La pandémie actuelle, parce qu'elle génère incertitude, peur, isolement et deuils, a et aura des conséquences fortes sur la santé mentale des Français. Entre fin septembre et début novembre 2020, la prévalence des troubles dépressifs a doublé, touchant tout particulièrement les jeunes et les plus précaires. La hausse des souffrances psychiques et les impacts psychiatriques de la pandémie vont sans aucun doute constituer l'un des grands défis des prochaines années.
En proposant une prise en charge innovante des troubles les plus fréquents (la dépression, les troubles anxieux, les troubles du stress post-traumatique), cette étude ouvre la voie à une approche centrée sur les patients, à moins de stigmatisation et à un meilleur accès aux soins. S'appuyer sur les médecins généralistes et les pédiatres pour la prise en charge des troubles fréquents, intégrer la prise en charge de la santé mentale en médecine de premiers recours, favoriser les collaborations entre professionnels et le partage d'information grâce au digital constituent autant de pistes pour améliorer de façon significative la prise en charge des patients.
Cette étude s'appuie sur les travaux scientifiques menés depuis plus de vingt ans sur ce sujet et sur de nombreux échanges avec des médecins de premiers recours, des patients, des psychiatres et des psychologues en France comme aux États-Unis.
"Dans sa traditionnelle bénédiction urbi et orbi, cette année exceptionnellement prononcée depuis l'intérieur du Palais apostolique, le pape François a encouragé chacun à « rencontrer l'autre différent de moi », « même s'il n'est pas de ma famille, de mon ethnie, de ma religion »."
Les effets de la récente crise sanitaire : nombre croissant de personnes en situation précaire, fragilités de certains modèles de production et circuits de distribution…, ont contribué à refaire de l'alimentation un enjeu de société majeur. Le système alimentaire mondialisé construit au XXème siècle, du fait de ses impacts sur le climat, la santé et les ressources naturelles, n'est pas durable et doit être repensé en privilégiant une approche territoriale systémique. Les initiatives autour des circuits courts et de proximité et des Projets alimentaires territoriaux qui se multiplient, amorcent une transition vers des modèles plus résilients mais restent cependant encore éparpillées. Les politiques publiques trop cloisonnées se confrontent aux stratégies économiques de segmentation commerciale, avec le risque de renforcer les ségrégations sociales. La transition alimentaire suppose une large accessibilité des régimes alimentaires durables, en permettant aux citoyennes et aux citoyens d'être acteurs de ce changement. L'avis formule des préconisations pour permettre l'accès de toutes et tous à une alimentation durable, de qualité, saine, équilibrée et ancrée dans les territoires.
Les effets de la récente crise sanitaire : nombre croissant de personnes en situation précaire, fragilités de certains modèles de production et circuits de distribution…, ont contribué à refaire de l'alimentation un enjeu de société majeur. Le système alimentaire mondialisé construit au XXème siècle, du fait de ses impacts sur le climat, la santé et les ressources naturelles, n'est pas durable et doit être repensé en privilégiant une approche territoriale systémique. Les initiatives autour des circuits courts et de proximité et des Projets alimentaires territoriaux qui se multiplient, amorcent une transition vers des modèles plus résilients mais restent cependant encore éparpillées. Les politiques publiques trop cloisonnées se confrontent aux stratégies économiques de segmentation commerciale, avec le risque de renforcer les ségrégations sociales. La transition alimentaire suppose une large accessibilité des régimes alimentaires durables, en permettant aux citoyennes et aux citoyens d'être acteurs de ce changement. L'avis formule des préconisations pour permettre l'accès de toutes et tous à une alimentation durable, de qualité, saine, équilibrée et ancrée dans les territoires.
"En ces temps de crise sanitaire, vous ne savez peut-être pas de quelle manière vous pouvez donner la communion aux malades.
Sœur Valérie Besin (responsable du service liturgie et sacrements) et Claire Hardy (responsable des aumôneries des hôpitaux) vous apportent quelques éclairages."
