Menacé par les services secrets américains et par tous les acteurs qu'il bouscule, WikiLeaks se protège. Pas de bureau ou d'adresse physique : seule une boîte postale à l'université de Melbourne, ainsi que des adresses e-mail anonymisées permettent aux informateurs de contacter l'équipe.
L'infrastructure technique, parfois en peine par manque de financement, est basée en Suède, chez un hébergeur lié au très controversé The Pirate Bay. D'autres serveurs sont répartis dans le monde entier,
le budget annuel de 600.000 dollars n'en est pas pour autant bouclé.
Le porte-parole, Julian Assange, a toutefois mis en place un comité éditorial restreint, dont neuf noms sont dévoilés. Parmi eux, Wang Dan, l'un des 21 étudiants "les plus recherchés" par la Chine après les manifestations de Tiananmen en 1989, le Britannique Ben Laurie, génie mondialement reconnu de la cryptographie, ou encore le Brésilien Chico Whitaker, cofondateur du Forum social mondial.
WikiLeaks a travaillé avec des élus islandais sur l'Icelandic Modern Media Initiative (IMMI)
Son objectif dans la vie ? "Provoquer ou orienter des réformes politiques", en révélant des informations jusque-là cachées aux citoyens. Un peu comme ce qu'avait fait son modèle, Daniel Ellsberg, en 1971 : cet ancien analyste de la RAND Corporation (un très influent think tank américain) avait alors transmis à la presse les "Pentagon papers"
Dans le jardin des Tuileries, devant l'imposante statue de l'auteur des lois sur l'école «gratuite, laïque et obligatoire», le président a délivré «un message de confiance à l'Education nationale» et réservé ses «premiers mots de président de la République» à l'ensemble des personnels.
Il a tenu à s'adresser «aux professeurs des écoles, aux enseignants du secondaire, aux universitaires, aux chercheurs» mais «aussi à tous les agents des plus modestes jusqu'aux plus prestigieux», soulignant que l'Ecole «attendait de la considération de la nation».
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Bernard Poulin, président du groupe d'ingénieurs SM, serait entré en communication à la fin de 2006 ou au début de 2007 avec le fameux Bernard Trépanier
M. Trépanier lui annonçait qu'un contrat allait lui être donné en rapport à la décontamination du Faubourg Contrecoeur, un terrain que la Ville de Montréal s'apprêtait à vendre à Construction Frank Catania par l'entremise de la Société d'habitation et de développement de Montréal (SHDM).
Selon La Presse, l'étude réalisée par le groupe SM et commandée par la SHDM a surévalué le niveau de contamination des terrains, comme l'a montré le rapport du vérificateur général de la Ville de Montréal.
faisait partie d'un consortium qui a décroché un contrat d'ingénierie de 1,4 million $ pour se pencher sur l'avenir du pont Champlain de Montréal.
Le ministre fédéral des Travaux publics, Christian Paradis, a annoncé un financement de 212 millions $ pour le pont - et un appel d'offres pour le contrat d'ingénierie - le 20 mai dernier, la journée même où M. Housakos organisait un important événement de financement pour le Parti conservateur à Montréal.
La Presse Canadienne a obtenu une liste des individus invités à une réception spéciale tout juste avant l'événement principal. La liste de 48 personnes comprend quatre hauts dirigeants de BPR et du consortium qui a obtenu le contrat, BCDE.
Le président de BPR, Pierre Lavallée, est inscrit comme ayant fait un don de 250$ au Parti conservateur huit jours après l'événement.
deux dirigeants de l'agence fédérale qui dirige le pont, Paul Kefalas et Serge Martel.
La porte-parole libérale en matière d'éthique, Marlene Jennings, estime que le code régissant les conflits d'intérêt du Sénat semble avoir été enfreint, concernant les sénateurs qui travaillent pour les entreprises qui font affaire avec le gouvernement fédéral.
Myriam Taschereau - une ancienne candidate conservatrice qui a songé se présenter dans la course à la direction de l'ADQ - et Claude Carignan, un autre ancien adéquiste qui a été nommé sénateur peu après.