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IFOP - Regards croisés sur l'information et la prévention du sida sentre les ... - 0 views

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    Le suivi barométrique de l'Ifop pour Sidaction fait état en 2017 d'une baisse du sentiment d'information sur le VIH / sida combinée à une légère remontée de la vigilance des jeunes à l'égard des risques de propagation de la maladie. Les personnes âgées de 15 à 24 ans se montrent ainsi plus attentives aux dangers du VIH / sida que l'ensemble de la population, parmi laquelle l'impression que le risque d'être contaminé est minime trouve un écho. Le sentiment d'information sur le sida se dégrade par rapport à 2016 et 2014. 79% des jeunes estiment être bien informés sur le VIH (-3 points par rapport à 2016 et -10 points par rapport à 2014), soit une proportion au plus bas depuis 2009. Le sentiment d'information des jeunes rejoint celui de l'ensemble des Français, qui se situe également à 79% des personnes interrogées. D'une manière plus détaillée, les interviewés se sentent de moins en moins bien informés sur l'existence d'un traitement d'urgence en cas de relation sexuelle non protégée (44%, -3 par rapport à 2016). A l'inverse, de plus en plus de jeunes se déclarent bien au fait sur le traitement prescrit aux personnes séropositives (41%, +2). L'état des connaissances sur le VIH de l'ensemble de la population rejoint globalement celles observées chez ces jeunes générations. Les Français sont par exemple moins bien informés sur l'existence et l'intérêt des préservatifs féminins (56%, < de 6 points par rapport aux jeunes). Ils sont à l'inverse plus au fait de l'existence d'autotest de dépistage du VIH (51%, > de 6 points). A l'instar des enseignements de l'étude de 2016, il apparaît toujours nécessaire de maintenir un niveau d'information élevé chez les jeunes sur l'épidémie du sida, les risques associés et les traitements existants. La lecture des résultats pour différents indicateurs sur les représentations associées au sida fait état de la persistance d'id
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N° 4119 - Proposition de loi de M. Philippe Vigier visant à garantir un accès... - 0 views

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    "Alors que le préambule de la Constitution de 1946 énonce en son article 11 que « la Nation [...] garantit à tous, […] la protection de la santé », la France est aujourd'hui plus que jamais confrontée à une situation paradoxale en termes d'accès aux soins : malgré un niveau d'offre de soins encore globalement élevé et un nombre de médecins qui n'a jamais été aussi important, les inégalités d'accès aux soins s'accroissent dans nos territoires. Notre système de santé est aujourd'hui confronté à un double défi ; démographique et économique. Il doit s'adapter et se moderniser pour garantir des soins de qualité à l'ensemble de la population. Présentée comme le grand texte du quinquennat en matière de santé, la loi de modernisation de notre système de santé n'a pas réglé la question de l'accès aux soins sur le territoire. Aucune mesure d'ampleur n'a été prise pour lutter contre le drame de la désertification médicale. Au 1er janvier 2015, selon les chiffres publiés par l'Institut national de la statistique et des études économiques (INSEE), la France comptait 102 485 généralistes et 119 665 spécialistes, soit un total de 222 150 médecins. Ce chiffre élevé constitue un record et s'explique par la formation d'un grand nombre de praticiens dans les années 1960 et 1970. Pour autant, les difficultés et les inégalités d'accès aux soins devraient s'aggraver à court et moyen terme sous l'effet conjugué du vieillissement de la population, de l'évolution des modes de prise en charge, de la hausse du niveau d'exigence de nos concitoyens et de la forte prévalence des maladies chroniques. Ces facteurs auront pour conséquence une augmentation importante de la demande de soins alors même, qu'en parallèle, le potentiel démographique des professions de santé devrait mécaniquement diminuer d'ici 2025. En effet, la modulation d'un numerus clausus pour les études médicale
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HCFEA - Synthèse - Quand les enfants vont mal, comment les aider ? - 0 views

