Les organisations salafi saoudiennes et qataries sont très actives sur le plan national et international
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Les Etats-Unis ainsi que les pays européens n’ont aucun problème à négocier avec la sorte d’islamisme promue par les salafi littéralistes que l’on trouve dans de nombreuses pétromonarchies : ces régimes peuvent bien s’opposer à la démocratie ainsi qu’au pluralisme, ils n’entravent néanmoins d’aucune manière les intérêts économiques et géostratégiques occidentaux dans la région, ou au niveau international. Ils comptent même sur le soutien de l’Occident pour survivre : cette dépendance utile est suffisante à l’Occident pour justifier une alliance objective - avec ou sans démocratie.
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Pourquoi, se demande-t-on, les pays occidentaux apportent-ils un soutien direct et indirect aux idéologies islamistes qui sont de toute évidence en désaccord avec les leurs ? Après près d’un siècle de présence active au Moyen Orient, et en particulier après la Première Guerre Mondiale, des administrations américaines successives, ainsi que leurs homologues européens, ont mieux compris comment elles peuvent gérer et tirer profit de la relation qu’elles entretiennent à la fois avec les pétromonarchies et avec l’idéologie salafi que ces dernières produisent et propagent
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Some also say that police are back to forcefully collecting bribes. For example, a Cairo-based food shop owner, who prefers to remain anonymous, describes their situation. “Before the revolution the police working at the station and undercover agents used to take bribes in the form of free breakfasts. When I refused they used to detain my employees on their way home, claiming it was for investigation purposes, as allowed under the emergency law. The detention can go on for up to several days. Right after the revolution they stopped asking for such bribes - but now such demands are back.”
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One of the main demands of the revolution was to lift the state of emergency, but such a demand, four months after the start of the revolution, has yet to be granted by the current interim government.
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they do not seem to be taking serious steps to change the policy orientation. For example; no one is working on cases of torture and police violations before 25 January, the violations which took place during the 18-day uprising are the only ones discussed, while the previous 30 years are ignored. Violations are also still ongoing
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