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les solutions alternatives contre le chômage - 0 views

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    "Revenu"
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Le National rejette massivement l'idée d'un revenu de base inconditionnel (Le... - 0 views

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    L'idée d'obliger la Confédération à distribuer 2500 francs par mois pour tous et sans travail en retour fait la quasi unanimité contre elle. Le National a recommandé mercredi le rejet de l'initiative populaire "Pour un revenu de base inconditionnel". La décision est tombée par 146 voix contre 14 et 12 abstentions.
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Le National rejette l'initiative pour un revenu sans travail (Le Temps) - 2 views

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    Berne (awp/ats) - L'idée d'obliger la Confédération à distribuer 2500 francs par mois pour tous et sans travail en retour fait la quasi unanimité contre elle. Le National a recommandé mercredi le rejet de l'initiative populaire "Pour un revenu de base inconditionnel". La décision est tombée par 146 voix contre 14 et 12 abstentions.
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A propos du libéralisme - Yann Moulier-Boutang - 0 views

  • Nous ne pouvons pas (c'est malheureusement l'erreur qu'a commise le mouvement ouvrier et il l'a payé fort cher) abandonner la liberté au libéralisme, ni la tradition politique du libéralisme aux multinationales et aux néo-libéraux.
  • L'avènement des "totalitarismes" scindera les libéraux. D'un côté les adversaires résolus du fascisme, du nazisme, du corporatisme franquiste comme de la dictature du socialisme réel, exigent le préalable du rétablissement des droits fondamentaux de la liberté de réunion, d'association, de presse (sans parler de la question non négligeable des persécutions raciales à l'égard des Juifs). De l'autre, le gros bataillon des libéraux économiques choisit l'accumulation capitaliste, la défense de la propriété en fermant les yeux sur la forme autoritaire de l'Etat (modèle repris par les militaires en Amérique Latine). Le néolibéralisme sous la pax americana après la chute du socialisme réel, dilue nettement le dernier ferment d'opposition dont avaient été porteurs les libéraux. Le marché et la démocratie bourgeoise n'ayant plus de contre-modèle, le néo-libéralisme est absorbé presque totalement dans la sphère économique, excepté peut-être quand les débats de "société" sur le liberté d'éduquer les enfants dans la religion ou la langue des parents rappellent les grands combats des libéraux et des libertins.
  • Cette genèse de la liberté politique à partir seulement de la propriété, du commerce et du marché fonde simultanément la science politique du contrat et l'économie politique de l'accumulation. C'est à partir de cette déduction rationnelle qu'a été construit l'esprit du libéralisme économique dans son lien étroit avec la liberté politique des individus.
  • ...6 more annotations...
  • La véritable généalogie de l'individu, du contrat et du marché, n'est pas livrée par une structure dialectique où l'individu libre seraient le résultat et le dépassement d'une thèse (l'asservissement politique collectif de l'ancien régime), et d'une l'antithèse (la création des droits de propriété et le développement du marché économique).
  • L'esclave et le serf font sécession politique et économique et ce faisant, ils confèrent à la vis activa le ressort que leur confère la recherche de leur libération : leur conquête de la liberté de circuler librement (la première étant celle de quitter la terre, de rompre le contrat asservissant, exactement comme le peuple juif en Egypte dans l'Exode). C'est-à-dire qu'ils inventent ce qui est efficace dans le marché, sa mobilité (chez Marx l'explication réelle de la péréquation des taux de profit). La marche de libération ouvre la route au marché de la liberté et à celui des droits de propriété.
  • Il existe (et je l'ai montré pour le marché du travail libre qui fut inventé par les esclaves dans leur lutte contre l'esclavage) donc un lien très profond entre la liberté et le marché, et le libéralisme historique l'a bien compris. Simplement il présente ce lien à l'envers : la liberté politique est déduite par les partisans de Cromwell du marché, comme Locke déduit l'individu à la conquête du monde et des libertés de la propriété illimitée bourgeoise. Mais le marché est une conséquence de la liberté d'entreprendre (mais d'entreprendre sa libération et non d'assujettir plus de travail dépendant), et une conséquence de la marche vers la liberté.
  • Le marché est politique, il est plein de bruit et de fureur (même dans la mondialisation actuelle avec ses spéculations folles, ses errements), il ne peut être séparé de la marche vers la liberté, des tentatives de libération. Le libéralisme a affûté ses armes en apprenant à retourner cette marche vers la liberté en marché de la liberté politique, c'est pourquoi il est toujours intéressant. Il ne faut pas cesser de le surveiller. On apprend plus sur la composition réelle des multitudes (1) du Sud dans la mondialisation en lisant L'autre sentier de Hernando De Soto, ou son dernier ouvrage The mystery of Capital, qu'en dénonçant abstraitement le capitalisme.
  • Le marché domine certes la planète dans les têtes comme modèle, mais jamais on n'a vu un rythme pareil de concentration, de formation de méga-firmes en particulier dans le domaine des communications, de production de logiciels. La capitalisme triomphant comme modèle mondial s'éloigne dans la réalité de plus en plus de la représentation d'une multiplicité de petits producteurs et offreurs procédant à des échanges décentralisés où l'Etat, la grande entreprise seraient là pour la figuration. En ce sens, le libéralisme est derrière nous. Et le néolibéralisme n'aura été que l'idéologie de passage à un degré de concentration du capital jamais vue jusqu'alors comme la façon commode de lever des capitaux sur la création de titres de propriété boursiers, puis d'exproprier les petits porteurs de titres du Nasdaq.
  • C'est ce quasi qui résiste pourtant à la simple dénonciation idéologique. Dans ce jeu des semblants, je persiste à lire des espoirs, des fuites. Il y a des dupes, mais pas forcément toujours les mêmes. Là où il y a les conseils d'administration des banques centrales, des grandes firmes transnationales, le décodage s'avère extrêmement complexe et abstrait. Mais là où vous rencontrez le bruissement des marchés, cherchez bien, une fugue vers la liberté, en contrepoint, précise, ironique, subversive n'est pas loin.
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Transfutur.org - Revenu Minimum d'Existence (RME) - 0 views