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    Dans le rapport « Quand les enfants vont mal : comment les aider ? » le HCFEA alerte sur la montée de la consommation de médicaments psychotropes par des enfants et adolescents. Entre 2014 et 2021, elle a augmenté de +48,54% pour les antipsychotiques ; +62,58% pour les antidépresseurs ; +78,07% pour les psychostimulants ; +27,7% pour les anticholinergiques ; +9,48% pour les dopaminergiques ; +155,48% pour les hypnotiques et sédatifs. Pris dans un effet ciseaux entre l'augmentation de la demande et le déficit structurel de l'offre de soin, les enfants sont plus exposés que les adultes à la souffrance psychique, mais aussi à la médication. Les niveaux d'augmentation (2 à 20 fois plus élevés, selon les molécules) sont sans commune mesure avec ceux observés au niveau de la population générale. Enfin, les moyens dédiés aux soins de première intention, et le déploiement des dispositifs psychothérapeutiques, éducatifs et sociaux ne semblent pas avoir augmenté́ dans les mêmes proportions. On constate ainsi une difficulté d'accès non seulement à des soins pédopsychiatriques mais aussi à des mesures de prévention, d'éducation et d'accompagnement, et les facteurs d'inégalités sociales accentuent encore les effets de cette situation. Du côté des familles, le manque de repère, de lisibilité, puis d'accès aux professionnels fait obstacle à la mise en place d'un parcours de soin et d'accompagnement adapté, inscrit dans la durée. La difficulté à trouver les bons interlocuteurs qui pourront aider l'enfant et sa famille vient alors s'ajouter à l'épreuve familiale qui se joue quand un enfant qui va mal, et aux autres fragilités qui frappent plus fortement les familles ces toutes dernières années au travers de crises multiples. Les travaux du HCFEA ont permis de documenter les biais scientifiques et médiatiques susceptibles d'impacter les politiques publiques en de santé mentale de l'enfant ainsi qu
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HCFEA - Rapport complet - Quand les enfants vont mal, comment les aider ? - 0 views

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    Dans le rapport « Quand les enfants vont mal : comment les aider ? » le HCFEA alerte sur la montée de la consommation de médicaments psychotropes par des enfants et adolescents. Entre 2014 et 2021, elle a augmenté de +48,54% pour les antipsychotiques ; +62,58% pour les antidépresseurs ; +78,07% pour les psychostimulants ; +27,7% pour les anticholinergiques ; +9,48% pour les dopaminergiques ; +155,48% pour les hypnotiques et sédatifs. Pris dans un effet ciseaux entre l'augmentation de la demande et le déficit structurel de l'offre de soin, les enfants sont plus exposés que les adultes à la souffrance psychique, mais aussi à la médication. Les niveaux d'augmentation (2 à 20 fois plus élevés, selon les molécules) sont sans commune mesure avec ceux observés au niveau de la population générale. Enfin, les moyens dédiés aux soins de première intention, et le déploiement des dispositifs psychothérapeutiques, éducatifs et sociaux ne semblent pas avoir augmenté́ dans les mêmes proportions. On constate ainsi une difficulté d'accès non seulement à des soins pédopsychiatriques mais aussi à des mesures de prévention, d'éducation et d'accompagnement, et les facteurs d'inégalités sociales accentuent encore les effets de cette situation. Du côté des familles, le manque de repère, de lisibilité, puis d'accès aux professionnels fait obstacle à la mise en place d'un parcours de soin et d'accompagnement adapté, inscrit dans la durée. La difficulté à trouver les bons interlocuteurs qui pourront aider l'enfant et sa famille vient alors s'ajouter à l'épreuve familiale qui se joue quand un enfant qui va mal, et aux autres fragilités qui frappent plus fortement les familles ces toutes dernières années au travers de crises multiples. Les travaux du HCFEA ont permis de documenter les biais scientifiques et médiatiques susceptibles d'impacter les politiques publiques en de santé mentale de l'enfant ainsi qu
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HCFEA - Annexes - Quand les enfants vont mal, comment les aider ? - 0 views

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    Dans le rapport « Quand les enfants vont mal : comment les aider ? » le HCFEA alerte sur la montée de la consommation de médicaments psychotropes par des enfants et adolescents. Entre 2014 et 2021, elle a augmenté de +48,54% pour les antipsychotiques ; +62,58% pour les antidépresseurs ; +78,07% pour les psychostimulants ; +27,7% pour les anticholinergiques ; +9,48% pour les dopaminergiques ; +155,48% pour les hypnotiques et sédatifs. Pris dans un effet ciseaux entre l'augmentation de la demande et le déficit structurel de l'offre de soin, les enfants sont plus exposés que les adultes à la souffrance psychique, mais aussi à la médication. Les niveaux d'augmentation (2 à 20 fois plus élevés, selon les molécules) sont sans commune mesure avec ceux observés au niveau de la population générale. Enfin, les moyens dédiés aux soins de première intention, et le déploiement des dispositifs psychothérapeutiques, éducatifs et sociaux ne semblent pas avoir augmenté́ dans les mêmes proportions. On constate ainsi une difficulté d'accès non seulement à des soins pédopsychiatriques mais aussi à des mesures de prévention, d'éducation et d'accompagnement, et les facteurs d'inégalités sociales accentuent encore les effets de cette situation. Du côté des familles, le manque de repère, de lisibilité, puis d'accès aux professionnels fait obstacle à la mise en place d'un parcours de soin et d'accompagnement adapté, inscrit dans la durée. La difficulté à trouver les bons interlocuteurs qui pourront aider l'enfant et sa famille vient alors s'ajouter à l'épreuve familiale qui se joue quand un enfant qui va mal, et aux autres fragilités qui frappent plus fortement les familles ces toutes dernières années au travers de crises multiples. Les travaux du HCFEA ont permis de documenter les biais scientifiques et médiatiques susceptibles d'impacter les politiques publiques en de santé mentale de l'enfant ainsi qu
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Conseil national de l'Ordre des médecins - Construire l'avenir à partir des t... - 0 views