"En ce moment historique, marqué par la crise écologique, et par de graves déséquilibres économiques et sociaux aggravés par la pandémie du coronavirus, nous avons plus que jamais besoin de fraternité. Et Dieu nous l'offre en nous donnant son Fils Jésus"
"À cause du Covid-19, l'écrasante majorité des personnes âgées de l'Ehpad « Ma Maison » de Saint-Malo n'ont pas pu retrouver, jeudi 24 décembre, leurs proches."
"Des soignants ont aménagé un camion en unité médicale, circulant dans les quartiers populaires et dans les déserts médicaux pour proposer des dépistages gratuits de santé. "
Le ministre des solidarités et de la santé a saisi le 20 novembre 2020 le CCNE afin qu'il « contribue à la définition d'un cadre éthique sur la politique de vaccination, en particulier sur l'obligation de la vaccination contre la Covid-19, ainsi que sur les questions liées à la possibilité de […] choisir entre plusieurs types de vaccins. » Cette saisine a été faite alors que se met en place une nouvelle stratégie de prévention avec l'arrivée de vaccins dont les phases III viennent d'être publiées dans des revues scientifiques et qu'ils vont recevoir en Europe une autorisation de mise sur le marché. Le CCNE fait part de ses réflexions dans une Opinion adressée au ministre le 18 décembre « Enjeux éthiques d'une politique vaccinale contre le SARS-COV-2 ».
Le ministre des solidarités et de la santé a saisi le 20 novembre 2020 le CCNE afin qu'il « contribue à la définition d'un cadre éthique sur la politique de vaccination, en particulier sur l'obligation de la vaccination contre la Covid-19, ainsi que sur les questions liées à la possibilité de […] choisir entre plusieurs types de vaccins. » Cette saisine a été faite alors que se met en place une nouvelle stratégie de prévention avec l'arrivée de vaccins dont les phases III viennent d'être publiées dans des revues scientifiques et qu'ils vont recevoir en Europe une autorisation de mise sur le marché. Le CCNE fait part de ses réflexions dans une Opinion adressée au ministre le 18 décembre « Enjeux éthiques d'une politique vaccinale contre le SARS-COV-2 ».
L'entourage familial et social des personnes âgées résidant en établissement et les modalités de l'aide donnée par leur proche-aidants sont une question politique de premier plan. Cette population concerne principalement des femmes âgées (77 % des résidents d'établissement pour personnes âgées sont des femmes de plus de 75 ans) dans la majorité des cas veuves, qui finissent plus souvent leur vie que les hommes en établissement. Le réseau familial des résidents est plus restreint que celui des personnes âgées du même âge qui vivent à leur domicile, ce qui peut être une des raisons, avec l'aggravation de l'état de santé, de l'entrée en établissement. Le décès du conjoint est un événement qui peut bouleverser une configuration d'aide et entrainer la décision de quitter le domicile. Pour autant, l'enquête CARE de la DREES montre que la fréquence des relations des résidents avec leur famille, notamment les enfants, reste élevée, même si les relations amicales diminuent avec l'âge et l'état de santé.
Les bénéficiaires de l'allocation aux adultes handicapés et du minimum vieillesse sont particulièrement touchés par l'isolement social
Fin 2018, les bénéficiaires de revenus minima garantis (c'est-à-dire de minima sociaux ou de la prime d'activité) fin 2017 sont plus concernés par l'isolement social que l'ensemble de la population. Ainsi, d'après l'enquête de la DREES auprès des bénéficiaires de minima sociaux (BMS) 2018, ils sont beaucoup plus nombreux à vivre dans un ménage composé d'une personne seule (38 % d'entre eux contre 20 % dans l'ensemble de la population).
La fréquence des relations (rencontres de visu ou contacts dématérialisés) de ces bénéficiaires de revenus minima garantis avec la famille et les amis est plus faible que celle de l'ensemble de la population, notamment pour les bénéficiaires du minimum vieillesse (graphique A). Ces derniers sont 8 % à n'avoir des relations avec leur entou-rage que moins d'une fois par mois (ou à ne pas avoir d'entourage) tandis que cette part est de 3 % pour l'ensemble des bénéficiaires de revenus minima garantis et de 1 % pour l'ensemble de la population [1].
