sida, test sida Le plus souvent, celui-ci s'agit d'un prélèvement de sang déposé sur un sorte de buvard dont est codé puis envoyé à un laboratoire d'analyse. La personne demande ultérieurement par téléphone le résultat au laboratoire, en demeurant anonyme grâce à son code. En cas en compagnie de résultat positif, elle est ceci plus souvent mise en relation, au téléphone, avec une homme qui lui donne des explications et avérés conseils. Le essai "Home Access Express HIV-1 Test System" fabriqué dans le laboratoire Home Access Health Communauté a même été approuvé par l'agence américaine du médicament, la célèbre Food and Drug Administration. Récemment, un dispositif ne nécessitant qu'un prélèvement de salive a été commercialisé aux Etats-Unis.
L'autotest à domicile : L'autotest s'effectue à demeure. Le prélèvement, la déchiffrage et l'interprétation des résultats sont effectués parmi l'individu lui-même. L'individu est ainsi seul, face au résultat, sans qu'aucune affluence d'un professionnel de santé soit réalisable. Basé sur la recherche d'anticorps spécifique, ces épreuve proposent une réponse en 1 temps, avec une visualisation proche de celle certains tests de grossesse : Un seule bande colorée, vous n'êtes marche infecté - Deux bandes colorées et toi-même êtes séropositifs.
Au-delà des réserves techniques, le directeur général de la santé avait demandé son avis sur le enclin au Comité consultatif national d'éthique. De nombreuses réserves éthiques
test sida
Selon ceci CCNE, ces autodiagnostics peuvent paraître séduisants à plus d'un titre. Ils pourraient en effet permettre "un diagnostic plus précoce", "un élargissement du chiffre de personnes connaissant leur règle sérologique", "une responsabilisation de la être sexuelle" tout en respectant "la confidentialité" ensuite en évitant "toute stigmatisation". Néanmoins, ces avantages non semblent pas peser bravissimo lourds vis-à-vis des réserves éthiques et procédé soulignées dans l'avis des sages :
Jusqu'à 50 % avec faux positifs
S'appuyant sur un chemise du Conseil national du Sida et seul étude du Centre du contrôle des épidémies américain (CDC), le nombre de faux positif des autotest pourrait atteindre 50 %. Ce dont veut dire qu'une personne sur deux se penserait à tort porteuse du virus du sida. En outre, certains de ces épreuve rapides ne permettent de dépister lequel l'infection par le grain VIH1, à l'exclusion de celle dans le VIH2 qui contamine ces populations de certains pays africains. Ces données soulignent la nécessité d'une confirmation parmi un test en laboratoire.
L'absence d'encadrement médical
Durant le salaire qui suit l'infection, la individu n'a pas développé les antigène spécifiques permettant le diagnostic. L'absence avec conseil par unique professionnel de santé pourrait ainsi conduire paradoxalement à un augmentation de cette prise de risques liée à unique autotest négatif. Jugeant l'intervention téléphonique d'expert insuffisante, le CCNE juge que "l'absence en compagnie de prise en charge médicale constitue une véritable négation de la responsabilité médicale et va à l'encontre d'une politique en compagnie de santé publique. La prise en charge administrative et sociale dont doit accompagner l'annonce d'un résultat positif n'est pas assurée, dans particulier pour les personnes parmi situation de précarité (lequel d'ailleurs hésiteraient à recourir à un test non remboursé par la sécurité sociale)". Dans ailleurs, une telle déclaration peut susciter un état de détresse puis des conséquences importantes sur le schéma social ;
Le plus souvent, celui-ci s'agit d'un prélèvement de sang déposé sur un sorte de buvard dont est codé puis envoyé à un laboratoire d'analyse. La personne demande ultérieurement par téléphone le résultat au laboratoire, en demeurant anonyme grâce à son code. En cas en compagnie de résultat positif, elle est ceci plus souvent mise en relation, au téléphone, avec une homme qui lui donne des explications et avérés conseils. Le essai "Home Access Express HIV-1 Test System" fabriqué dans le laboratoire Home Access Health Communauté a même été approuvé par l'agence américaine du médicament, la célèbre Food and Drug Administration. Récemment, un dispositif ne nécessitant qu'un prélèvement de salive a été commercialisé aux Etats-Unis.
L'autotest à domicile : L'autotest s'effectue à demeure. Le prélèvement, la déchiffrage et l'interprétation des résultats sont effectués parmi l'individu lui-même. L'individu est ainsi seul, face au résultat, sans qu'aucune affluence d'un professionnel de santé soit réalisable. Basé sur la recherche d'anticorps spécifique, ces épreuve proposent une réponse en 1 temps, avec une visualisation proche de celle certains tests de grossesse : Un seule bande colorée, vous n'êtes marche infecté - Deux bandes colorées et toi-même êtes séropositifs.
Au-delà des réserves techniques, le directeur général de la santé avait demandé son avis sur le enclin au Comité consultatif national d'éthique.
De nombreuses réserves éthiques
test sida
Selon ceci CCNE, ces autodiagnostics peuvent paraître séduisants à plus d'un titre. Ils pourraient en effet permettre "un diagnostic plus précoce", "un élargissement du chiffre de personnes connaissant leur règle sérologique", "une responsabilisation de la être sexuelle" tout en respectant "la confidentialité" ensuite en évitant "toute stigmatisation". Néanmoins, ces avantages non semblent pas peser bravissimo lourds vis-à-vis des réserves éthiques et procédé soulignées dans l'avis des sages :
Jusqu'à 50 % avec faux positifs
S'appuyant sur un chemise du Conseil national du Sida et seul étude du Centre du contrôle des épidémies américain (CDC), le nombre de faux positif des autotest pourrait atteindre 50 %. Ce dont veut dire qu'une personne sur deux se penserait à tort porteuse du virus du sida. En outre, certains de ces épreuve rapides ne permettent de dépister lequel l'infection par le grain VIH1, à l'exclusion de celle dans le VIH2 qui contamine ces populations de certains pays africains. Ces données soulignent la nécessité d'une confirmation parmi un test en laboratoire.
L'absence d'encadrement médical
Durant le salaire qui suit l'infection, la individu n'a pas développé les antigène spécifiques permettant le diagnostic. L'absence avec conseil par unique professionnel de santé pourrait ainsi conduire paradoxalement à un augmentation de cette prise de risques liée à unique autotest négatif. Jugeant l'intervention téléphonique d'expert insuffisante, le CCNE juge que "l'absence en compagnie de prise en charge médicale constitue une véritable négation de la responsabilité médicale et va à l'encontre d'une politique en compagnie de santé publique. La prise en charge administrative et sociale dont doit accompagner l'annonce d'un résultat positif n'est pas assurée, dans particulier pour les personnes parmi situation de précarité (lequel d'ailleurs hésiteraient à recourir à un test non remboursé par la sécurité sociale)". Dans ailleurs, une telle déclaration peut susciter un état de détresse puis des conséquences importantes sur le schéma social ;