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3Bien, autant que j'aie pu en juger par mes yeux polo lacoste pas cher - 0 views

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started by urroyansh urroyansh on 17 Aug 13
  • urroyansh urroyansh
     
    Bien, autant que j'aie pu en juger par mes yeux. Vous avez donc vu l'Empereur aussi? Il est entré chez le maréchal pendant que j'y étais. Et vous lui avez parlé? C'estàdire que c'est lui qui m'a parlé, monsieur, dit Dantès en souriant. Et que vous atil dit? Il m'a fait des questions sur le bâtiment, sur l'époque de son départ pour Marseille, sur la route qu'il avaitsuivie et sur la cargaison qu'il portait. Je crois que s'il eût été vide, et que j'en eusse été le maître, son intentioneût été de l'acheter; mais je lui ai dit que je n'étais que simple second, et que le bâtiment appartenait à lamaison Morrel et fils. «Ah! ah! atil dit, je la connais. Les Morrel sont armateurs de père en fils, et il y avaitun Morrel qui servait dans le même régiment que moi lorsque j'étais en garnison à Valence. Polo de lacoste
    » C'est pardieu vrai! s'écria l'armateur tout joyeux; c'était Policar Morrel, mon oncle, qui est devenu capitaine.Dantès, vous direz à mon oncle que l'Empereur s'est souvenu de lui, et vous le verrez pleurer, le vieuxgrognard. Allons, allons, continua l'armateur en frappant amicalement sur l'épaule du jeune homme, vous avezbien fait, Dantès, de suivre les instructions du capitaine Leclère et de vous arrêter à l'île d'Elbe, quoique, sil'on savait que vous avez remis un paquet au maréchal et causé avec l'Empereur, cela pourrait vouscompromettre. , En quoi voulezvous, monsieur, que cela me compromette? dit Dantès: je ne sais pas même ce que je portais,et l'Empereur ne m'a fait que les questions qu'il eût faites au premier venu. Mais, pardon, reprit Dantès, voicila santé et la douane qui nous arrivent; vous permettez, n'estce pas? Faites, faites, mon cher Dantès.»Le jeune homme s'éloigna, et, comme il s'éloignait, Danglars se rapprocha.«Eh bien, demandatil, il paraît qu'il vous a donné de bonnes raisons de son mouillage à PortoFerrajo? D'excellentes, mon cher monsieur Danglars. polo lacoste pas cher Ah! tant mieux, répondit celuici, car c'est toujours pénible de voir un camarade qui ne fait pas son devoir. Dantès a fait le sien, répondit l'armateur, et il n'y a rien à dire. C'était le capitaine Leclère qui lui avaitordonné cette relâche. À propos du capitaine Leclère, ne vous atil pas remis une lettre de lui? Qui? Dantès. À moi, non! En avaitil donc une? Je croyais qu'outre le paquet, le capitaine Leclère lui avait confié une lettre. De quel paquet voulezvous parler, Danglars? Mais de celui que Dantès a déposé en passant à PortoFerrajo? Comment savezvous qu'il avait un paquet à déposer à PortoFerrajo?»Danglars rougit.«Je passais devant la porte du capitaine qui était entrouverte, et je lui ai vu remettre ce paquet et cette lettre àDantès. polo lacoste
    Il ne m'en a point parlé, dit l'armateur; mais s'il a cette lettre, il me la remettra.»Danglars réfléchit un instant.«Alors, monsieur Morrel, je vous prie, ditil, ne parlez point de cela à Dantès; je me serai trompé.»En ce moment, le jeune homme revenait; Danglars s'éloigna.«Eh bien, mon cher Dantès, êtesvous libre? demanda l'armateur. Oui, monsieur. La chose n'a pas été longue.

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