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    L'Ordre des médecins publie aujourd'hui son projet de réforme pour la santé, un projet de réforme globale autour de quatre grands principes : libérer en offrant un cadre qui permette de catalyser les énergies des acteurs individuels, décentraliser, simplifier, et garantir un réel accès aux soins à tous. Ce projet de réforme, voulu et attendu par les médecins, propose de révolutionner l'organisation de notre système de santé en s'appuyant sur les territoires. De l'écoute à l'action 2016 a été pour l'Ordre des médecins un temps d'écoute. Lors de notre Grande consultation et de nos rencontres en région, les médecins nous ont donné un mandat clair, celui de concevoir et de porter auprès de nos décideurs une réforme globale, concertée et partagée pour notre système de santé : 95% des médecins estimaient en effet nécessaire de le réformer. En 2017, l'Ordre des médecins passe à l'action en faisant émerger, à l'occasion des prochaines élections présidentielles, une vraie réforme du système de santé, la réforme voulue par la profession médicale. Un projet qui repose sur 4 grands principes : libérer les initiatives, décentraliser les décisions, simplifier les exercices et garantir l'accès aux soins et la qualité des soins. Repenser le système de santé en repartant des territoires Dressant le diagnostic d'un système de santé devenu d'une complexité extrême, hyper-administré et centralisé, et déconnecté des besoins réels des territoires, l'Ordre des médecins estime urgent le besoin de repenser l'organisation de l'offre de soins, et de proposer une offre cohérente adaptée aux besoins réels de santé de chaque territoire. Proposer l'offre de soins la plus à même de répondre aux besoins des populations exige de miser sur les acteurs des territoires, sur leur connaissance des problématiques locales, en leur donnant les moyens de s'organiser afin d'améliorer les sit
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Drees / BVA - Synthèse - Baromètre d'opinion sur la santé, la portection soci... - 0 views

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    Selon le dernier Baromètre d'opinion de la DREES, réalisé en octobre et novembre 2017 auprès d'un échantillon de plus de 3 000 personnes représentatif de la population adulte vivant en France métropolitaine, les Français* sont moins inquiets pour l'avenir. Fin 2017, 8 Français sur 10 jugent que leur situation personnelle est bonne. Quand ils sont amenés à se projeter, 41 % des Français se disent pessimistes concernant leur avenir (-6 points par rapport à 2013) et 62 % le sont pour les générations futures (-9 points par rapport à 2013). Les Français sont toujours préoccupés par la situation économique et sociale de la France même s'ils sont moins nombreux qu'en 2013 à exprimer leur inquiétude concernant la pauvreté (88 % contre 93 % en 2013), le chômage (81 % contre 91 % en 2013), le niveau de la dette (60 % contre 71 % en 2014) et les crises financières (56 % contre 75 % en 2013). 6 Français sur 10 trouvent normal que la France consacre environ le tiers de son revenu national au financement de la protection sociale. Cette part est relativement stable depuis 2004. En revanche, les Français qui trouvent ce niveau de financement insuffisant (23 %) sont désormais plus nombreux que ceux qui le jugent excessif (14 %), ce qui n'était plus le cas depuis 2011. Concernant les actions les plus nécessaires à mener pour améliorer les politiques sociales, les Français se prononcent majoritairement pour le développement des services (62 %) plutôt que pour l'augmentation des niveaux des prestations (21 %) ou l'amélioration de l'accompagnement vers les droits (17 %). Les aidants des personnes âgées dépendantes souhaitent davantage de soutien de la part des pouvoirs publics. 8 aidants sur 10 ne se sentent pas assez aidés ou considérés par les pouvoirs publics. Un tiers des Français déclarent qu'ils feraient en sorte de s'occuper d'un proche âgé devenu dépendant à son domicile. Les femmes se disent plus souv
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Drees / BVA - Résultats - Baromètre d'opinion sur la santé, la portection soc... - 0 views

