« Nos enquêtes devront encore être approfondies, vérifiées et confirmées à travers de nouveaux témoignages, mais selon ce que nous avons pu établir jusqu'à présent, nous avons recueilli des témoignages concernant l'utilisation d'armes chimiques, en particulier du gaz innervant, par les opposants, et non par le gouvernement. » Elle a tenu à ajouter que « nous ne pouvons pas exclure que le gouvernement ait utilisé des armes chimiques ». Ce qui n'a pas empêché l'ONU de tenter de minimiser, voire de désavouer ses propos.l'effet d'une bombeLa Commission d'enquête a affirmé, lundi, qu'elle « n'a pas atteint des résultats permettant de conclure que des armes chimiques ont été utilisées par les parties au conflit. En conséquence et à ce jour, la Commission n'est pas en mesure de commenter davantage ces allégations ». Bref, alors que tous les services de renseignements de la planète affirment qu'il y a bien eu utilisation de gaz - la question portant sur les utilisateurs -, la Commission de l'ONU, elle, n'en est même pas certaine ! Pourtant, les équipes de la Commission, parce qu'elles n'ont jamais reçu le feu vert de Damas pour entrer en Syrie, interrogent des réfugiés, des victimes et des médecins notamment, dans les pays voisins, ce qui ne donne que plus de poids à ces témoignages.Reste qu'à l'évidence, les déclarations de del Ponte ont eu l'effet d'une bombe, alors que depuis plus de dix jours maintenant, les chancelleries européennes et américaines, reprennent l'idée d'une possible utilisation d'armes chimiques par le gouvernement syrien. sac longchamp pas cher David Cameron, le premier ministre britannique, était particulièrement en pointe, remettant sur le tapis son idée d'une levée de l'embargo sur les armes afin de ravitailler la rébellion. Une idée d'ailleurs partagée par François Hollande et Laurent Fabius.La presse occidentale, le plus souvent va-t-en-guerre, érigée en conscience morale du monde, rappelait à Barack Obama ses déclarations quant à la « ligne rouge » qui serait franchie en cas d'utilisation de l'arme chimique par les troupes de Bachar Al Assad. La prudence de Washington aurait pourtant dû inciter à la… prudence.réalité plus complexeMême si cela n'exonère en rien le régime en place à (Damas, les révélations de Carla del Ponte mettent un terme à la fable du camp des gentils contre les méchants. La réalité politique et militaire est évidemment plus complexe. Il serait peut-être temps d'en tenir compte pour dégager une véritable solution politique et non militaire. sac longchamp pliage pas cher Il est maintenant évident que la livraison d'armes serait dramatique pour la Syrie et pour la région tout entière. Et si demain les missiles sol-air fournis à des groupes islamistes servaient à abattre des avions de ligne remplis de passagers civils?Un puissant gaz neurotoxique. Le sarin, dont les rebelles syriens auraient faire usage, est un puissant gaz neurotoxique, inodore et invisible, découvert en 1938 en Allemagne. Il tient son nom de ses inventeurs : Schrader, Ambros, Rüdiger et Van der Linde. Outre son inhalation, le simple contact avec la peau de ce gaz organophosphoré bloque la transmission de l'influx nerveux et entraîne la mort par arrêt cardio-respiratoire. La dose létale est d'un demi-milligramme pour un adulte. Les victimes se plaignent d'abord de maux de tête violents et présentent des pupilles dilatées. trousse longchamp pas cher Surviennent ensuite convulsions, arrêts respiratoires et coma précédant la mort. Il peut être utilisé en aérosol et servir à empoisonner l'eau ou la nourriture. Pierre BarbanceyLibye : adoption d'une loi controversée et siège de ministères levé Sous la pression de milices armées qui faisaient (le siège de deux ministères, l'Assemblée nationale libyenne a voté hier par 115 voix sur 157 le premier article d'une loi controversée qui exclut de la vie politique libyenne toute personne ayant occupé (un poste de responsabilité sous le régime de Mouammar Kadhafi. Parallèlement, les hommes (des milices qui cernaient les ministères ont annoncé qu'ils suspendaient leur mouvement.Manifestation d'islamistes bangladais contre le blasphème Au moins trois personnes ont été tuées hier (au Bangladesh lors de violents affrontements entre les forces de l'ordre et des dizaines (de milliers d'islamistes radicaux réclamant (une loi sur le blasphème. Les violences se sont produites autour de la plus grande mosquée (du pays, au centre de la capitale Dacca, quand des milliers de manifestants ont jeté des pierres (sur la police aux cris de « Allah Akbar » ((Dieu est grand) ou « les athées doivent être pendus ».Moscou : manifestation de l'opposition un an après le retour de Poutine Près d'un millier de Russes ont manifesté (hier à Moscou pour demander la libération de personnes (détenues à la suite d'un rassemblement qui avait dégénéré il y a un an, au moment du retour au Kremlin de Vladimir Poutine critiqué par l'opposition.
