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jacobb123

L'abolition du Commissaire à la santé et au bien-être inquiète le SPGQ | Le D... - 1 views

  • Québec — L’abolition du poste de Commissaire à la santé et au bien-être est fortement dénoncée par le Syndicat des professionnels du gouvernement du Québec (SPGQ).
    • gabriellerosenz
       
      SA
  • Le président du SPGQ, Richard Perron, déplore que le gouvernement élimine ce poste important qui reflète, selon lui, «l’indépendance d’une expertise permettant une évaluation réellement objective du système de santé».
    • gabriellerosenz
       
      SP et position
  • M. Perron s’offusque notamment que le gouvernement ait posé ce geste à travers une mesure cachée dans le dernier budget. Il qualifie la décision «d’ignoble et de troublante», parce que le Commissaire à la santé et au bien-être apportait «un éclairage pertinent au débat public et à la prise de décision gouvernementale, dont celle d’évaluer la révision du mode de rémunération des médecins».
    • gabriellerosenz
       
      premier argument
  • ...7 more annotations...
  • Richard Perron note qu’en supprimant ce poste, le gouvernement abolit un organisme créé en 2008 à l’initiative même du ministre de la Santé de l’époque qui n’était nul autre que Philippe Couillard. Cette abolition se traduira par des relocalisations et des pertes d’emploi pour une quinzaine de professionnels, membres du SPGQ.
    • gabriellerosenz
       
      deuxième argument
  • Pour dénoncer cette décision et pour forcer le gouvernement à faire marche arrière, le SPGQ invite l’ensemble de la population à signer une pétition sur le site de l’Assemblée nationale. Elle sera en ligne jusqu’au 23 mai.     Édition abonné La version longue de certains articles (environ 1 article sur 5) est réservée aux abonnés du Devoir. Ils sont signalés par le symbole suivant :     Votre courriel Le courriel du destinataire Commentaires Entrez les lettres ci-dessous Envoyer Fermer
    • gabriellerosenz
       
      conclusion
  • L’abolition du poste de Commissaire à la santé et au bien-être est fortement dénoncée par le Syndicat des professionnels du gouvernement du Québec (SPGQ).
    • jacobb123
       
      Sujet amené
  • Le président du SPGQ, Richard Perron, déplore que le gouvernement élimine ce poste important qui reflète, selon lui, «l’indépendance d’une expertise permettant une évaluation réellement objective du système de santé».
    • jacobb123
       
      Sujet posé et thèse
  • M. Perron s’offusque notamment que le gouvernement ait posé ce geste à travers une mesure cachée dans le dernier budget. Il qualifie la décision «d’ignoble et de troublante», parce que le Commissaire à la santé et au bien-être apportait «un éclairage pertinent au débat public et à la prise de décision gouvernementale, dont celle d’évaluer la révision du mode de rémunération des médecins». Richard Perron note qu’en supprimant ce poste, le gouvernement abolit un organisme créé en 2008 à l’initiative même du ministre de la Santé de l’époque qui n’était nul autre que Philippe Couillard.
    • jacobb123
       
      1er paragraphe et premier argument
  • Cette abolition se traduira par des relocalisations et des pertes d’emploi pour une quinzaine de professionnels, membres du SPGQ.
    • jacobb123
       
      Argument 2
  • Pour dénoncer cette décision et pour forcer le gouvernement à faire marche arrière, le SPGQ invite l’ensemble de la population à signer une pétition sur le site de l’Assemblée nationale. Elle sera en ligne jusqu’au 23 mai.
    • jacobb123
       
      Conclusion avec une solution au problème
jacobb123

L'Ordre des infirmiers et infirmières étonné | Le Devoir - 1 views

  • L’Ordre des infirmières et infirmiers du Québec (OIIQ) a été «étonné» d’apprendre que certains de ses membres pourront prodiguer l’aide médicale à mourir.
    • jacobb123
       
      Sujet amené
  • Cette disposition a été incluse dans le projet de loi fédérale sans que le regroupement québécois ne soit consulté, a souligné vendredi la responsable du développement et du soutien professionnel, Suzanne Durand, en entrevue avec La Presse canadienne.
    • jacobb123
       
      Sujet amené
  • Dans le cadre des consultations ayant mené à l’adoption de la Loi concernant les soins de fin de vie du Québec, l’OIIQ avait plaidé que les infirmiers praticiens préféraient que ce geste soit posé par les médecins, à tout le moins dans un premier temps. « Concernant toute la question d’évaluer un patient qui est dans des situations complexes de soins [...] pour en arriver à une décision qui est loin d’être anodine, c’est-à-dire l’aide médicale à mourir, on préférait que ce soit un geste médical », a expliqué Mme Durand. « Compte tenu que c’était très nouveau aussi comme option thérapeutique, on voulait peut-être se donner un peu de temps pour mettre en place les choses de façon correcte avec les médecins. Dans un premier temps, je trouvais ça un peu prématuré », a-t-elle spécifié.
    • jacobb123
       
