"A l'occasion de vos déplacements en ville (re)découvrez le patrimoine religieux du cœur de ville (Chapelle des Pénitents, l'église de la Madeleine, l'église Saint-Jacques, la cathédrale Saint-Nazaire, et la basilique Saint Aphrodise) en suivant le circuit proposé dans le programme édité par la ville."
Ce cours propose une initiation aux Arts de l'Espace, tout particulièrement à l'Architecture dans ses productions religieuses.
L'approche suivant la chronologique mais en insistant sur les significations symboliques en lien avec les évolutions de l'histoire de l'Eglise, notamment les Conciles les plus importants.
"À chaque époque, les chrétiens ont su utiliser les nouveaux moyens de communication de leur temps (livres imprimés, journaux, radio) pour transmettre la foi au plus grand nombre. Il en a été de même avec le cinéma puisque, dès 1898, Georges Hatot réalisa La Vie et la Passion de Jésus Christ. Puis ce fut au tour de Georges Méliès de réaliser en 1899 un court-métrage : Le Christ marchant sur les eaux.
Depuis, la représentation religieuse au cinéma est bien un sujet à part entière : des festivals dédiés se sont créés (festival international Mirabile Dictu, festival chrétien du cinéma de Montpellier, journées « Cinéma et Réconciliation » au sanctuaire de La Salette, etc.) ; des prix sont remis à Cannes, à Berlin (jury œcuménique) ou à Venise (prix Robert-Bresson) pour récompenser des films défendant des valeurs humaines et spirituelles.
La filmothèque vaticane œuvre par ailleurs depuis des années sur un projet de recensement de toutes les productions cinématographiques qui ont traité le thème du transcendant, de 1896 à nos jours."
" croix qui trônait sur le Pic Saint-Loup (dans l'Hérault) a été coupée et renversée dans la nuit du 10 au 11 mai. Une forme de vandalisme qui tend à se répéter ces dernières années, mais nous rappelle aussi, selon Pierre Téqui, attaché de conservation, la symbolique même de ces signes religieux placés dans les hauteurs."
"Haut de près de dix mètres, l'emblématique crucifix en fer du Pic Saint-Loup a été découpé à sa base et tagué, entre dimanche 10 et lundi 11 mai, par un ou plusieurs individus semblant avoir agi « au nom de la laïcité ». Une enquête a été ouverte pour éclaircir les circonstances de ces actes, vivement condamnés par l'Église locale."