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    Selon le dernier Baromètre d'opinion de la DREES, réalisé en octobre et novembre 2017 auprès d'un échantillon de plus de 3 000 personnes représentatif de la population adulte vivant en France métropolitaine, les Français* sont moins inquiets pour l'avenir. Fin 2017, 8 Français sur 10 jugent que leur situation personnelle est bonne. Quand ils sont amenés à se projeter, 41 % des Français se disent pessimistes concernant leur avenir (-6 points par rapport à 2013) et 62 % le sont pour les générations futures (-9 points par rapport à 2013). Les Français sont toujours préoccupés par la situation économique et sociale de la France même s'ils sont moins nombreux qu'en 2013 à exprimer leur inquiétude concernant la pauvreté (88 % contre 93 % en 2013), le chômage (81 % contre 91 % en 2013), le niveau de la dette (60 % contre 71 % en 2014) et les crises financières (56 % contre 75 % en 2013). 6 Français sur 10 trouvent normal que la France consacre environ le tiers de son revenu national au financement de la protection sociale. Cette part est relativement stable depuis 2004. En revanche, les Français qui trouvent ce niveau de financement insuffisant (23 %) sont désormais plus nombreux que ceux qui le jugent excessif (14 %), ce qui n'était plus le cas depuis 2011. Concernant les actions les plus nécessaires à mener pour améliorer les politiques sociales, les Français se prononcent majoritairement pour le développement des services (62 %) plutôt que pour l'augmentation des niveaux des prestations (21 %) ou l'amélioration de l'accompagnement vers les droits (17 %). Les aidants des personnes âgées dépendantes souhaitent davantage de soutien de la part des pouvoirs publics. 8 aidants sur 10 ne se sentent pas assez aidés ou considérés par les pouvoirs publics. Un tiers des Français déclarent qu'ils feraient en sorte de s'occuper d'un proche âgé devenu dépendant à son domicile. Les femmes se disent plus souv
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BVA - les Français et les déserts médicaux - 0 views

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    1/ Les premières difficultés que rencontrent les Français pour consulter un médecin sont les délais pour obtenir un rendez-vous Les difficultés les plus problématiques que rencontrent les Français lorsqu'ils doivent consulter un médecin sont les délais trop importants pour obtenir un rendez-vous (55%), le refus de certains médecins de prendre de nouveaux patients (30%) et ex aequo le coût trop élevé des consultations et la distance à parcourir pour trouver un médecin (23%). 2/ Plus de la moitié des Français ont déjà eu des problèmes pour obtenir un rendez-vous auprès d'un spécialiste dans un délai raisonnable 55% des Français ont déjà été dans l'impossibilité d'obtenir un rendez-vous dans un délai raisonnable auprès de médecins spécialistes. Les dentistes sont sur la deuxième marche du podium des médecins les plus compliqués à consulter : 1 Français sur 3 a déjà été dans l'impossibilité d'obtenir un rendez-vous, une part légèrement supérieure à ce que l'on observe pour les médecins généralistes (27%). Au global, ce sont 70% des Français qui disent avoir déjà été dans l'impossibilité d'obtenir un rendez-vous médical. 3/ Face à l'impossibilité d'obtenir un rendez-vous dans un délai raisonnable, 20% sont allés aux urgences, 15% ont renoncé à un soin et 10% ont eu recours à l'automédication 4/ Près d'1 Français sur 5 a déjà eu recours à un médecin pratiquant des dépassements d'honoraires parce qu'il n'arrivait pas à obtenir de rendez-vous dans un délai raisonnable 5/ 45% des Français craignent les difficultés à obtenir un rendez-vous médical pour leur santé 6/ Une majorité des Français pensent que les déserts médicaux sont d'abord la conséquence d'une mauvaise répartition des médecins sur le territoire plutôt qu'une insuffisance de médecins formés Pour les Français, le manque de médecins dans certains endroits est d'avantage dû à une
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IFOP - Grand âge et enjeux du vieillissement : quel est l'état de l'opinion s... - 0 views

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    L'enquête menée par l'Ifop pour le SYNERPA dessine un état des lieux de l'opinion des Français sur le secteur du Grand âge et les enjeux du vieillissement. Le vieillissement s'avère être un enjeu de grande importance pour les Français et leurs proches, malgré une faible anticipation. L'enquête revient également sur les différentes solutions proposées aux familles, leur image et celle du secteur, et détaille leur mode de financement et la place de l'offre privée dans le contexte actuel. Vieillissement et perte d'autonomie, un sujet qui inquiète près des deux tiers des Français … mais que, paradoxalement, ils anticipent peu. Le sujet du vieillissement et de la perte d'autonomie avive la crainte d'une grande majorité de Français (65%), notamment les 50-64 ans (68%). Il est intéressant de constater que chez les jeunes également, bien qu'en retrait au regard de la moyenne mesurée sur l'ensemble des Français, cette préoccupation est non négligeable. Ainsi plus d'un jeune de 18-24 ans sur deux se déclare inquiet (55%). Si cette crainte du vieillissement et de la perte d'autonomie apparait très ancrée au sein de la société il n'en demeure pas moins que paradoxalement, ce n'est pas un sujet dont les Français se saisissent pleinement concrètement. En effet, au-delà de cette inquiétude, « seulement » un Français sur deux déclare penser souvent au vieillissement (49%), une tendance toutefois assez inégale au sein de la population : cette proportion atteint 64% chez les 65 ans et plus, 54% chez les personnes aux revenus modestes, 55% chez les personnes ayant un proche en perte d'autonomie et 64% chez les personnes travaillant au sein d'un établissement médico-social. L'anticipation du vieillissement et le sentiment d'être soi-même concerné touchent respectivement le tiers des Français (33%) et un Français sur cinq (19%). Les plus âgés et les personnes en contact permanent avec les seniors
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INJEP - [Jeunesse] Expérimentations en matière de santé : premiers enseignements - 0 views

