concept économique qui s’inscrit dans le cadre du développement durable et dont l’objectif est de produire des biens et des services tout en limitant la consommation et le gaspillage des matières premières, de l’eau et des sources d’énergie
déployer, une nouvelle économie, circulaire, et non plus linéaire, fondée sur le principe de « refermer le cycle de vie » des produits, des services, des déchets, des matériaux, de l’eau et de l’énergie.
croisée des enjeux environnementaux et économiques.
optimisation de la ressource, soutenable et durable
tirer la substantifique moelle de tous nos produits de consommation pour allonger leur durée de vie sous différentes formes. Un système où les déchets des uns deviennent les matières premières des autres.
Aux Pays-Bas, avant même l'utilisation d'une matière première, on doit savoir, plusieurs décennies à l'avance, ce qu'il adviendra du produit qui sera fait avec.
matériaux durables et non-toxiques.
'économisent d'abord des frais de stockage
protègent des risques spéculatifs
on économiserait entre 350 et 700 milliards de dollars par an en Europe
en réduisant massivement l'importation des matières premières et les frais d'enfouissement ou d'incinération des déchets,
la France pourrait atteindre 50 milliards d'euros d'économies nettes
la pauvreté.
la santé ;
le logement ;
la pollution ;
la gestion des mers, des forêts et des montagnes ;
la désertification ;
la gestion des ressources en eau et de l’assainissement ;
la gestion de l’agriculture ;
la gestion des déchets ;
Le tee-shirt « idéal » de l’économie circulaire
Le tee-shirt « idéal » est, dans un premier temps, fabriqué avec du coton biologique issu du commerce équitable. Le vêtement usagé est ensuite récupéré pour servir à la fabrication d’une garniture de canapé, elle-même transformée en laine d’isolation pour le bâtiment. Stade ultime, les fibres de coton (qui n’ont subi aucun traitement chimique) peuvent retourner à la nature.
système technologique combine des capteurs placés sous la chaussée, des systèmes de reconnaissance des véhicules
ainsi qu’un pilotage dynamique des tarifs selon l’heure, le type de véhicule ou la congestion liée à la circulation automobile sur les axes routiers à proximité
combiner une connaissance historique
et des mesures temps réel
réseaux intelligents (smart grids
mieux adapter la production et la consommation d’énergie électrique.
compteurs intelligents
pilotage
centralisé
La ville intelligente c’est d’abord un nouveau marché
modèle intégré de la smart city
regrouper un grand nombre de données issues de systèmes hétérogènes au sein d’un seul et unique outil de pilotage
tout-en-un
nouveaux débouchés
entreprises de l’informatique
pas réservée aux seules mégapoles asiatiques
société IBM
la mobilité intelligente
la qualité environnementale
a gestion des risques
l’efficacité énergétique
Orange
un élément de différenciation territoriale à l’échelle européenne
The crystal : exposition sur les cités du futur par Siemens
The Crystal
le fait que chacune de ces entreprises maîtrise une partie de la solution technique mobilisée (les capteurs, les équipements et les réseaux de télécommunications, les bases de données, …) n’est pas non plus étranger à leur intérêt pour la ville éco-intelligente
limites
boîtes noires
le processus qui permet de transformer ces données en élément de décision – reste invisible aux yeux extérieurs.
’invisibilité (des technologies, des données, des algorithmes)
on met ces technologies en position de commande
Les systèmes intégrés sont par essence opaques
Peut-on imaginer un modèle de ville intelligente qui ne soit pas totalement intégré ?
pproche intégrée devient le modèle de référence pour le pilotage des villes, il est permis de s’interroger un peu plus longuement.
La question du partage de la donnée au coeur de l’Open Data
territoire rennais est en effet pionnier en France dans le domaine de l’ouverture des données publiques
L’ouverture des données publiques ne remet pas en cause l’importance des systèmes d’information dans l’action publique
il ne s’oppose pas à la smart city sur les conditions de la production des données.
Ce qui distingue les deux approches, c’est la question du partage des données
la tension entre l’approche intégrée de la smart city et la logique de partage des données de l’open data
Légende :
Jaune : ville durable
Rose : Données (data)
Bleu : aspect économique et limites de la ville intelligente
Vert : aspect plus technologique / définition de la ville intelligente