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    L'allocation d'un revenu minimum d'existence, sans contre partie en travail, choque les mentalités. En effet" la plupart des gens admettent difficilement qu'une rémunération soit attribuée à qui ne travaille pas, estimant que c'est là le plus sûr moyen de favoriser la paresse et de déresponsabiliser l'individu. Cela choque notre base culturelle et nos mentalités. Ne dit-on pas couramment : "tu gagneras ton pain à la sueur de ton front, tout travail mérite salaire la dignité vient du travail, qui ne travaille pas ne mange pas". De fait, le revenu du travail est le moyen de contraindre au travail, et c'est ainsi que notre société a appuyé toute reconnaissance sociale sur un lien strict entre revenu et emploi. Mais si notre société s'est organisée en faisant du travail un emploi, progressivement l'emploi est devenu une marchandise et le "sans emploi" un chômeur sur la voie de l'exclusion. Or ce type d'organisation s'éteint. Et notre société est emportée dans une mutation qui la métamorphose. Notre façon antérieure d'envisager la vie devient caduque.
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Le contre-Grenelle des adeptes de la décroissance - Le Monde.fr - 2 views

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    un peu agacée par le discours très intégriste...mais bon c'est un discours rapporté...difficile de porter un jugement !
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L'abondance contre l'économie - ®om's blog - 0 views

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    Article qui met le point sur l'incapacité de notre économie à gérer l'abondance, notamment pour les oeuvres dématérialisées. De quoi à nouveau conclure que la meilleure façon de la gérer passe peut-être par le revenu de base.
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Le revenu minimum de dignité : libéral et social à la fois - Contre-Feux.com - 1 views

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    Le Revenu Minimum de Dignité que je propose - voisin du Revenu Minimum d'Existence de Y. Bresson (cf. aussi un projet de loi de C. Boutin, en mars 2003), ou le "Citizen Income", défendu au niveau européen par le "BIEN" (Basic Income European Network) - est un Revenu "Universel" que toucherait chacun de nos concitoyens, et qui se substituerait à la plupart des revenus sociaux, en particulier le RMI et le RSA.
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