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    Les jeunes (15-30 ans) sont pour la plupart en bien meilleure santé que leurs aînés : 80 % des jeunes ne présentent pas de pathologies recensées par l'Assurance maladie contre près de 60 % dans l'ensemble de la population1. Ils se considèrent également en moyenne plutôt en bonne santé2. Toutefois, ils sont aussi moins conscients de leurs besoins en ce domaine. Cet état de santé des jeunes plutôt favorable ne doit pas masquer que la maladie peut également les affecter, comme le fait que les disparités sociales et territoriales de santé peuvent infléchir l'évolution de leur santé et leurs recours aux soins. C'est en effet dès cette période de la vie que les inégalités sociales et comportements en matière de santé apparaissent et peuvent s'inscrire dans la durée. Les politiques de santé intègrent ainsi des mesures spécifiques à la jeunesse, du fait de sa spécificité en termes de santé. Ainsi, le plan Santé des jeunes de 2008 visait à prévenir les conduites à risque spécifiques aux jeunes et à répondre aux besoins psychiques des jeunes les plus vulnérables. Le Plan Priorité jeunesse de 2013, dans le champ de la santé, soulignait la nécessité de favoriser l'accès aux soins des jeunes (jeunes scolarisés, étudiants, jeunes en insertion et/ou en situation de précarité sociale). C'est dans ce cadre d'actions que le Fonds d'expérimentation pour la jeunesse (FEJ) a lancé plusieurs appels à projets pour impliquer les jeunes et les acteurs locaux dans la prévention santé et améliorer l'accès aux soins des jeunes (2ème vague d'appel à projets du FEJ lancé en 2009 et deux premiers appels à projets ultra marins lancés en 2009 et en 2011). La note décrit succinctement les dispositifs expérimentés, en proposant des zooms sur des projets illustrant la gamme des actions soutenues. Elle expose les méthodes d'évaluation appliquées et les principaux résultats de ces évaluations. Les évaluations
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Drees - Aider un proche âgé à domicile : Résultat des post-enquêtes qualitati... - 0 views

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    Ce dossier présente les résultats des post-enquêtes qualitatives de l'enquête CARE-Ménages, qui a interrogé en 2015 des seniors et leurs aidants sur des thématiques diverses comme leur état de santé, les aides dont ils bénéficient au quotidien, le financement d'une dépendance éventuelle ou la répartition des efforts entre proches et professionnels. Les post-enquêtes avaient pour but de détailler des configurations d'aide en réinterrogeant des personnes ayant répondu à l'enquête quantitative et, selon les cas, de comprendre les formes d'investissement dans l'aide ou d'articulation entre l'aide et les autres activités des aidants. Nous présentons ici une synthèse des résultats des quatre projets retenus : « Poids et effet de genre dans l'aide aux seniors » (Maks Banens, CMW, CNRS) ; « Articulation travail-famille et gestion des temps sociaux » (Vincent Caradec, CeRIES, Université de Lille) ; « Analyse compréhensive de l'intensité de l'aide » (Isabelle Mallon, CMW, CNRS et ARENES, EHESP) ; « Vieillir à deux. Aides et entraide dans le couple » (Sylvie Renaut, URV, CNAV). Après l'exposé de réflexions communes aux quatre projets, nous présentons une synthèse de chacun d'entre eux, illustrée par quelques cas tirés des investigations détaillées des différents chercheurs y ayant participé. Les résultats transversaux qui émergent de ces quatre recherches, pourtant diverses, sont nombreux. Toutes soulignent l'ambivalence que l'aide peut recouvrir, pour les aidants comme pour les aidés. Entre fardeau et plaisir, sentiment d'utilité et de perte de temps, l'aide est souvent vécue comme un investissement intense qui peut être source tantôt de reconnaissance et de passion, tantôt de souffrance et de déception. Pour bien saisir cette aide multiforme, les post-enquêtes montrent qu'il est nécessaire de l'inscrire dans une écologie familiale, rendant difficile d'étudier les rapports à
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Credoc - Les processus d'entrée en structure d'accueil pour personnes âgées v... - 0 views

