Au travers de la figure emblématique d'Adenauer, premier chancelier de la République fédérale d'Allemagne, « Le Système Octogon » aborde frontalement le problème de la non-dénazification dans l'Allemagne d'après-guerre, comme le souligne Jean-Michel Meurice :
« Il n'y a jamais que dix-neuf personnes qui ont été condamnées à Nuremberg, alors qu'il y a des millions d'Allemands qui ont été derrière Hitler. Ce n'est pas seulement l'affaire de dix fanatiques. »