      Premier argument
  • ...2 more annotations...
  • La ministre fédérale de la Santé, Jane Philpott, a fait valoir jeudi que l’inclusion de ces professionnels de la santé permettrait aux citoyens de régions éloignées d’avoir accès à l’aide médicale à mourir, un droit dorénavant constitutionnel. « C’est vraiment important en particulier pour les communautés rurales et isolées qui n’ont pas accès à un médecin à proximité », a-t-elle dit en point de presse dans le foyer de la Chambre des communes. « Je crois profondément qu’un large éventail de professionnels de la santé a la formation et l’habileté requises pour prodiguer une foule de soins du début à la fin de la vie », a insisté Mme Philpott, qui est elle-même médecin. Du côté de la Fédération interprofessionnelle de la santé (FIQ) du Québec, on dit vouloir prendre le temps d’« analyser de manière plus approfondie » la mesure législative d’Ottawa avant de commenter cette disposition précise.
    • jacobb123
       
      Argument 2
  • Le gouvernement libéral a déposé jeudi son très attendu projet de loi sur l’aide médicale à mourir, une réponse législative à la décision rendue par la Cour suprême du Canada en février 2015.   La mesure législative, que le gouvernement espère faire adopter avant la date butoir du 6 juin, amende le Code criminel pour exempter certaines personnes, dont les médecins, pharmaciens et infirmiers praticiens, de l’infraction d’aider quelqu’un à se donner la mort.
    • jacobb123
       
      Conclusion
  •  
    "pourront prodiguer l'aide médicale à mourir."
akaplo28

L'entêtement bureauc... - 1 views

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    article #2
akaplo28

Effets centrifuges d... - 2 views

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    article #1
yoadvered123

Si j'étais Philippe Couillard | Le Devoir - 1 views

  • Je ne dormirais plus la nuit. Je regarderais sous mon lit avant de me coucher et je m’assurerais que tout est sous clef dans ma maison. Je parle de la maison politique surtout, parce que, dans ce monde étrange, on n’est jamais trop prudent.   Moi, j’ai toujours été comme ça. Si j’entends un loup autour de la bergerie, impossible de fermer l’oeil, car je suis incapable de faire confiance au loup dans ces circonstances. Et puis les loups, c’est connu, ils sont voraces. Il n’y a rien pour les arrêter quand ils ont choisi leur proie.   J’ai déjà lu quelque part que l’homme, souvent, est un loup pour l’homme. Dans ces cas-là, il est difficile à détecter, car il partage notre vie en société sans avoir l’air d’y toucher. C’est quand il frappe qu’on réalise que le loup vivait parmi nous, déguisé parfois en ami, profitant de notre naïveté jusqu’à ce que l’heure du règlement de compte ait sonné.   Suivez-moi et vous allez tout comprendre. À la place de Philippe Couillard, je serais hantée par le « retour » dans le domaine public d’un certain Jean Charest, tout souriant et égal à lui-même, même pas légèrement différent de celui que le Québec a mis à la porte il n’y a pas si longtemps et qui retrouve sans effort le ton d’un premier ministre pour affirmer que SON gouvernement était au-dessus de tout soupçon. Et tout ça sans rire. Ça ne vous donnerait pas le frisson, vous ?
    • yoadvered123
       
      UN LONG sujet amené (qui vise à capter l'attention du lecteur)
  • Prenons un peu de recul. Philippe Couillard, le beau parleur, tarde à faire reconnaître par la population qu’il est bien en selle et que, sur son cheval blanc, il nous conduira… où, en fait ?
    • yoadvered123
       
      Sujet posé
  • Tout le monde sait que ça dépend des jours ou des semaines et que la destination annoncée n’est pas toujours celle que nous allons atteindre. Changer d’idée aussi souvent que cet homme-là, ça finit par donner le tournis. Disons, pour rester polie, qu’il est difficile à suivre. Surtout quand il est évident qu’il ne sait pas où il va.
    • yoadvered123
       
      Prise de position (thèse)
  • ...10 more annotations...
  • À Québec, Philippe Couillard ayant été incapable de livrer la marchandise en deux ans de pouvoir, le Parti libéral étant en déroute, avec la commission Charbonneau et l’UPAC sur son dos sans répit, il était normal que le coeur du loup ne fasse qu’un tour.
    • yoadvered123
       