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    "Les études prospectives prévoient un vieillissement graduel de la population. Le nombre des 75 ans ou plus passerait à 13,5% de la population en 2060, contre 9,3% en 2020, quasiment à 11 millions en 2035 et celui des 85 ans ou plus à plus de 5 millions. Le processus de choix et décision dans les familles sur les lieux de vie et d'accueil pour les personnes âgées est relativement méconnu. La compréhension de celui-ci semble incontournable pour orienter au mieux les politiques publiques d'accompagnement du grand âge. L'enquête menée par le CREDOC à la demande du groupe Caisse des Dépôts, d'AG2R LA MONDIALE et de Terra Nova montre que dans quatre cas sur dix les familles qui seront bientôt concernées anticipent que la décision d'entrée en maison de retraite se fera contre l'accord de la personne concernée. Les familles attendent souvent le dernier moment et l'entrée en établissement a souvent lieu en situation de « crise ». Au-delà des questions financières, de la culpabilité ressentie par les proches de ne pas respecter le désir des personnes concernées de rester chez elles, et des difficultés relationnelles anticipées, cette attitude s'explique aussi par les représentations négatives des EHPAD (établissements d'hébergement pour personnes âgées dépendantes) qui constituent l'essentiel de l'offre d'accueil en France. L'enquête montre que les structures d'accueil pour personnes âgées sont associées très fortement à la perte d'autonomie des personnes accueillies, en convergence avec la spécialisation observée ces dernières années des EHPAD sur des publics de plus en plus dépendants, ou atteints de pathologies lourdes. L'investigation montre en outre qu'il est difficile pour les proches, eux-mêmes souvent en situation de fragilité (isolement, mauvaise santé, etc.) et mobilisés à la fois physiquement et psychologiquement par le quotidien des personnes âgées, de prendre à bras le co
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Eurostat - La vie des femmes et des hommes en Europe - 0 views

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    À la maison, au travail, à l'école … … il existe de grandes différences entre les vies des femmes et des hommes en Europe, mais il y a également des similitudes. Cette publication numérique « La vie des femmes et des hommes en Europe - un portrait statistique » se propose de comparer les femmes et les hommes dans leurs vies de tous les jours. Elle montre également comment la vie quotidienne des femmes et des hommes peut être semblable ou différente dans les pays européens. Cette publication comporte trois chapitres : Vivre, grandir, vieillir... : ce chapitre est consacré à la démographie et à la santé, avec par exemple des données sur l'espérance de vie, les mères et les pères célibataires, la perception que nous avons de notre santé, etc. Il montre également qu'en Europe, malgré nos différences, les femmes et les hommes sont satisfaits de leur vie au même niveau. Apprendre, travailler, gagner sa vie... : ce chapitre présente des données sur le niveau d'éducation, la conciliation entre les vies professionnelle et familiale, le travail à temps plein et à temps partiel, les écarts de rémunération entre les sexes, les cadres supérieurs féminins et masculins, etc. Il souligne non seulement les différences structurelles, mais aussi les inégalités entre les femmes et les hommes. Manger, acheter, surfer, avoir une vie sociale... : ce chapitre se concentre sur les habitudes alimentaires et les comportements sociaux, les activités de loisirs et les pratiques sur Internet, avec par exemple des données sur la consommation de tabac et d'alcool, l'indice de masse corporelle, la fréquentation du cinéma, l'utilisation des réseaux sociaux, et les achats en ligne. Une dernière partie est consacrée à la garde et à l'éducation des enfants et aux tâches ménagères. Cette publication numérique contenant des textes courts, des graphiques interactifs, des photos, a été développée par Eurostat en collaboration
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BVA - Les Français et les liens entre les générations - 0 views

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    Des personnes âgées et des jeunes perçus comme solidaires avec les autres, et des jeunes également jugés individualistes Les Français jugent majoritairement que les personnes âgées et les jeunes sont plutôt solidaires avec les autres (72% concernant les personnes âgées et 57% en ce qui concerne les jeunes). 4 Français sur 10 (39%) estiment que les personnes âgées sont plutôt individualistes, alors que plus de 6 Français sur 10 (61%) ont le sentiment que les jeunes le sont. Si plus d'un Français sur deux estiment que les jeunes générations et les générations âgées s'entraident, la majorité pense qu'elles ne se comprennent pas bien Une courte majorité de Français ont le sentiment que les deux générations s'entraident (55%), ont des valeurs en commun (52%) et partagent leurs expériences (51%). En revanche, seuls 3 Français sur 10 (31%) pensent que les deux générations se comprennent bien. Aux yeux des Français, les jeunes devraient surtout apporter aux personnes âgées leur aide pour les tâches pénibles de la vie quotidienne Pour l'ensemble des Français, il faudrait que les jeunes apportent surtout aux générations âgées leur aide pour les tâches pénibles de la vie quotidienne (50%), puis leur connaissance du numérique (43%). En revanche, les personnes âgées de 65 ans et plus placent en 1ère position l'affection des jeunes (45%) L'organisation de visites au domicile des personnes âgées : la meilleure solution pour renforcer les liens intergénérationnels Pour permettre d'aller vers une société plus fraternelle à l'avenir, l'idée qui se positionne en tête du classement des Français est l'organisation de visites au domicile des personnes âgées par des jeunes, notamment au travers du bénévolat ou du service civique (52%).
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Gouvernement - Dossier de presse - Agir pour les aidants : Stratégie de mobil... - 0 views

