Group items tagged

"« Le premier qui bouge est gay » : ce jeu popularisé par les réseaux sociaux se répand dans les cours de récréation. Mais il ne fait pas rire les syndicats d'enseignants et les associations de lutte contre les discriminations."

"Les jeunes sont de plus en plus tôt confrontés à la sexualité. Cependant, peu sont ceux qui osent en discuter ouvertement et poser les questions qui les tourmentent… Dans "On SEXplique", on leur donne la parole pour qu'ils puissent poser les questions qu'ils ont sur la sexualité et aborder des sujets qui demeurent tabous. Dans une atmosphère décontractée, ludique et instructive, un groupe de 7 ados (15-19 ans), encadrés par Tim on the gram, tiktokeur et Marie, sexologue, partagent librement leurs expériences, ressentis et croyances. Ils tentent, ensemble, de répondre aux questions et aux interrogations des 12- 16 ans, tout en les guidant dans les méandres de la sexualité. Chaque épisode du podcast se concentre sur une thématique liée à la sexualité et commence par un jeu d'introduction " brise-glace " suivi de 4 à 5 questions posées par des plus jeunes. Le podcast prend la forme d'un mix entre une table ronde et une discussion " soirée pyjama " entre amis." 1. La vie amoureuse 2. La première fois 3. Le consentement 4. La pornographie 5. La puberté 6. Les IST 7. Les fantasmes 8. Orientation et genre 9. Les stéréotypes 10. La contraception

"François a affirmé lors d'un entretien à l'agence de presse Associated Press diffusé le 25 janvier que l'homosexualité n'était pas "un crime" mais "un péché". On retiendra surtout cette phrase très forte : "Être homosexuel n'est pas un délit. C'est une condition humaine " et "Dieu nous aime dans l'état où nous sommes"", rappelle auprès d'Aleteia le frère Jean-Miguel Garrigues, dominicain et expert du catéchisme de l'Église catholique. Entretien."

"L'annonce récente de la fermeture imminente de la Tavistock Gender Identity Development Service à Londres, accompagnant des personnes mineures souffrant de la dysphorie de genre - la souffrance des personnes dont l'identité de genre ne correspond pas au sexe qui leur a été assigné à la naissance - s'est fait dans une atmosphère hautement polémique. Cette fermeture met aussi en jeu des questions médicales, sociales et politiques faisant aujourd'hui débat notamment en France."