      Premier argument
  • Il allait montrer de quoi il était capable.
    • yoadvered123
       
      Développement du premier argument
  • Il est donc sorti de sa retraite discrète. Il a accepté de paraître en public et il n’a pas fui les questions des journalistes. Il n’allait certainement pas jouer le vilain de l’histoire, et pour ça, il allait foncer.
    • yoadvered123
       
      Étayage pour le premier argument (explication)
  • Jean Charest vient juste de se signaler. Il dit : je suis là, je suis disponible, et moi, je sais comment ça marche. Le loup veut du pouvoir. Il a commencé à faire sa cour.
    • yoadvered123
       
      Étayage pour le deuxième argument
  • La lamentable réussite de Philippe Couillard encouragerait probablement le Parti libéral à changer de chef le plus rapidement possible.
    • yoadvered123
       
      Développement du deuxième argument
  • Il se trouvera sûrement plein de vieux libéraux pour trouver que le retour du loup serait une bonne idée dans la tourmente qui secoue le parti en ce moment
    • yoadvered123
       
      Deuxième argument
  • Maintenant que je vous ai prévenus, je vais pouvoir dormir en paix la nuit. Nous aurions intérêt à savoir en tout temps où se trouve Jean Charest, qui il voit, mais surtout s’il se voit lui-même comme le sauveur du Parti libéral. Une chance que nous avons réussi à sauver l’UPAC.
    • yoadvered123
       
      CONCLUSION (reformulation)
  • À condition que ceux qui y travaillent ne s’encroûtent pas, nous avons une bonne chance un jour de connaître toute la vérité sur notre étrange démocratie.
    • yoadvered123
       
      Ouverture
  • Suivez-moi et vous allez tout comprendre. À la place de Philippe Couillard, je serais hantée par le « retour » dans le domaine public d’un certain Jean Charest, tout souriant et égal à lui-même, même pas légèrement différent de celui que le Québec a mis à la porte il n’y a pas si longtemps et qui retrouve sans effort le ton d’un premier ministre pour affirmer que SON gouvernement était au-dessus de tout soupçon. Et tout ça sans rire. Ça ne vous donnerait pas le frisson, vous ?
    • yoadvered123
       
      Sujet amené
  • Je ne dormirais plus la nuit. Je regarderais sous mon lit avant de me coucher et je m’assurerais que tout est sous clef dans ma maison. Je parle de la maison politique surtout, parce que, dans ce monde étrange, on n’est jamais trop prudent.   Moi, j’ai toujours été comme ça. Si j’entends un loup autour de la bergerie, impossible de fermer l’oeil, car je suis incapable de faire confiance au loup dans ces circonstances. Et puis les loups, c’est connu, ils sont voraces. Il n’y a rien pour les arrêter quand ils ont choisi leur proie.   J’ai déjà lu quelque part que l’homme, souvent, est un loup pour l’homme. Dans ces cas-là, il est difficile à détecter, car il partage notre vie en société sans avoir l’air d’y toucher. C’est quand il frappe qu’on réalise que le loup vivait parmi nous, déguisé parfois en ami, profitant de notre naïveté jusqu’à ce que l’heure du règlement de compte ait sonné.
    • yoadvered123
       
      Commentaire pour capter l'attention du lecteur
kevin2412

¡Viva Panama! | Le Devoir - 0 views

  • Bien sûr, il y a l’indignation. « Le tournis, le vertige et la nausée », comme titre Le Monde en éditorial, devant ce festival d’hypocrisie, d’argent caché, de milliards qui échappent à l’impôt et aux États.
    • kevin2412
       
      sujet amené
  • En même temps, est-on surpris ? Les noms qui sont sortis, tout au long de la semaine, n’étonnent pas vraiment : dictateurs, oligarques, fils à papa devenus présidents ou premiers ministres, gros industriels, super-vedettes du sport ou du spectacle.
    • kevin2412
       
      sujet amené
  • Des amis du Russe Vladimir Poutine ont placé 2 milliards de dollars par l’entremise d’un réseau offshore. Le beau-frère de Xi Jinping, président chinois, a fait de même, mais avec des sommes plus petites (quelques centaines de millions à peine). Les enfants du premier ministre du Pakistan ; un richissime cousin du dictateur syrien Bachar al-Assad ; des proches collaborateurs du dictateur rwandais Paul Kagame : ils ont tous fait affaire avec le cabinet panaméen Mossack Fonseca, spécialisé en « optimisation fiscale ».   Sans oublier le défunt père du premier ministre britannique David Cameron. Ce dernier était presque en larmes, jeudi, lorsqu’il a avoué devant des journalistes avoir trouvé son profit personnel dans les lucratifs placements du riche paternel. Et puis des proches de Marine Le Pen (celle qui vocifère contre le « mondialisme financier »), de l’Ukrainien Petro Porochenko, etc.   Surpris ? Nous comprenons tous, instinctivement, ce qu’est une société-écran… Quand, parlant d’argent, on prononce les noms « Panama », « îles Caïman », « îles Vierges »… on sait très bien de quoi on parle. On sait aussi, plus ou moins, comment ça marche et surtout à quoi ça sert : à dissimuler des revenus, à blanchir de l’argent et, dans certains cas, oui, à faire de l’optimisation fiscale « légitime ».
    • kevin2412
       