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    En France, 8 à 11 millions de personnes soutiennent un proche en perte d'autonomie pour des raisons liées à l'âge, à un handicap, à une maladie chronique ou invalidante. La mise en place d'une stratégie de mobilisation et de soutien des aidants est donc plus que nécessaire afin de reconnaître le rôle des proches aidants mais aussi d'améliorer leur qualité de vie. 6 PRIORITÉS ET 17 MESURES CLÉS POUR LES PROCHES AIDANTS Priorité 1 : rompre l'isolement des proches aidants et les soutenir au quotidien. Mise en place d'un numéro téléphonique national de soutien des proches aidants dès 2020 ; création d'un réseau de lieux d'accueil labellisés « Je réponds aux aidants » dès 2020 ; création d'une plate-forme numérique « Je réponds aux aidants » d'ici à 2022 ; diversification et déploiement des offres d'accompagnement par des professionnels et des pairs dans tous les territoires. Priorité 2 : ouvrir de nouveaux droits sociaux aux proches aidants et faciliter leurs démarches administratives. Le congé de proche aidant indemnisé pour les salariés, les travailleurs indépendants, les fonctionnaires et les chômeurs indemnisés, mis en place dès octobre 2020 ; dès janvier 2020, un congé de proche aidant pourra être pris dès l'arrivée en entreprise, sans attendre 1 an comme auparavant ; dès novembre 2019, des périodes de congé proche aidant ne compteront plus dans le calcul des droits au chômage pour éviter une baisse des allocations ; dès octobre 2020, le congé de proche aidant indemnisé au titre des droits à la retraite sera pris en compte automatiquement, sans formalités à accomplir. Priorité 3 : permettre aux aidants de concilier vie personnelle et vie professionnelle. L'assouplissement du congé de présence parentale et de l'allocation journalière de présence parentale pourront être pris de façon fractionnée, par demi-journées, dès janvier 2020 ; le retour à l'emploi des aidants
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Terra Nova - Perte d'autonomie : comment mieux accompagner les aidantes et le aidants f... - 0 views

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    Conjoints, parents, enfants, amis, voisins… sont nombreux à aider une ou un proche entravé.e dans le déroulement de sa vie quotidienne en raison d'un handicap ou d'une perte d'autonomie liée à l'âge. Depuis le début des années 2000 et dans l'optique du maintien à domicile, les subsides publics - Allocation personnalisée d'autonomie (APA) pour les personnes âgées, Prestation de compensation du handicap (PCH) pour les personnes en situation de handicap - ont pour objet premier de permettre l'accès aux services professionnels dédiés à la perte d'autonomie. Cependant, ces deux allocations permettent aussi, dans des conditions précisées par la loi, de rémunérer des proches, qu'il s'agisse de parents, d'amis ou de voisins. Le paiement se fait alors à l'heure de travail d'aide consentie. La monétarisation de l'aide quotidienne entre proches se présente le plus souvent lorsque l'engagement des individus dans l'aide est important et inscrit dans la durée. La monétarisation de l'aide des proches ne va pourtant pas de soi. Elle se déploie au sein de relations intimes, familiales ou de grande proximité, dans un contexte institutionnel dont les inspirations politiques ou normatives sont diverses et potentiellement antagonistes. Qui est en charge de l'aide ? Comment la question des revenus et de la protection sociale des proches aidants se gère-t-elle, à la fois en situation, mais aussi en relation avec les dispositifs de l'action publique ? Et, de ce point de vue, comment les normes instituées et les normes familiales ou locales cohabitent-elles ? Que dire encore de l'intégration concrète des aidants dans des systèmes d'aide organisés ? La présente enquête d'une équipe de recherche pour Terra Nova permet d'éclairer une série de difficultés récurrentes et permet une exploration inédite et détaillée de questions-clés : le moment de la décision, entre motivations personnelles et pression
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Ipsos / Fondapol - Les addictions chez les jeunes (14-24 ans) : l'urgence d'u... - 0 views

