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Emmanuel AURAY

Bernard Stiegler : « Ce n'est qu'en projetant un véritable avenir qu'on pourr... - 0 views

  • Il faut ouvrir un débat en Europe, regarder les choses en face : depuis la naissance du Web, nous sommes totalement perdants. Exploitées à la façon disruptive telle que les GAFA la pratiquent, les technologies numériques accentuent la toxicité environnementale qui ne cesse de croître depuis le début de l’Anthropocène – cette ère où l’humain est devenu un facteur géologique majeur - en termes climatiques, atmosphériques, mentaux
  • Lançons une nouvelle politique européenne plutôt que de nous aligner sur un modèle américain disruptif qui est suicidaire. Inventons un nouveau Web, au service d’un modèle macroéconomique viable, plutôt que de développer une data economy totalement ruineuse
Emmanuel AURAY

Un blog est un organe de presse : Actualités du droit - 0 views

  • Si on ne sait pas exactement ce qu’est « un blog », on sait ce qu’il en est de son activité : elle est protégée par la loi sur la presse loi du 29 juillet 1881
  • « Les abus de la liberté d’expression ne peuvent être réprimés que par la loi du 29 juillet 1881 »
  • Les dérapages du blog ne peuvent être sanctionnés d’une manière générale. Ils doivent correspondre aux infractions précises définies par la loi sur la presse, telle que les interprète la jurisprudence.
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  • Les poursuites doivent être exercées en respectant toutes les formalités de la loi sur la presse, formalités complexes et bien connues pour être un véritable cimetière des procédures
Emmanuel AURAY

Rapport Cognition et communication - 0 views

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    Quand bien même cela ne recouvrirait pas l'ensemble du champ de la cognition à proprement parler, la sphère de la cognition est rapportée à l'individu pensant et agissant, c'est-à-dire au sujet rationnel doué de capacités mentales. La sphère de la communication est relative aux groupes d'individus qui échangent des informations et, par là, communiquent. Cela suppose qu'il y ait au moins deux agents qui possèdent des représentations et des intentions. Eventuellement, un ou plusieurs de ces agents peuvent être des agents rationnels artificiels, ce qui ouvre sur toutes les questions de coopération et d'interaction homme-machine. Enfin, la troisième sphère correspond au social, à savoir aux structures symboliques, aux langages et aux savoirs partagés par des populations entières.
Emmanuel AURAY

Représenter le temps de l'histoire : un exemple médiéval | Fovéa - 0 views

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    Dès lors que l'on se pose en spectateur du temps passé, en commentateur, ou en scriptor, en historien aujourd'hui, on produit une mise en représentation du temps.
Emmanuel AURAY

La créativité expliquée ? - 0 views

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    Peut-on vraiment "améliorer la créativité par des moyens précis ? Anthony McCaffrey semble relancer le débat. Sa théorie se nomme "l'hypothèse des caractéristiques obscures". Autrement dit, l'innovation consiste à remarquer les caractéristiques d'un phénomène qui sont jusque-là passées inaperçues.
Emmanuel AURAY

Entretien vidéo avec Louis Pouzin, le grand père d'Internet | Silicon - 0 views

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    Louis Pouzin revient sur la genèse de l'internet, rappelle sa contribution au protocole TCP/IP et propose une nouvelle gouvernance du réseau des réseaux avec la solution Open Root.
Emmanuel AURAY