      position
  • ...6 more annotations...
  • Exagère-t-on en jetant à la vindicte publique un grand cinéaste (Pedro Almodóvar) qui fait rouler l’économie et la culture avec ses films, parce qu’il a voulu mettre quelques millions à l’abri de façon apparemment légale ? Le
    • kevin2412
       
      sujet posé
  • Ce contre-pouvoir émergent est certes sujet à caution. Mais, des LuxLeaks de novembre 2014 (sur l’« optimisation fiscale » au Luxembourg), jusqu’au Panama d’aujourd’hui, en passant par les SwissLeaks de février 2015, sur le blanchiment d’argent à la banque britannique HSBC… on voit que les choses commencent à changer en matière fiscale.   Le secret bancaire suisse, par exemple, n’est plus ce qu’il était. La Grande-Bretagne, l’Allemagne, la France, vont vérifier si les citoyens mis en cause ont évité de payer des impôts : à Paris, on parle de récupérer 12 milliards d’euros en impayés. Quant au petit Panama, il se prépare à recevoir toute une pression internationale…
    • kevin2412
       
      etayage
  • En même temps qu’il y a l’indignation, ce qu’on a pu constater en Islande — le premier pays où le scandale a éclaté, le lundi 4 avril —, c’est aussi la vigilance et la mobilisation d’un peuple… et l’influence concrète de cette mobilisation sur le cours des événements. Près d’un dixième de la population du pays s’est réunie devant le parlement ce soir-là. Le lendemain, la classe politique était en ébullition, et le premier ministre (lui aussi « ami » de Mossack Fonseca) sur son départ.
    • kevin2412
       
      argument 1
  •   Au-delà de la mobilisation démocratique (des journalistes qui font leur travail devant une fuite massive d’information ; une opinion publique qui se réveille — du moins à certains endroits), il y a aussi le fait de démasquer les hypocrites et les puissants à la face du monde. David Cameron, élevé dans la soie par un père multimillionnaire et qui applique des politiques d’austérité, mais aussi les communistes chinois (et les post-communistes russes) qui s’en mettent plein les poches, comme les plus gros capitalistes.   Dans la foulée des WikiLeaks en 2010, les fuites massives d’information sont devenues un élément important du contre-pouvoir des médias et de l’opinion face aux États et à la finance.
    • kevin2412
       
      Étayage
  • Financial Times écrit que, même si les abris fiscaux sont « un monde trouble » qui mériterait qu’on y mette de l’ordre, ils peuvent avoir de bons côtés, comme « élément de lubrification du commerce international »… lorsqu’il s’agit, par exemple, d’investir dans des endroits dépourvus de système bancaire fiable.   Attention, donc, au populisme justicier !
    • kevin2412
       
      sujet divisé
  • L’hypocrisie n’est pas morte, mais l’espoir vit !
    • kevin2412
       
      conclusion partielle
yoadvered123

Pour un référendum | Le Devoir - 1 views

  • Difficile de voir un politicien changer d’idée aussi radicalement en si peu de temps sans soupçonner qu’une substance soit en cause.
    • yoadvered123
       
      Prise de position (la thèse)
  • Devrait-on imposer à Régis Labeaume un test de dopage ?
    • yoadvered123
       