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    L'enquête sur les addictions chez les jeunes se fonde sur un échantillon de 1 000 jeunes âgés de 14 à 24 ans représentatif de cette population interrogée par Ipsos. Nous avons également souhaité soumettre notre questionnaire à un échantillon de parents de jeunes de 14-24 ans (402 parents), ainsi qu'au grand public (2 005 personnes) pour mesurer les écarts de perception entre leur propre réalité et celle des jeunes générations. En raison du nombre d'addictions existantes, nous avons fait le choix de centrer le questionnaire sur l'alcool, le tabac, les drogues les plus fréquentes (cannabis, cocaïne, ecstasy, MDMA et GHB), le porno, les jeux vidéo, les réseaux sociaux et les jeux d'argent. L'étude s'organise autour de six axes principaux d'observation et d'analyse : * les consommations déclarées de produits et de comportements potentiellement addictifs chez les jeunes ; * la perception que les parents d'enfants de 14 à 24 ans ont de ces consommations chez les jeunes du même âge ; * la perception que le grand public a de ces consommations chez les jeunes de 14 à 24 ans ; * le niveau de connaissance des risques encourus ; * le système d'attribution des responsabilités ; * le degré d'acceptabilité des différentes mesures de prévention et de soins concernant ces consommations et ces addictions.
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IFRAP - Retraites Santé : Oser les vraies réformes - 0 views

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    Les systèmes de retraite et de santé français constituent les postes de dépenses de loin les plus importants de notre protection sociale. Et avec respectivement 14% et 12% du PIB, ils se situent parmi les plus chers des pays d'Europe. Compte tenu du vieillissement de la population et des changements dans les risques sanitaires que ce vieillissement entraîne (prédominance des maladies chroniques et liées à la dépendance), mais aussi compte tenu du poids de la dette sociale (135 milliards d'euros restent à amortir par la Cades) ces deux piliers de notre protection sociale doivent être réformés, ce qui implique de ne pas avoir peur de repenser notre modèle social. Mais les réformes à mener ne sont pas les mêmes : la retraite est un risque au sens de la Sécurité sociale certain. Le gérant doit assurer un travail simple: collecter les cotisations, prévoir le nombre d'actifs et de retraités, verser les retraites en appliquant des règles précises. Il doit surtout assurer l'équilibre en fonction de paramètres limités et, pour certains, sur lesquels il ne peut quasiment pas agir (démographie). Il dispose de peu de latitude : l'âge, le montant de la pension et le taux de cotisation. Le déficit de compétitivité de la France écarte la possibilité d'augmenter les cotisations pour financer le système. Dès lors, il faut : Reporter l'âge l'égal à 65 ans en 2028 ; Créer un régime unique et universel par points ; Aligner les systèmes de retraite public et privé ; Introduire une part de capitalisation sans augmenter le montant total des cotisations. La santé est un risque aléatoire et la qualité de la prestation de soin (hôpital, médecine de ville, médicaments) est très variable. La responsabilité du gérant d'un système d'assurance maladie est très différente puisqu'il va devoir choisir, parmi un large panel de solutions, la meilleure solution au meilleur coût. La santé est par ailleurs u
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Limoges - Lettre pastorale de Mgr Bozo - En chemin vers les ostensions 2020-2023 - 0 views

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    Chaque année, j'ai écrit une « lettre aux diocésains » pour rendre compte de mes découvertes, de mes questions et suggérer des points d'attention. Celle que je vous adresse en cette rentrée pastorale est plus consistante. Elle s'intitule « En chemin vers les ostensions » et veut s'inscrire dans le sillage de la belle lettre pastorale de mon prédécesseur, « Un peuple en marche », datée de la Toussaint 2014. Elle vise à donner quelques perspectives pour qu'ensemble, nous marchions vers l'achèvement du Royaume, puisque c'est pour cela qu'existe l'Église. Nous ne pouvons, en effet, avancer qu'ensemble, l'Église étant « dans le Christ, en quelque sorte le sacrement, c'est-àdire le signe et le moyen de l'union intime à Dieu et de l'unité de tout le genre humain ». Avancer ensemble, c'est un des axes majeurs du pontificat du Pape François, qui invite à une Église « synodale » c'est-à-dire soucieuse d'accueillir les dons et les charismes que l'Esprit Saint répand dans la communauté. Nos paroisses, mouvements et services, notre diocèse, ne manquent pas de lieux d'expression et de mise en œuvre de cette synodalité. Je souhaite que nous continuions de les favoriser. L'équipe d'éveil synodal initiée en septembre dernier vise à chercher des pistes concrètes pour faire vivre partout cette synodalité et rester ainsi à l'écoute du monde et des communautés de notre diocèse. C'est suite au travail de cette première année de l'équipe d'éveil synodal, croisé avec celui du conseil épiscopal, que j'écris ces lignes, à la lumière de nos échanges et de ce que je crois que le Seigneur m'inspire. Le but de cette lettre n'est ni d'indiquer des réformes de structures ni de proposer un modèle paroissial original ou d'instituer de nouveaux ministères. Certains en seront peut-être déçus. Je ne suis pas opposé aux réformes. Mais il me semble que les structures pastorales issu
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