David Cameron, le premier ministre britannique, était particulièrement en pointe, remettant sur le tapis son idée d'une levée de l'embargo sur les armes afin de ravitailler la rébellion. Une idée d'ailleurs partagée par François Hollande et Laurent Fabius.La presse occidentale, le plus souvent va-t-en-guerre, érigée en conscience morale du monde, rappelait à Barack Obama ses déclarations quant à la « ligne rouge » qui serait franchie en cas d'utilisation de l'arme chimique par les troupes de Bachar Al Assad. La prudence de Washington aurait pourtant dû inciter à la… prudence.réalité plus complexeMême si cela n'exonère en rien le régime en place à (Damas, les révélations de Carla del Ponte mettent un terme à la fable du camp des gentils contre les méchants. La réalité politique et militaire est évidemment plus complexe. Il serait peut-être temps d'en tenir compte pour dégager une véritable solution politique et non militaire. sac longchamp pliage pas cher Il est maintenant évident que la livraison d'armes serait dramatique pour la Syrie et pour la région tout entière. Et si demain les missiles sol-air fournis à des groupes islamistes servaient à abattre des avions de ligne remplis de passagers civils?Un puissant gaz neurotoxique. Le sarin, dont les rebelles syriens auraient faire usage, est un puissant gaz neurotoxique, inodore et invisible, découvert en 1938 en Allemagne. Il tient son nom de ses inventeurs : Schrader, Ambros, Rüdiger et Van der Linde. Outre son inhalation, le simple contact avec la peau de ce gaz organophosphoré bloque la transmission de l'influx nerveux et entraîne la mort par arrêt cardio-respiratoire. La dose létale est d'un demi-milligramme pour un adulte. Les victimes se plaignent d'abord de maux de tête violents et présentent des pupilles dilatées. trousse longchamp pas cher
Surviennent ensuite convulsions, arrêts respiratoires et coma précédant la mort. Il peut être utilisé en aérosol et servir à empoisonner l'eau ou la nourriture. Pierre BarbanceyLibye : adoption d'une loi controversée et siège de ministères levé Sous la pression de milices armées qui faisaient (le siège de deux ministères, l'Assemblée nationale libyenne a voté hier par 115 voix sur 157 le premier article d'une loi controversée qui exclut de la vie politique libyenne toute personne ayant occupé (un poste de responsabilité sous le régime de Mouammar Kadhafi. Parallèlement, les hommes (des milices qui cernaient les ministères ont annoncé qu'ils suspendaient leur mouvement.Manifestation d'islamistes bangladais contre le blasphème Au moins trois personnes ont été tuées hier (au Bangladesh lors de violents affrontements entre les forces de l'ordre et des dizaines (de milliers d'islamistes radicaux réclamant (une loi sur le blasphème. Les violences se sont produites autour de la plus grande mosquée (du pays, au centre de la capitale Dacca, quand des milliers de manifestants ont jeté des pierres (sur la police aux cris de « Allah Akbar » ((Dieu est grand) ou « les athées doivent être pendus ».Moscou : manifestation de l'opposition un an après le retour de Poutine Près d'un millier de Russes ont manifesté (hier à Moscou pour demander la libération de personnes (détenues à la suite d'un rassemblement qui avait dégénéré il y a un an, au moment du retour au Kremlin de Vladimir Poutine critiqué par l'opposition.
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