      Sujet posé
  • Depuis qu’il a mis les pieds à Lausanne lundi pour discuter avec les bonzes du Comité international olympique (CIO), il se montre clairement favorable à une éventuelle candidature de Québec pour 2026.
  • ...8 more annotations...
  • En juillet pourtant — il y a moins d’un an —, le même homme incitait le maire de Toronto à résister aux pressions : « Je lui dirais ceci : “ Ne vous laissez pas bousculer par les comités olympiques nationaux, pensez à vos contribuables. ” » Dans le même point de presse, il n’avait pas de mots assez forts pour féliciter un autre de ses homologues, celui-là de Boston : « Il a bien fait de résister aux sirènes du Comité olympique. […] Le problème est que les politiciens et les comités olympiques font toujours en sorte de sous-évaluer les coûts pour faire accepter les Olympiques par la population. »
  • À Lausanne, le triple axel de Labeaume a suscité un tournis communicationnel. Philippe Couillard s’était dit favorable à une démarche exploratoire. Le maire rétorque qu’en privé, le premier ministre aurait déclaré : « Les Jeux, on les veut. » Après avoir insisté sur cet « appui » de taille (nié par les communications du PM), M. Labeaume refuse de se dire « en mode » olympique ? Difficile à croire.
  • Avant d’embarquer Québec et le Québec dans une autre aventure olympique, un référendum doit être tenu.
  • C’est l’approche d’un tel exercice démocratique qui a conduit la Ville de Boston (que M. Labeaume encensait) à retirer sa candidature. À Cracovie en Pologne, en mai 2014, un tel exercice s’est conclu par un non à 70 %. L’année précédente, lors d’une « votation », les Suisses ont rejeté l’idée d’une candidature de Davos et de Saint-Moritz pour les Jeux d’hiver de 2022. En novembre 2013, les citoyens de Munich ont rejeté l’idée que leur ville soit candidate. Le maire de la ville bavaroise avait déclaré : « Ce vote n’est pas dirigé contre le sport, mais [c’est] une réponse claire contre l’appât du gain et le manque de transparence du CIO. » Le non ne l’emporte pas toujours : les Vancouvérois, en 2003, avaient voté favorablement à 64 %.
  • Aux sceptiques, M. Labeaume répondra que tout a changé avec l’Agenda 2020 du CIO, une prétendue réforme. La preuve reste à faire.
  • Il serait préférable que celle-ci soit faite lors d’un référendum plutôt que lors d’une élection,
  • car la question des jeux occulterait alors toutes les « vraies affaires » reliées aux années Labeaume (absence des Nordiques, problèmes de transports, de cueillettes des ordures et de déneigement, etc.).
  • Olympiques à Québec?
sabrinatehrani

Malaise autour de l'administration sans supervision | Le Devoir - 0 views

  • Le projet de loi fédéral ouvre la porte, Québec la refermerait immédiatement. Pour le Collège des médecins du Québec (CMQ), pas question de laisser les patients partir à la maison avec une prescription létale pour se l’administrer sans supervision médicale.
    • shelimalikin
       
      québec ne veut pas le suicide assisté. 
  •   Le « modèle de l’Oregon, c’est l’histoire d’horreur que nous ne pouvons pas tolérer au Québec », tranche le secrétaire du CMQ, le Dr Yves Robert. Dans cet État américain, les patients ont accès à l’aide au suicide sous forme d’une prescription d’une substance mortelle qu’il leur est possible de prendre au moment qui leur convient.
    • shelimalikin
       
      parle du fait que le substance aidera aux patient de prendre leur vie au moment qui leur convient 
  • Cet aspect de la loi interpelle aussi le gériatre David Lussier. « Ce n’est pas l’idée de la mort dans la dignité sous-entendue dans la loi, dit-il. De plus, ça met des substances létales en circulation. Ça règle plutôt le problème des médecins qui ne se sentent pas à l’aise de l’administrer », observe le membre de la Commission sur les soins de fin de vie.
    • shelimalikin
       
      veulent pas une substance mortelle pour circuler et certain docteur ne veulent pas être responsable pour les suicides
  • ...1 more annotation...
  • Pour Yves Robert, l’affaire est limpide : le projet de loi fédéral « n’oblige pas les provinces à y donner accès ». « C’est le Collège qui gère l’exercice professionnel des médecins, et pour nous, il est clair que l’aide médicale à mourir ne peut se faire qu’en présence d’un médecin », dit-il.
    • shelimalikin
       
      les docteurs croit qu'ils devait guerir les gens cependant l'aide médicale à mourir ne peut pas être fait sans un docteur 
jchemtovwic

Des armes et de l'opium - 1 views

  •  
    Les talibans afghans ont annoncé mardi le début de leur " offensive du printemps " -, en même temps que s'amorcent les récoltes, immensément utiles à l'effort de guerre, du pavot à l'opium. Jamais, depuis leur renversement en 2001, les talibans n'ont été en pareille position de force, sont obligés de reconnaître les généraux américains.
jchemtovwic

Le déficit de la paix | Chantal Guy | Chantal Guy - 1 views

  •  
    Les conflits et les catastrophes humanitaires qui sévissent un peu partout sur la planète peuvent souvent apparaître lointains dans les pays industrialisés. Mais ils finiront par avoir un impact dans les pays en paix comme le nôtre s'ils se multiplient davantage.
tblachon

