doudoune moncler enfant pas cher Je suis - 0 views

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  #1 nigemaiha nigemaiha on 26 Nov 13

   

  D'aper?us, à quelques patés d'immeubles de là, des réverbères, des autos, des piétons, mais ils étaient beaucoup trop loin de moi. Car, appuyés nonchalamment contre une fa?ade, à mihauteur de la rue, les deux autres membres de la bande m'attendaient. Un sourire excité se dessina sur leurs lèvres lorsque je me figeai sur place. Je compris alors que je n'avais été suivie.J'avais été traquée. Je ne m'arrêtai qu'une seconde, mais elle me parut très longue. Pivotant, je filai sur le trottoir opposé, consciente de l'inanité de cette diversion derrière moi, les bruits de s'étaient tout à coup rapprochés. moncler homme
  Te voilà donc ! La voix tonitruante de l'armoire à glace réduisit en miettes le silence de plomb, et je sursautai. Dans la pénombre grandissante, on aurait dit que son regard me traversait sans me voir. Ouais ! Brailla une autre voix derrière moi. doudoune homme cherUne fois encore, je tressaillis et tentai d'accélérer l'allure. On a juste fait un petit détour ! ajouta un de ceux qui m'avaient suivie. Malheureusement, je ne tardai à devoir ralentir. La distance qui me séparait des deux hommes postés dans la rue s'amenuisait trop vite. doudoune moncler enfant pas cher Je suis capable de pousser des hurlements stridents. J'avalai donc une grande goulée d'air, mais ma gorge était si sèche que je doutai de réussir à obtenir le volume sonore souhaité. doudoune sans manche D'un mouvement leste, je récupérai mon sac dans une main, serrant la bandoulière fermement, prête à l'abandonner ou à m'en servir comme d'une arme si besoin était. Le plus trapu des types se détacha du trottoir alors que je ralentissais prudemment et descendais sur la chaussée. Fichezmoi la paix ! Prévinsje d'un ton que je voulais ferme et assuré. Je ne m'étais trompée, hélas je n'émis qu'un glapissement. Sois comme ?a, chérie ! Rétorqua l'autre tandis que ses camarades s'esclaffaient bruyamment. Manteau moncler femme
  Jambes écartées, je me préparai à l'affrontement, essayant, malgré ma panique, de me rappeler les maigres notions d'autodéfense que je possédais. Tranchant de la main lancé en l'air en espérant réussir à briser le nez ou à l'enfoncer dans le cerveau ; doigts plongés en crochet dans les orbites pour énucléer l'agresseur; et, bien s?r, le classique coup de pied judicieusement placé. La petite voix dénuée d'illusions se remit soudain à parler dans ma tête, me signalant que, je n'avais sans doute aucune chance face à ce genre de types, et puis quatre d'un coup.Je lui intimai de se taire avant que la terreur ne m'anesthésie complètement. Je n'avais l'intention d'être éjectée de la partie sans en avoir mis au moins un au tapis. Je me for?ai à déglutir afin de pouvoir pousser un hurlement décent. Tout à coup, des phares surgirent.

   

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