En approchant les liens avec la famille et les amis non plus en termes de fréquence, mais en termes de qualité des relations, les bénéficiaires de revenus minima garantis sont 19 % à être concernés par ce type d'isolement. Cela signifie qu'au moins une des trois conditions suivantes n'est pas vérifiée : compter pour quelqu'un, pouvoir compter sur quelqu'un pour recevoir un soutien moral, ou que quelqu'un puisse compter sur le bénéficiaire pour recevoir un soutien moral. Près de trois bénéficiaires du minimum vieillesse et de l'AAH sur dix sont isolés en termes de qualité des relations. Les bénéficiaires de la prime d'activité sont les moins concernés par l'isolement (13 %).
Toutes choses (caractéristiques sociodémographiques, etc.) égales par ailleurs, les
" Comment ça, "nos vieux ont le seum" ?!
Ils ont 87, 90 et 96 ans. Ils s'appellent André, Juliane, Jacques, Marie-Annick et Edith. Ils viennent d'horizons différents et ne sont pas dans les mêmes conditions physiques. Chacun, ils partagent leur flamme, leur histoire, et ce qui les fait tenir au quotidien. "Du feu de vieux!", la série qui leur donne enfin la parole.
La pandémie actuelle, parce qu'elle génère incertitude, peur, isolement et deuils, a et aura des conséquences fortes sur la santé mentale des Français. Entre fin septembre et début novembre 2020, la prévalence des troubles dépressifs a doublé, touchant tout particulièrement les jeunes et les plus précaires. La hausse des souffrances psychiques et les impacts psychiatriques de la pandémie vont sans aucun doute constituer l'un des grands défis des prochaines années.
En proposant une prise en charge innovante des troubles les plus fréquents (la dépression, les troubles anxieux, les troubles du stress post-traumatique), cette étude ouvre la voie à une approche centrée sur les patients, à moins de stigmatisation et à un meilleur accès aux soins. S'appuyer sur les médecins généralistes et les pédiatres pour la prise en charge des troubles fréquents, intégrer la prise en charge de la santé mentale en médecine de premiers recours, favoriser les collaborations entre professionnels et le partage d'information grâce au digital constituent autant de pistes pour améliorer de façon significative la prise en charge des patients.
Cette étude s'appuie sur les travaux scientifiques menés depuis plus de vingt ans sur ce sujet et sur de nombreux échanges avec des médecins de premiers recours, des patients, des psychiatres et des psychologues en France comme aux États-Unis.
"En première ligne face à cette crise sanitaire inédite, le monde de la santé a aussi été un lieu de présence pastorale forte pour l'église et les chrétiens engagés auprès des malades, des personnes handicapées, en aumôneries hospitalières... Relecture de l'année par le P. Jacques Faucher, médecin et délégué diocésain au monde de la santé."
"Florence Galy, responsable diocésaine des aumôneries hospitalières en Gironde, revient sur les défis qu'ont dû relever les aumôniers pour mener à bien leur mission d'Eglise malgré la crise sanitaire et le confinement. Elle témoigne de plusieurs initiatives pour garder du lien entre eux, les soignants, les familles et les malades..."
"Comment ça, "nos vieux ont le seum" ?!
Ils ont 87, 90 et 96 ans. Ils s'appellent André, Juliane, Jacques, Marie-Annick et Edith. Ils viennent d'horizons différents et ne sont pas dans les mêmes conditions physiques. Chacun, ils partagent leur flamme, leur histoire, et ce qui les fait tenir au quotidien. "Du feu de vieux!", la série qui leur donne enfin la parole.
"A la veille de Noël, l'évêque de Quimper et Léon évoque les effets de la crise sanitaire du Covid-19 sur la vie du diocèse. Mgr Laurent Dognin lance un appel à la fraternité." [RDP du 22 décembre 2020]
"Chanter masqué, un test négatif sous le bras, les grands-parents en bout de table… des professionnels de la santé délivrent leurs conseils pour passer des fêtes de Noël en famille, avec plus de sécurité et moins d'anxiété."