Parrainer pour tromper les bombes | Le Devoir - 0 views

  • C’est Maude Ménard-Dunn, jeune maman étudiante à la maîtrise en travail social à l’UQAM, qui a d’abord eu l’idée de se lancer dans l’aventure d’un parrainage privé. Terrassée par son impuissance devant le conflit, elle s’est rabattue sur un groupe Facebook pour en savoir plus. Les bombes, les explosions, les morts. « J’avais l’impression de suivre ce qui se passait non pas du point de vue d’un journaliste, mais d’un citoyen, de quelqu’un qui nous ressemblait », raconte-t-elle dans sa cuisine ensoleillée, baignée des effluves des crêpes du dimanche matin.
    • tblachon
       
      On peut voir ici qu'on racconte l'histoire de Maude, une jeune maman étudiante qui voulait en savoir plus sur ce qui ce passe au moyen Orient
  • « Les deux, on est assez estomaqués de voir comment on a réussi à finalement se faire confiance mutuellement », souligne Maude, qui a dû affronter quelques commentaires et craintes au sujet du terrorisme. Rafaëlle s’indigne. « On dirait qu’on est tellement brainwashés qu’il faut automatiquement se méfier quand c’est quelqu’un qui vient de Syrie. » Reste que cet engagement ne doit pas être pris à la légère. Les parrains sont financièrement responsables de la famille qu’ils accueillent pendant un an.   Tout est allé très vite. Pendant que Maude et ses acolytes se dépatouillaient dans les formulaires l’automne dernier, une campagne de sociofinancement a été lancée : dès les premiers jours, des dizaines de personnes ont répondu à l’appel et 10 000 $ ont été amassés. L’objectif de 29 700 $ — soit l’argent que le gouvernement exige pour parrainer des réfugiés — a été atteint en trois semaines. « Feras ne comprenait pas pourquoi toute cette générosité. Il a bien vu que son histoire touchait les gens. Ça l’a convaincu de faire le saut. »
    • tblachon
       
      On peut voir ici que cela à pris du temps pour pouvoir parrainer une famille syrienne.
  • À l’heure actuelle, 9000 réfugiés syriens sont parrainés au privé et 15 000 le sont par le gouvernement. Si les amis de Maude l’ont vite épaulée dans son projet de parrainage, étonnamment, c’est le principal intéressé qu’il a fallu convaincre. « Il y avait beaucoup d’incrédulité de la part de Feras. Il me demandait pourquoi j’allais lui faire confiance et l’aider comme ça, gratuitement. Après tout, on ne se connaissait pas », raconte la jeune femme. Plus tard, Feras lui a avoué la raison de sa méfiance : il a cru qu’elle était un agent double du gouvernement al-Assad. À un certain moment, il a même demandé à sa soeur, qui vit en Arabie saoudite, d’appeler Maude pour vérifier ses intentions.
    • tblachon
       
      On peut voir ici des statistique par rapport à l'arrivée des syriens au Canada.
  • ...3 more annotations...
  • Au fil de cette correspondance, les questions de la résidente du paisible Rosemont ont trouvé les réponses de Feras Darwish, sous les bombes d’Alep. Pourquoi la guerre ? Combien de temps encore ? Feras lui racontait la fatigue, ses sept déménagements en trois ans, ses nuits (trop) courtes, où il tentait d’amuser ses enfants réveillés par les raids aériens. Des milliers de gens fuyaient la Syrie, mais Feras et sa famille — et leurs deux chats blancs — restaient. « Ils étaient très attachés à leur pays. C’est chez eux. Pour Feras, rester était comme un acte de résistance », explique Rafaëlle Sinave, enseignante au cégep du Vieux-Montréal, qui est l’une des « marraines » de la famille. À Maude, qui insistait pour l’aider, il disait simplement d’encourager la pression politique sur le régime de Bachar al-Assad. « Il disait que c’était trop tard pour lui et sa famille, qu’il n’y avait rien à faire. » La jeune maman s’est entêtée. Elle en a parlé à son chum Philippe et a écrit à des amis un courriel intitulé « Entre déraison et révolution ». Pour ses idées, Maude avait décidé, elle aussi, de se battre.
    • tblachon
       
      Ici on peut voir comment elle a décidé de parrainer une famille syrienne.
  • Les deux trentenaires ont vite été récompensées de leurs efforts : une première conversation Skype avec la famille. « Ça a été le moment le plus émouvant de toute ma vie », lance Rafaëlle, encore fébrile. Cela faisait un mois que la famille montréalaise avait entamé les démarches de parrainage. Feras, craignant de ne pouvoir s’exprimer suffisamment bien en anglais, a plutôt fait parler son père. « C’était tellement poignant. Tu voyais tout l’amour de ce père-là envers son fils et sa famille. J’ai fondu en larmes. »   « I salute the humanity in you [Je salue l’humanité en vous] », a renchéri Maude tout sourire, imitant l’accent syrien en roulant ses « r ». « Il nous remerciait. Il était tellement touché. » Depuis, Feras et elle s’écrivent tous les jours, s’envoient photos et vidéos, des dessins de leurs enfants et beaucoup d’émoticônes de bonhommes sourire. Puis, est venu ce jour de novembre où Feras et sa famille ont quitté la Syrie pour toujours et fui en Turquie. C’était quelques jours après les attentats du vendredi 13 en France. Dans le monde, la tension venait de monter d’un cran.
    • tblachon
       
