis longtemps. J'en ai fait part en son temps aux responsables majeurs de notre pays sans être sûr d'avoir été compris. En effet, un peuple n'a d'avenir qu'en raison de ses convictions fondamentales qui sont l'âme d'une société. <a title="Lacoste pas cher" rel="nofollow" href="http://www.carnetdenotes.fr/lacoste-pas-cher/">Lacoste pas cher</a> <br /> Lacoste pas cherEt quand cellesci s'affaiblissent ou disparaissent, les richesses de la culture, même la plus raffinée, sont menacées. L'évolution très rapide, toujours plus lisible dans les réactions de la jeunesse, permet de le vérifier. A titre d'exemple, je relève ici deux mutations dans les moeurs, liées entre elles, qui auraient éveillé la réflexion des sociologues et des anthropologues si elles s'étaient produites dans une société éloignée de la leur. M'abstenant ici, à leur propos, d'un jugement moral, je ne retiens que leur effet sur la structure sociale. La première mutation touche la relation de l'homme et de la femme, l'institution du mariage. Son écroulement soudain dans les jeunes générations est l'un des signes d'un bouleversement profond aux conséquences lointaines. Plutôt qu'un accroissement de la liberté des individus, il révèle un rapide affaissement des raisons de vivre. <a title="Polo Lacoste pas cher" rel="nofollow" href="http://www.carnetdenotes.fr/lacoste-pas-cher/">Polo Lacoste pas cher</a> Polo Lacoste pas cher La seconde mutation concerne la relation entre les générations, entre les parents et les enfants, dont la cassure est aujourd'hui évidente. Les conséquences sociales avec leurs répercussions politiques en sont immédiates : la baisse de la natalité qui n'assure pas le renouvellement des générations et la prévisible nécessité des mouvements de l'immigration, la paralysie des institutions scolaires et de formation, etc. Dans cette conjoncture, le souvenir du juin provoque au courage ceux qui ne veulent pas se résigner à ce qui semble une fatalité sans remède.Il faut donc viser audelà des conséquences prévisibles des mutations en cours et ordonner nos projets en fonction d'un horizon plus lointain. Il faut dépasser par la foi et l'espérance le conformisme, le désenchantement, l'amertume devant le sentiment commun ; il faut agir sans se contenter des ressources aujourd'hui disponibles elles sont très faibles et parfois inexistantes , mais rechercher et trouver les ressources profondes toujours disponibles. Le chrétien découvrira alors de façon neuve la provocation paradoxale de sa foi ; les Béatitudes nous en donnent l'expression la plus ramassée. A leur lumière, au milieu du conditionnement d'une civilisation de l'image et de l'instant, des libertés réapparaissent, qui déjà changent la perspective. <a title="Lacoste Soldes" rel="nofollow" href="http://www.carnetdenotes.fr/lacoste-pas-cher/">Lacoste Soldes</a> <br /> Lacoste Soldes«La vérité vous rendra libres», dit l'Evangile. Il faut donc à notre temps, non pas des résistants mais des «espérants». Car, en ce combat, il n'y a plus de front, ni même de camp ennemi. Le front, et l'ennemi, est intérieur au cours nouveau de notre civilisation. La force de la foi et la grâce de l'amour peuvent vaincre le désespoir inavoué, le fatalisme, la résignation, et ouvrir des chemins que personne n'osait imaginer. L'impasse dans laquelle se trouve actuellement la construction européenne est un autre exemple. Elle met en lumière des fautes techniques, des erreurs.</div>

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