Le non commercial, avenir de la culture libre » OWNI, News, Augmented - 0 views

  • Des modifications importantes sont envisagées, comme le fait de globaliser les licences pour ne plus avoir à les adapter pays par pays
  • A la différence des licences libres ou Open Source nées dans le secteur du logiciel, les licences Creative Commons proposent à leurs utilisateurs une option pour autoriser la réutilisation de leurs oeuvres, tout en maintenant l’interdiction de l’usage commercial.
  • Dans le domaine du logiciel libre, la clause de Partage à l’identique (SA) joue en effet un rôle important de régulation, dans la mesure où elle se déclenche fréquemment en cas de réutilisation de l’oeuvre. En effet, lorsqu’un réutilisateur modifie une oeuvre pour en produire une nouvelle, la clause SA s’applique et l’oblige à placer l’oeuvre dérivée sous la même licence (effet viral).
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  • C’est aussi le cas pour les wikis, où l’usage même implique une modification, ce qui fait que la licence CC-BY-SA convient très bien à Wikipédia.
  • Mais pour les oeuvres non-logicielles, les hypothèses de déclenchement de la clause SA sont plus rares. L’auteur d’un roman par exemple ne pourra pas empêcher que son oeuvre soit vendue, telle quelle par un éditeur s’il la place simplement sous licence BY-SA. Pour la photographie, c’est encore plus le cas. Les photos peuvent facilement être réutilisées sans modification, comme illustrations. Dans cette hypothèse, le partage à l’identique ne se déclenche pas.
  • En définissant l’usage commercial comme un “usage par une entité légale qui n’est pas une personne naturelle ou une association à but non-lucratif”, vous l’appliquez uniquement aux entreprises à but lucratif. Vous permettez aux particuliers de vendre des disques à la sauvette au pied du camion, mais vous évitez les arnaques à grande échelle qui se règlent désormais dans les salons feutrés des cabinets d’avocat. Vous permettez aux gens de partager pour autant que cela n’équivaut pas à un emploi dans une entreprise
  • Constitue un partage entre individus toute transmission d’un fichier (par échange de supports, mise à disposition sur un blog ou sur un réseau pair à pair, envoi par email, etc.) d’un lieu de stockage “ appartenant à l’individu ” à un lieu de stockage “ appartenant à un autre individu ”. “ Appartenant à l’individu ” est évident quand il s’agit d’un ordinateur personnel, d’un disque personnel ou d’un smartphone. Mais cette notion recouvre aussi un espace de stockage sur un serveur, lorsque le contrôle de cet espace appartient à l’usager et à lui seul (espace d’un abonné d’un fournisseur d’accès sur les serveurs de ce FAI, hébergement cloud si le fournisseur n’a pas de contrôle sur le contenu de cet hébergement).
  • Psychologiquement, le stade essentiel à passer pour mettre en partage son oeuvre n’est pas d’autoriser l’usage commercial. Il est en amont, dans le passage d’une logique où l’interdiction est première (copyright/Tous droits réservés), à une logique où la liberté devient la règle et la restriction l’exception (le principe de base des Creative Commons). C’est ce renversement mental qui fait entrer dans la Culture libre
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    La licence NC (non commerciale) des Creative Commons permet à chacun de diffuser la culture librement en se laissant finalement la possibilité d'en faire soi-même commerce. Insupportable pour les libristes orthodoxes. Elle est pourtant indispensable pour réformer le droit d'auteur.
Emmanuel AURAY

Pourquoi j'ai choisi de publier sous licence Creative Commons By-Sa - Framablog - 0 views

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    J'ai récemment publié un livre sous Licence Creative Commons - Paternité - Partage à l'Identique, en l'occurrence un manuel sur XeLaTeX appliqué aux sciences humaines. Je tiens à expliquer pourquoi j'ai choisi cette licence. Tout d'abord, commençons par lever un malentendu. Je ne suis pas de ces personnes qui pensent que tous les livres, ou même simplement tous les logiciels, devraient être publiés sous Licence Libre. Car si je perçois bien l'intérêt du livre libre pour la liberté du lecteur, je sais également qu'il existe un principe qui dit que la « Liberté des uns s'arrête là où commence celle des autres », je pense que la liberté du lecteur s'arrête là où commence celle de l'auteur[1]. Il était donc dans ma liberté de ne pas publier sous Licence Libre, et je le fais d'ailleurs pour certains travaux. Je suis donc attaché au droit d'auteur, dans la
Emmanuel AURAY

Blog Stéphane Bortzmeyer: Pourquoi est-ce que les licences « pas d'usage comm... - 0 views

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    On trouve souvent des contenus numériques gratuitement accessibles, librement utilisables et réutiisables mais avec une règle supplémentaire : pas d'utilisation commerciale autorisée. C'est par exemple le cas, dans la galaxie Creative Commons, des licences marquées NC (Non Commercial). Mais beaucoup d'autres licences ad hoc reprennent cette idée. En revanche, les logiciels libres comme le projet GNU, ou bien une encyclopédie comme Wikipédia, n'empêchent pas l'utilisation commerciale. Pourquoi est-ce eux qui ont raison ?
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