      Ici on peut voir la reconnaissance de la fammille syrienne. On explique aussi que les tension dans le monde augmente petit à petit.
  • « Nous voulons t’informer que nous quittons Alep demain matin. Si quelque chose nous arrivait, sache que nous ne vous oublierons jamais. Take care. » C’est le message que Feras a écrit à Maude le jour de son départ. L’angoisse. Deux jours plus tard, Feras a rappelé depuis la Turquie. Ils étaient sains et saufs. « Nous, on pleurait. Feras ne comprenait pas pourquoi. Il nous disait : “Don’t be sad. Be proud [Ne soyez pas tristes. Soyez fiers]” », raconte Rafaëlle.   Jeudi dernier, une autre bonne nouvelle est tombée : la famille Darwish a été convoquée à l’entrevue à l’ambassade canadienne d’Ankara, à peine six mois après le début des démarches. Tout le monde est aux anges. Y compris le petit chérubin de Maude, Rémi, âgé de 5 ans, qui a hâte de rencontrer ses nouveaux amis qui viennent « du pays de l’arabe ». Et attendant, pour tromper cette attente insoutenable, Maude rêve en boucle à la scène de l’aéroport. « Peu importe comment ça va cliquer avec eux, ça va être mission accomplie », conclut Rafaëlle.
    • tblachon
       
      On peut voir ici que la famille fuit une ville mais, tout ce passe bien. Ils vont bientôt venir au Canada.
tblachon

Anti-extrémisme extrême | Le Devoir - 0 views

  • Les parents d’enfants qui fréquentent une garderie au Royaume-Uni ont reçu récemment une lettre hors de l’ordinaire : les éducatrices doivent désormais enseigner les « valeurs britanniques » et surveiller les signes de radicalisation des petits d’âge préscolaire. Il n’est jamais trop tôt pour prévenir l’extrémisme, semble-t-il.
    • tblachon
       
      On peut voir ici une introduction et un semblant de sujet amené et de sujet posé.
  • Le mois dernier, un service de garde de la ville anglaise de Luton — où vit une importante minorité de 50 000 musulmans —, a pris au sérieux la directive du gouvernement : l’établissement a menacé de signaler aux autorités un « suspect » âgé de quatre ans qui avait dessiné son père en train de couper un concombre.   Les éducatrices avaient compris que le garçon dessinait non pas un concombre, mais un engin explosif artisanal appelé « cooker bomb ». Scandalisée de passer pour une terroriste, la mère du garçon a diffusé une vidéo où elle montre un concombre à son enfant. Qu’est-ce que c’est ? demande-t-elle. « A cuker-bum », répond-il comme un bambin de quatre ans.   Un autre garçon, de 10 ans celui-là, a eu le malheur d’évoquer en classe des mots qui ressemblaient à « maison terroriste ». Son père a été interrogé par la police.
    • tblachon
       
      on peut voir ici des exemples d'exagérations et de paranoïas. 
  • Ces anecdotes en disent long sur le climat de « paranoïa » qui règne au Royaume-Uni, estime Mario Novelli, professeur de travail social à l’Université de Sussex, à Brighton dans le sud-est de l’Angleterre. Son fils de trois ans fréquente une garderie. Le chercheur a reçu lui aussi la lettre indiquant que les éducatrices sont à l’affût de signes de radicalisation parmi les enfants qui fréquentent le service de garde.   « Parce qu’il y a eu quelques cas de jeunes qui se rendent en Syrie, tous les enseignants et éducateurs, y compris ceux qui travaillent dans les garderies, ont suivi le programme Prevent [mis sur pied par le gouvernement pour freiner la radicalisation]. C’est absurde de chercher des signes d’extrémisme chez des enfants aux couches, mais ça démontre la paranoïa qui s’empare du système d’éducation », dit Mario Novelli, rencontré à un colloque sur la radicalisation et l’extrémisme tenu cette semaine à l’Université Concordia.
    • tblachon
       
      Ici, quelqu'un qui pense, qu'en effet, le gouvernement britannique va beaucoup trop loin pour éviter la radicalisation.
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  • il existe un danger d’aller trop loin.
    • tblachon
       
