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mage aidant, M. chemise ralph lauren pas cher - 0 views

started by raybann raybann on 28 Nov 13
  • raybann raybann
     
    chemise ralph lauren pas cherPlacer des caméras dans les cabinets des juges est une concession de plus à la logique du toutrépressif d'un candidat à l'élysée qui ne se prive pas, en tant que ministre de l'Intérieur, de prendre à partie publiquement un juge des enfants. Celui qui n'aime guère la ? justice sociale ? ne go?te pas davantage l'indépendance des juges. Si les mesures annoncées sont indicatives de la direction suivie par le gouvernement, elles s'inscrivent à la fois dans le jeu médiatique et politicien avec les thèmes de la sécurité et de la peur, de l'émotion cause d'erreur judiciaire, et dans une logique d'insécurité sociale généralisée. Quelle justice après ? Outreau ? ? La question ne sera pas posée. commentaire La discussion est fermée?: vous ne pouvez pas poster de nouveaux commentaires.?。SocialEco le Septembre éditorial par Claude Cabanes Le candidat de la guerre civile ? On aurait pu croire, hier matin, que plusieurs membres du gouvernement étaient sous le coup des effets de quelque substance euphorisante. Les statistiques officielles du ch?mage aidant, M. chemise ralph lauren pas cher

    chemise ralph lauren Borloo, le ministre de l'Emploi, apercevait, tracé à la craie par ses soins, ? le cercle vertueux ?. Ce qui revient à accorder à la vertu un bien petit périmètre : car si l'on est heureux pour celui qui trouve un emploi après avoir tant désespéré, le phénomène de la baisse du ch?mage est tout de même bien relatif. Les départs à la retraite plus nombreux que prévus ( travailleurs ont anticipé le mouvement en ), le nettoyage au lanceflammes des listes de sansemploi ( radiations administratives en juinjuillet et plus de absences au contr?le sanctionnés), et surtout l'océan de la précarité du travail, et donc des petits boulots (depuis an, % des emplois créés sont des CDD !) ramènent la réalité de la situation de l'emploi à des proportions toujours cruelles et massivement négatives. Le gouvernement aurait bien tort de s'autodécerner des médailles en chocolat. Et depuis quelques jours l'équipe de Matignon n'économisait pas le miel des mots, affectant d'avoir été saisie d'une sorte de pulsion ? sociale ? nouvelle qui lui faisait répandre l'encens de la générosité sur les têtes du peuple. Hier à Troyes, le premier ministre luimême, conscient du ? malaise d'une partie de nos compatriotes ? (qu'en termes galants ces choseslà sont dites.), promettait ? une place claire et juste au dialogue social ? pour en faire ? une marque de fabrique du gouvernement ? ! Diable ! S'agissaitil d'une sorte d'autocritique après la cuisante débacle du printemps face à la rue en révolte contre le CPE ? Ou, peutêtre, la proximité croissante des grands rendezvous électoraux et la crainte de leurs verdicts distillaitelle son poison dans les entrailles du pouvoir ? Quoique, en y regardant de près, Dominique de Villepin annon?ait l'affectation du surplus fiscal milliards d'euros, mazette. chemise ralph lauren chemise ralph lauren homme! au désendettement, et pas à la réduction de la fracture sociale. Et pourtant, le chef du gouvernement exaltait les beautés de la ? négociation sociale ?. Et puis, patatras, en début d'aprèsmidi, après un saut en hélicoptère de Troyes à JouyenJosas, Nicolas Sarkozy faisait son entrée à l'université d'été du MEDEF. Ovation sans fin. On était entre soi, au pesage des beaux quartiers, où les patrons adorent donner l'accolade à d'autres patrons. Laurence embrassait Nicolas, Auteuil saluait Neuilly, et le candidat tombait dans les bras de ces messieurs de Carrefour et d'Axa. Et donc, patatras, le ministre de l'Intérieur porté par les hourras, lachait en horsd'oeuvre deux ou trois missiles contre les heures, puis en venait à l'essentiel : une véritable déclaration de guerre contre le droit de grève et l'activité syndicale. chemise ralph lauren homme

    Tour à tour, il déclarait vouloir ? en finir avec la dictature de certaines minorités ? dans les entreprises, les administrations et les universités (suivez son regard.), il rayait de la carte la possibilité de la grève dans les lycées, et il prenait vivement pour cible les cinq grandes centrales syndicales et leur représentativité, qui ne sont protégées par la loi que parce que le patronat s'efforce sans cesse de les détruire ou de les ignorer. Le parterre du MEDEF était aux anges, comme dopé par ce paysage idéal de l'audelà : des lycées, des universités et des entreprises où il n'y aurait plus jamais ni syndicat ni grève ! Et si Nicolas Sarkozy était le candidat de la tension, de la confrontation, de la provocation, bref, le candidat de la guerre civile ? commentaire La discussion est fermée?: vous ne pouvez pas poster de nouveaux commentaires.SocialEco le Septembre éditorial par Michel Guilloux Rideau de fumée Quelle justice après ? Outreau ? ? Le garde des Sceaux lève un coin du voile de la réforme qui devrait demander quatre lois organiques et une loi constitutionnelle d'ici les élections de . Les deux mesures ? phares ? annoncées en début de ce processus d'ampleur augurent mal du résultat final. L'extension de la vidéosurveillance aux cabinets des juges d'instruction et la possibilité de sanction de ces derniers agissent tel un rideau de fumée sur les graves questions soulevées par l'erreur judiciaire collective tout comme la logique à l'oeuvre dans les réponses à venir. Passées l'émotion légitime puis la tentation de faire d'un jeune juge le bouc émissaire de tout un système en déshérence, une commission d'enquête parlementaire a travaillé.

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