La terre tourne sur elle même à la vitesse de 1666 kilomètres à l'heure. Oui, vous avez bien lu. Ce qui est en soi assez rapide par rapport à nos déplacements à 110 kilomètres à l'heure. Ce qui explique sans doute la puissance des vents potentiels déclenchés par les ondes solaires. Si les vents sur notre planète ne dépassent pas les 250 kilomètres à l'heure, c'est sans doute grâce à l'effet de la zone plasmique que représente l'atmophère avec ses courants d'air et d'eau. Le frotement moléculaire entre les particules , la texture de la planète, de même que le froid cosmique, viennent ralentir la vitesse des vents et des courants. Le courant jet représente une couche plasmique supérieure plus prêt de l'effet coriolis causé par la rotation planétaire. C'est un peu comme si différentes sphères dotées de différentes densités thermiques étaient confinées à tourner une sur l'autre telles des engrenages décalés qui provoquent par le fait même des ondes chaotiques donc imprévisibles
Ce qui est en soi assez rapide par rapport à nos déplacements à 110 kilomètres à l'heure.
Ce qui explique sans doute la puissance des vents potentiels déclenchés par les ondes solaires.
Si les vents sur notre planète ne dépassent pas les 250 kilomètres à l'heure, c'est sans doute
grâce à l'effet de la zone plasmique que représente l'atmophère avec ses courants d'air et d'eau.
Le frotement moléculaire entre les particules , la texture de la planète, de même que le froid cosmique,
viennent ralentir la vitesse des vents et des courants. Le courant jet représente une couche plasmique supérieure
plus prêt de l'effet coriolis causé par la rotation planétaire. C'est un peu comme si différentes sphères dotées de différentes densités thermiques
étaient confinées à tourner une sur l'autre telles des engrenages décalés qui provoquent par le fait même des ondes chaotiques donc imprévisibles
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