      Voici ce qui confirme mes dires. 
  • « L’autre jour, une de mes collègues d’origine pakistanaise est allée conduire son garçon de six ans à l’école primaire. En chemin, elle a vu qu’il avait un fusil jouet en plastique dans son sac d’école. Elle était terrifiée. Tous les enfants jouent avec des fusils en plastique, mais quand il s’agit d’un garçon musulman, ça peut être interprété de bien des façons », dit Mario Novelli.
    • tblachon
       
      encoreune anecdote qui montre que la paranoïa reigne chez les citoyens.
  • Le gouvernement britannique se défend d’aller trop loin. Après tout, les écoles ont vraisemblablement servi de base à la radicalisation de jeunes dans l’histoire récente. Au moins trois attentats d’al-Qaïda au Royaume-Uni (en 2003, 2005 et 2006) ont impliqué des jeunes, dont un de 15 ans, qui sont devenus extrémistes quand ils fréquentaient l’école. Sur 127 condamnations pour des causes liées au terrorisme en sol britannique dans la dernière décennie, 11 ont été commises par des jeunes de 15 à 19 ans, indiquent les documents du programme Prevent consultés par Le Devoir.
    • tblachon
       
      tentative du gouvernement pour ce défendre du fait que cela ne va pas trop loin.
  • « Bien sûr que la radicalisation est un enjeu réel qu’il faut freiner. Mais il faut le faire de façon équilibrée. Plutôt que de réduire les risques de radicalisation, certaines mesures extrêmes peuvent avoir l’effet contraire et pousser des gens à se radicaliser », dit Mario Novelli.
    • tblachon
       
      et un contre-exemple
  • Pour sa thèse de doctorat déposée à l’automne 2015, Naved Bakali a découvert que les jeunes musulmans canadiens — comme ceux de bien des États occidentaux — se sentent victimes de discrimination. Ils se sentent « aliénés dans leur propre pays ».   Le chercheur estime lui aussi que les mesures « extrêmes » de lutte contre l’extrémisme peuvent mener à davantage de radicalisation. Et pas seulement à la radicalisation de musulmans : les jeunes de toutes origines sont susceptibles d’être interpellés par la propagande de groupes comme État islamique, selon Naved Bakali.   « Les jeunes, et pas seulement les jeunes musulmans, peuvent percevoir le groupe État islamique comme une contre-culture », explique-t-il. Ces groupes terroristes sont très habiles pour repérer les âmes en quête de sens parmi les jeunes Occidentaux, sur Facebook et sur Twitter, note le chercheur de l’Université McGill.
    • tblachon
       
      On peut voir que les mesures prise par le gouvernement font que les musulmans ce sentent visés par des propos et des préjugés. En gros, ils se sentent emprisonnés dans une sorte de prison sociale et sans murs physiques.
  • Oui, l’extrémisme attire un nombre croissant de jeunes, mais les démocraties occidentales ont tendance à surestimer la radicalisation des musulmans, avance de son côté Adeela Arshad-Ayaz, professeure adjointe au Département d’éducation de l’Université Concordia. Environ 200 Canadiens sont allés combattre aux côtés du groupe armé État islamique en Irak et en Syrie. Ce sont 200 personnes de trop, mais c’est relativement peu sur une population totale de 35,9 millions de personnes.   « La radicalisation n’est pas le fait d’un seul groupe. Il y a toutes sortes de gens qui deviennent radicaux pour toutes sortes de raisons », dit-elle.   « On se fait dire qu’on est d’accord avec l’extrémisme quand on essaie d’en expliquer les causes. Au contraire, pour vaincre l’extrémisme il faut comprendre ce qui mène à l’extrémisme ! » ajoute Adeela Arshad-Ayaz.   Il y a de quoi devenir « radical » en observant l’actualité récente, selon elle. Les 67 personnes les plus riches possèdent plus que les 3,5 milliards de personnes les plus pauvres. Les superriches cachent leur fortune dans des paradis fiscaux. Des « émeutes de la faim » contre la hausse des prix des aliments éclatent régulièrement dans les pays pauvres. L’Union européenne subventionne ses exportations de produits agricoles vers l’Afrique, où ils sont offerts à une fraction de leur coût de production. La corruption mine la confiance des citoyens envers les gouvernements. Les États bannissent la dissidence, et accablent surtout ceux qui contestent l’ordre établi.   « Le point de départ pour lutter contre l’extrémisme, c’est de créer une société plus
    • tblachon
       
      On peut voir ici que l'auteur explique que pour vaincre l'extrémisme, il faut d'abord comprendre pourquoi ils font cela.
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